La 16e Journée nationale de normalisation célébrée, hier au Palais de la culture, s'est notamment articulée autour de la présentation des normes en matière d'assainissement des eaux, les normes et l'innovation dans le secteur de la construction alors que des distinctions et le Prix algérien de la qualité à deux entreprises, ont été remis par le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements. La 16e Journée nationale de normalisation célébrée, hier au Palais de la culture, s'est notamment articulée autour de la présentation des normes en matière d'assainissement des eaux, les normes et l'innovation dans le secteur de la construction alors que des distinctions et le Prix algérien de la qualité à deux entreprises, ont été remis par le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements. Selon le directeur général de l'Institut algérien de la normalisation (IANOR), Mohamed Chaieb Aissaoui, « l'Algérie est classée au 46e rang mondial et 2e dans les pays arabes concernant l'ISO, tandis que sur le plan africain, elle vient après l'Afrique du Sud et l'Egypte ». Aussi, il a affirmé que pas moins de 200 produits sont certifiés au niveau national, soit un bond positif en avant, en dépit du manque de crédibilité de nos laboratoires dont deux seulement sont habilités à décerner des certifications ISO 9001 et 14001.Placée sous le thème de «Qualité, Innovation et normes dans la construction», la célébration de cette journée de la normalisation a soulevé la nécessité de produire mieux et de doter nos entreprises d'un label de qualité, notamment l'ISO 9001 et 14001, afin d'obtenir le passeport nécessaire pour l'introduction, sur le marché extérieur, surtout celui de l'Europe, devenu de plus en plus exigeant en termes de qualité et où la compétitivité et la concurrence des entreprises font rage. Le DG de l'Ianor a indiqué que « l'Algérie a été retenue dans un programme RS Moyen Orient et Afrique du Nord (Mena) 2011-2014 piloté par ISO et financé par Sida (ONG suédoise) pour l'accompagnement de 14 entreprises algériennes et la formation d'experts nationaux. Aussi, deux entreprises, à savoir Cetim et NCA Rouiba, ont déjà atteint un stade avancé en matière d'intégration de cette norme révolutionnaire ».Par ailleurs, Aissaoui a souligné que l'évolution des activités de l'IANOR en 2011 a été caractérisée par plusieurs conquêtes, à savoir « le pôle normalisation qui a fonctionné avec 47 comités techniques nationaux, donc un taux de participation exceptionnelle de 89 % et une publication de 522 normes et le pôle certification où pas moins de 63 produits ont été déclarés répondant aux normes, donc certifiés conformes ». Trois autres certifications systèmes ont été octroyées sur les référentiels, tels qu'ISO 9001 (2008), ISO 14001 (2006) et OSHAS 18001 (2007), selon lui.Pour sa part, le directeur de l'agence de promotion et de rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE), Mohamed Bouzeriba, estime que « le potentiel d'économies d'énergie avoisine les 10 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) à l'horizon 2015 ». S'agissant de la répartition de la consommation finale par secteur d'activités pour l'année 2010, le secteur tertiaire et le résidentiel bouffe 39 % de l'énergie, l'industrie et le BTP 25 %, l'agriculture 1 % et les transports 35%. Selon le directeur général de l'Institut algérien de la normalisation (IANOR), Mohamed Chaieb Aissaoui, « l'Algérie est classée au 46e rang mondial et 2e dans les pays arabes concernant l'ISO, tandis que sur le plan africain, elle vient après l'Afrique du Sud et l'Egypte ». Aussi, il a affirmé que pas moins de 200 produits sont certifiés au niveau national, soit un bond positif en avant, en dépit du manque de crédibilité de nos laboratoires dont deux seulement sont habilités à décerner des certifications ISO 9001 et 14001.Placée sous le thème de «Qualité, Innovation et normes dans la construction», la célébration de cette journée de la normalisation a soulevé la nécessité de produire mieux et de doter nos entreprises d'un label de qualité, notamment l'ISO 9001 et 14001, afin d'obtenir le passeport nécessaire pour l'introduction, sur le marché extérieur, surtout celui de l'Europe, devenu de plus en plus exigeant en termes de qualité et où la compétitivité et la concurrence des entreprises font rage. Le DG de l'Ianor a indiqué que « l'Algérie a été retenue dans un programme RS Moyen Orient et Afrique du Nord (Mena) 2011-2014 piloté par ISO et financé par Sida (ONG suédoise) pour l'accompagnement de 14 entreprises algériennes et la formation d'experts nationaux. Aussi, deux entreprises, à savoir Cetim et NCA Rouiba, ont déjà atteint un stade avancé en matière d'intégration de cette norme révolutionnaire ».Par ailleurs, Aissaoui a souligné que l'évolution des activités de l'IANOR en 2011 a été caractérisée par plusieurs conquêtes, à savoir « le pôle normalisation qui a fonctionné avec 47 comités techniques nationaux, donc un taux de participation exceptionnelle de 89 % et une publication de 522 normes et le pôle certification où pas moins de 63 produits ont été déclarés répondant aux normes, donc certifiés conformes ». Trois autres certifications systèmes ont été octroyées sur les référentiels, tels qu'ISO 9001 (2008), ISO 14001 (2006) et OSHAS 18001 (2007), selon lui.Pour sa part, le directeur de l'agence de promotion et de rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE), Mohamed Bouzeriba, estime que « le potentiel d'économies d'énergie avoisine les 10 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) à l'horizon 2015 ». S'agissant de la répartition de la consommation finale par secteur d'activités pour l'année 2010, le secteur tertiaire et le résidentiel bouffe 39 % de l'énergie, l'industrie et le BTP 25 %, l'agriculture 1 % et les transports 35%.