C'est à partir de ce jeudi 22 décembre que sera appliquée la nouvelle tarification des taxis collectifs d'Alger. Dorénavant, se déplacer dans la capitale via un taxi collectif coûtera 30DA. « Cette tarification n'est pas nouvelle mais elle s'inscrit en application du décret 448/02 du 22 décembre 2002 », explique le président de la Fédération des chauffeurs de taxis de la wilaya d'Alger, Mustapha Gouguem. Le décret 448/02 est entré en vigueur et a été appliqué sur les différents moyens de transport de la capitale, depuis l'application du nouveau plan de circulation de la wilaya d'Alger, soit le 1er avril 2003. Même si cette décision a été prise en 2002, son application, pour ce qui est des exploitants des taxis collectifs, n'a pas vu le jour jusqu'à présent. Il convient de préciser que la décision de revoir à la hausse les tarifs des taxis collectifs a été prise unilatéralement par la Fédération. Du côté de la Direction des transports, rien n'a été décidé, informe-t-on. « C'est une décision facultative car nous n'avons pas d'autorité pour la rendre obligatoire », nous dira M. Gouguem, avant de poursuivre : « Nous espérons que nos clients seront compréhensifs et feront acte de solidarité en acceptant de payer cette nouvelle tarification d'autant que nos prix n'ont pas été révisés depuis 1996 ». Sinon... « Le chauffeur de taxi restera à la station ». N'est-ce pas un refus de travail sous forme de chantage ? Le président de la Fédération des chauffeurs des taxis de la capitale, joint hier par téléphone, estime que « ça n'a rien d'un refus de travail. Le chauffeur du taxi suit son bureau syndical qui a décidé de ne plus travailler à 20DA ». Notons, sur ce dernier point, que la Fédération des chauffeurs des taxis de la wilaya d'Alger ne relève pas de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), mais est depuis avril 2011, sous l'égide de l'Union nationale des transporteurs Unat, a-t-il tenu à souligner. Toutefois, M. Gouguem s'est dit prêt à négocier avec la Direction des transports, pour trouver une solution « juste ». « Cette décision ouvrira les portes du dialogue », a-t-il conclu. C'est à partir de ce jeudi 22 décembre que sera appliquée la nouvelle tarification des taxis collectifs d'Alger. Dorénavant, se déplacer dans la capitale via un taxi collectif coûtera 30DA. « Cette tarification n'est pas nouvelle mais elle s'inscrit en application du décret 448/02 du 22 décembre 2002 », explique le président de la Fédération des chauffeurs de taxis de la wilaya d'Alger, Mustapha Gouguem. Le décret 448/02 est entré en vigueur et a été appliqué sur les différents moyens de transport de la capitale, depuis l'application du nouveau plan de circulation de la wilaya d'Alger, soit le 1er avril 2003. Même si cette décision a été prise en 2002, son application, pour ce qui est des exploitants des taxis collectifs, n'a pas vu le jour jusqu'à présent. Il convient de préciser que la décision de revoir à la hausse les tarifs des taxis collectifs a été prise unilatéralement par la Fédération. Du côté de la Direction des transports, rien n'a été décidé, informe-t-on. « C'est une décision facultative car nous n'avons pas d'autorité pour la rendre obligatoire », nous dira M. Gouguem, avant de poursuivre : « Nous espérons que nos clients seront compréhensifs et feront acte de solidarité en acceptant de payer cette nouvelle tarification d'autant que nos prix n'ont pas été révisés depuis 1996 ». Sinon... « Le chauffeur de taxi restera à la station ». N'est-ce pas un refus de travail sous forme de chantage ? Le président de la Fédération des chauffeurs des taxis de la capitale, joint hier par téléphone, estime que « ça n'a rien d'un refus de travail. Le chauffeur du taxi suit son bureau syndical qui a décidé de ne plus travailler à 20DA ». Notons, sur ce dernier point, que la Fédération des chauffeurs des taxis de la wilaya d'Alger ne relève pas de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), mais est depuis avril 2011, sous l'égide de l'Union nationale des transporteurs Unat, a-t-il tenu à souligner. Toutefois, M. Gouguem s'est dit prêt à négocier avec la Direction des transports, pour trouver une solution « juste ». « Cette décision ouvrira les portes du dialogue », a-t-il conclu.