La cinquième édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa) a été clôturée dans la soirée du jeudi, mettant fin à une compétition de quelque 12 longs métrages et 23 courts métrages représentant 18 pays arabes. La cérémonie de clôture, qui s'est déroulée au Centre des conventions Mohamed- Benahmed d'Oran a été marquée notamment par la remise du Wihr d'or au long métrage libanais Hala lawain de Nadine Labaki. Dans la sérié des courts métrages ce prix est revenu au film Hayate qacira du réalisateur marocain Adil Fadily. Dans la section compétition des longs-métrages, l'Algérie a participé avec deux films, Kedach t'habni (Combien tu m'aimes) de Fatma-Zohra Zaamoum, et Normal de Merzak Allouache. Dans la section des courts-métrages, ce sont quatre œuvres qui ont représenté l'Algérie, à savoir La cité de vieux de Mouzahem Yahia, Djin de Yasmine Chouikh, Les pieds sur terre de Amine Hattou et Alger demain de Amine Sidi Boumediene. C'est le jeune réalisateur Abdenour Zahzah, lauréat du prix du meilleur court métrage au cours de l'édition passée, qui a présidé le jury de la compétition court-métrage, alors que le jury des longs-métrages, composé de 4 cinéastes arabes, a été présidé par la Tunisienne Fatima Bensaïden. Sept films documentaires algériens produits dans le cadre de la manifestation "Tlemcen capitale de la culture islamique", ont été, par ailleurs, au programme de ce festival. Les organisateurs envisagent d'ouvrir la compétition du film documentaire à tous les pays arabes dès la prochaine édition. C'est le critique égyptien Tarik El Shinnawi, qui a présidé le jury des films documentaires. La programmation de ces œuvres a été faite dans le but de montrer au public oranais et aux festivaliers, les œuvres cinématographiques produites dans le cadre de cette manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique, dont le coup d'envoi de son volet international a été donné le 16 avril dernier, par le président Abdelaziz Bouteflika, rappelle-t-on. Cette 5e édition du Fofa a enregistré la participation mauritanienne, pour la première fois, avec le court métrage El Massassa (la sangsue) de la réalisatrice Salama Ment El-Cheikh El-Wali.Par ailleurs, une vingtaine de jeunes cinéphiles ont pris part à un atelier "film d'une minute", organisé en marge de la manifestation, encadré par le cinéaste algéro-hollandais Karim Traïdia. Cet atelier qui a eu lieu au théâtre régional d'Oran Abdelkader-Alloula, a permis la réalisation d'une dizaine de très courts métrages dont les meilleurs seront projetés au cours de la prochaine édition du festival. Quatre figures de la scène cinématographique ont été honorées au Fofa 2011, en l'occurence la dame de l'écran algérien, Mme Farida Saboundji, le doyen des réalisateurs algériens, Mohamed Slim Ryad, le pionnier du film documentaire en Algérie, le journaliste Adnani Noureddine et la célèbre comédienne de théâtre tunisien, Fatima Bensaidani. Cette édition a vu le changement de l'appellation du festival et de son trophée, passant de "Festival international du film arabe d'Oran" au "Festival d'Oran du film arabe" et le trophée est devenu le "Wihr d'or" au lieu et place de "l'Ahaggar d'or". La cinquième édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa) a été clôturée dans la soirée du jeudi, mettant fin à une compétition de quelque 12 longs métrages et 23 courts métrages représentant 18 pays arabes. La cérémonie de clôture, qui s'est déroulée au Centre des conventions Mohamed- Benahmed d'Oran a été marquée notamment par la remise du Wihr d'or au long métrage libanais Hala lawain de Nadine Labaki. Dans la sérié des courts métrages ce prix est revenu au film Hayate qacira du réalisateur marocain Adil Fadily. Dans la section compétition des longs-métrages, l'Algérie a participé avec deux films, Kedach t'habni (Combien tu m'aimes) de Fatma-Zohra Zaamoum, et Normal de Merzak Allouache. Dans la section des courts-métrages, ce sont quatre œuvres qui ont représenté l'Algérie, à savoir La cité de vieux de Mouzahem Yahia, Djin de Yasmine Chouikh, Les pieds sur terre de Amine Hattou et Alger demain de Amine Sidi Boumediene. C'est le jeune réalisateur Abdenour Zahzah, lauréat du prix du meilleur court métrage au cours de l'édition passée, qui a présidé le jury de la compétition court-métrage, alors que le jury des longs-métrages, composé de 4 cinéastes arabes, a été présidé par la Tunisienne Fatima Bensaïden. Sept films documentaires algériens produits dans le cadre de la manifestation "Tlemcen capitale de la culture islamique", ont été, par ailleurs, au programme de ce festival. Les organisateurs envisagent d'ouvrir la compétition du film documentaire à tous les pays arabes dès la prochaine édition. C'est le critique égyptien Tarik El Shinnawi, qui a présidé le jury des films documentaires. La programmation de ces œuvres a été faite dans le but de montrer au public oranais et aux festivaliers, les œuvres cinématographiques produites dans le cadre de cette manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique, dont le coup d'envoi de son volet international a été donné le 16 avril dernier, par le président Abdelaziz Bouteflika, rappelle-t-on. Cette 5e édition du Fofa a enregistré la participation mauritanienne, pour la première fois, avec le court métrage El Massassa (la sangsue) de la réalisatrice Salama Ment El-Cheikh El-Wali.Par ailleurs, une vingtaine de jeunes cinéphiles ont pris part à un atelier "film d'une minute", organisé en marge de la manifestation, encadré par le cinéaste algéro-hollandais Karim Traïdia. Cet atelier qui a eu lieu au théâtre régional d'Oran Abdelkader-Alloula, a permis la réalisation d'une dizaine de très courts métrages dont les meilleurs seront projetés au cours de la prochaine édition du festival. Quatre figures de la scène cinématographique ont été honorées au Fofa 2011, en l'occurence la dame de l'écran algérien, Mme Farida Saboundji, le doyen des réalisateurs algériens, Mohamed Slim Ryad, le pionnier du film documentaire en Algérie, le journaliste Adnani Noureddine et la célèbre comédienne de théâtre tunisien, Fatima Bensaidani. Cette édition a vu le changement de l'appellation du festival et de son trophée, passant de "Festival international du film arabe d'Oran" au "Festival d'Oran du film arabe" et le trophée est devenu le "Wihr d'or" au lieu et place de "l'Ahaggar d'or".