Le tourisme constitue le nouveau moteur de développement durable dans lequel le pays est appelé à s'investir davantage. Dans ce sens, au niveau de l'Agence nationale du développement du tourisme (ANDT), on rassure que tous les moyens humains et financiers sont mis en œuvre pour développer les différentes structures nécessaires. À ce titre, l'agence, à la charge d'aménager le Schéma directeur d'aménagement touristique, a adopté, dernièrement, le SDAT de la wilaya de Ouargla, a-t-on appris auprès de cette agence. Selon les explications fournies par les responsables de cette structure, la mise en place du SDAT passe par deux étapes. La première étant de l'adopter au niveau national pour ensuite, en second lui, inciter les wilayas du pays d'aménager leur propre SDAT. « Par ce biais, a-t-on précisé, il sera possible de donner une visibilité sur l'avenir touristique de chaque wilaya », en traduisant, ajoute-t-on, toute la préoccupation du schéma directeur, dont il est question, à l'horizon 2030. L'ambition, a-t-on affirmé, est d'avoir une part de ce marché qui reste, malheureusement inexploité totalement. Et pour preuve, a-t-on expliqué, le diagnostic élaboré en 2000, où il en est ressorti que l'Algérie accusait un retard énorme en matière de capacité d'accueil et d'infrastructures hôtelières. En termes d'objectifs, les plans mis en place, a-t-on expliqué, réaffirment la volonté de l'Etat de préserver l'environnement, d'améliorer le cadre de vie et de valoriser le potentiel naturel, culturel et historique du pays. En outre, ils visent à mettre en valeur le patrimoine touristique national. « Nous disposons d'un foncier touristique vierge de plus d'un millier d'hectare qu'il ne faut pas sous-estimer, dit-on, car ce dernier peut répondre amplement aux exigences d'un développement de tourisme durable ». A ce propos, souligne-t-on, l'Algérie a une grande opportunité de développer son tourisme respectueux de l'environnement. S'agissant des infrastructures qui sont, aujourd'hui, opérationnelles, il y a, indique-t-on, 205 Zones d'exploitation touristique (ZET) classées, sur l'ensemble du territoire national. Un autre programme d'une centaine de ZET est en cours pour répondre au développement de nouvelles filières touristiques tel que le thermalisme ou encore le tourisme vert. « L'objectif est de promouvoir de nouvelles niches et diversifier l'offre touristique algérienne tout en sachant que le produit phare, de part le monde, reste le produit saharien car unique et d'excellence », fait-on savoir. La promotion du tourisme thermale ou de santé, constitue, affirme-t-on, un des défis relevé. En la matière, l'Algérie compte un potentiel énorme avec pas moins de 200 sources thermales. « C'est un produit d'avenir qui intéresse de plus en plus la clientèle étrangère mais aussi locale », ajoute-t-on. Pour ce faire, ces sources seront aménagées et exploitées par la suite par des professionnels qui pourront offrir à la clientèle un package de bien-être répondant aux exigences sanitaires en vigueur. Le tourisme constitue le nouveau moteur de développement durable dans lequel le pays est appelé à s'investir davantage. Dans ce sens, au niveau de l'Agence nationale du développement du tourisme (ANDT), on rassure que tous les moyens humains et financiers sont mis en œuvre pour développer les différentes structures nécessaires. À ce titre, l'agence, à la charge d'aménager le Schéma directeur d'aménagement touristique, a adopté, dernièrement, le SDAT de la wilaya de Ouargla, a-t-on appris auprès de cette agence. Selon les explications fournies par les responsables de cette structure, la mise en place du SDAT passe par deux étapes. La première étant de l'adopter au niveau national pour ensuite, en second lui, inciter les wilayas du pays d'aménager leur propre SDAT. « Par ce biais, a-t-on précisé, il sera possible de donner une visibilité sur l'avenir touristique de chaque wilaya », en traduisant, ajoute-t-on, toute la préoccupation du schéma directeur, dont il est question, à l'horizon 2030. L'ambition, a-t-on affirmé, est d'avoir une part de ce marché qui reste, malheureusement inexploité totalement. Et pour preuve, a-t-on expliqué, le diagnostic élaboré en 2000, où il en est ressorti que l'Algérie accusait un retard énorme en matière de capacité d'accueil et d'infrastructures hôtelières. En termes d'objectifs, les plans mis en place, a-t-on expliqué, réaffirment la volonté de l'Etat de préserver l'environnement, d'améliorer le cadre de vie et de valoriser le potentiel naturel, culturel et historique du pays. En outre, ils visent à mettre en valeur le patrimoine touristique national. « Nous disposons d'un foncier touristique vierge de plus d'un millier d'hectare qu'il ne faut pas sous-estimer, dit-on, car ce dernier peut répondre amplement aux exigences d'un développement de tourisme durable ». A ce propos, souligne-t-on, l'Algérie a une grande opportunité de développer son tourisme respectueux de l'environnement. S'agissant des infrastructures qui sont, aujourd'hui, opérationnelles, il y a, indique-t-on, 205 Zones d'exploitation touristique (ZET) classées, sur l'ensemble du territoire national. Un autre programme d'une centaine de ZET est en cours pour répondre au développement de nouvelles filières touristiques tel que le thermalisme ou encore le tourisme vert. « L'objectif est de promouvoir de nouvelles niches et diversifier l'offre touristique algérienne tout en sachant que le produit phare, de part le monde, reste le produit saharien car unique et d'excellence », fait-on savoir. La promotion du tourisme thermale ou de santé, constitue, affirme-t-on, un des défis relevé. En la matière, l'Algérie compte un potentiel énorme avec pas moins de 200 sources thermales. « C'est un produit d'avenir qui intéresse de plus en plus la clientèle étrangère mais aussi locale », ajoute-t-on. Pour ce faire, ces sources seront aménagées et exploitées par la suite par des professionnels qui pourront offrir à la clientèle un package de bien-être répondant aux exigences sanitaires en vigueur.