Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a de nouveau confirmé que les nouveaux partis pourront participer aux prochaines élections législatives. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a de nouveau confirmé que les nouveaux partis pourront participer aux prochaines élections législatives. Mais ces nouvelles formations politiques devraient, au préalable, avoir déjà tenus leurs congrès constitutifs. Car ce n'est qu'à ce titre, a précisé Daho Ould Kablia dans une déclaration à la presse en marge des Assises nationales sur le développement local tenues à Alger, qu'ils pourront obtenir leurs agréments. En termes plus clairs les nouveaux partis ne seront agréés qu'après la tenue de leurs congrès constitutifs. Donc ça va être une véritable course contre la montre pour les nouveaux partis pour être fins prêts pour l'échéance électorale. Daho Ould Kablia a tenu à rassurer sur ce plan en indiquant qu'il reste encore cinq mois par rapport au législatives et qu'un mois devrait suffire pour examiner les dossiers d'agrément. Il faut rappeler que c'est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a définitivement tranché sur cette question de la participation ou non de nouveaux partis aux prochaines législatives. « je me réjouis de la prochaine tenue des élections législatives dans une pluralité sans précédent, avec la participation d'une classe politique qui sera renforcée par de nouveaux partis et les facilitations que la loi a mis en place en faveur des candidats indépendants » a, en effet, souligné le chef de l'Etat lors du dernier Conseil des ministres, tenu le 19 décembre dernier. Car bien avant l'intervention du Président Bouteflika le suspense planait sur la participation des nouveaux partis aux législatives. Ce d'autant que certaines informations laissaient clairement entendre que les nouveaux partis ne seront pas de la partie. Et c'est sans doute pourquoi de nombreuses formations politiques en gestation ont accusé le pouvoir d'avoir sciemment programmé l'examen de la nouvelle loi sur les partis politiques juste à la veille de la fin de la session d'automne du Parlement, soit au mois de décembre. Pour ces partis politiques, le Parlement devait d'abord commencer par l'examen de ce projet de loi relatif aux partis avant de passer aux autres lois entrant dans le cadre des réformes politiques, à l'exemple des lois sur l'information, les associations ou celle relative au code électoral. Cela dit, les services du ministère de l'Intérieur seront ainsi appelés à se mobiliser pour traiter tous les dossiers en un temps record. Daho Ould Kablia a d'ailleurs insisté, la semaine dernière, lorsqu'il a réuni les cadres du ministère sur la « célérité » dans le traitement des dossiers de ces partis. Le ministre a ainsi précisé que son département délivrera les décisions pour la tenue des congrès constitutifs dans les quinze jours qui suivront la promulgation de la loi organique sur les partis et ce conformément à la réglementation. A titre d'exemple pour être viable le congrès constitutif doit être représentatif de plus du tiers (1/3) du nombre de wilayas au moins, répartis à travers le territoire national et doit réunir au moins quatre cents (400) à cinq cents (500) congressistes, élus par mille six cents (1.600) adhérents au moins, sans que le nombre de congressistes ne soit inférieur à seize (16) par wilaya et celui des adhérents inférieur à cent (100) par wilaya. Le ministre de l'Intérieur avait annoncé aussi qu'une quinzaine de dossiers ont été transmis à ses services. Rappelons que certains partis sont presque sûrs que leurs dossiers sont égarés, dans ce registre l'on peut citer le Front démocratique de Sid-Ahmed Ghozali, l'UDR de Amara Benyounes, le FCN de Abdelmadjid Menasra, le FJD de Djaballah et le PLJ de Mohamed Saïd. Mais ces nouvelles formations politiques devraient, au préalable, avoir déjà tenus leurs congrès constitutifs. Car ce n'est qu'à ce titre, a précisé Daho Ould Kablia dans une déclaration à la presse en marge des Assises nationales sur le développement local tenues à Alger, qu'ils pourront obtenir leurs agréments. En termes plus clairs les nouveaux partis ne seront agréés qu'après la tenue de leurs congrès constitutifs. Donc ça va être une véritable course contre la montre pour les nouveaux partis pour être fins prêts pour l'échéance électorale. Daho Ould Kablia a tenu à rassurer sur ce plan en indiquant qu'il reste encore cinq mois par rapport au législatives et qu'un mois devrait suffire pour examiner les dossiers d'agrément. Il faut rappeler que c'est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a définitivement tranché sur cette question de la participation ou non de nouveaux partis aux prochaines législatives. « je me réjouis de la prochaine tenue des élections législatives dans une pluralité sans précédent, avec la participation d'une classe politique qui sera renforcée par de nouveaux partis et les facilitations que la loi a mis en place en faveur des candidats indépendants » a, en effet, souligné le chef de l'Etat lors du dernier Conseil des ministres, tenu le 19 décembre dernier. Car bien avant l'intervention du Président Bouteflika le suspense planait sur la participation des nouveaux partis aux législatives. Ce d'autant que certaines informations laissaient clairement entendre que les nouveaux partis ne seront pas de la partie. Et c'est sans doute pourquoi de nombreuses formations politiques en gestation ont accusé le pouvoir d'avoir sciemment programmé l'examen de la nouvelle loi sur les partis politiques juste à la veille de la fin de la session d'automne du Parlement, soit au mois de décembre. Pour ces partis politiques, le Parlement devait d'abord commencer par l'examen de ce projet de loi relatif aux partis avant de passer aux autres lois entrant dans le cadre des réformes politiques, à l'exemple des lois sur l'information, les associations ou celle relative au code électoral. Cela dit, les services du ministère de l'Intérieur seront ainsi appelés à se mobiliser pour traiter tous les dossiers en un temps record. Daho Ould Kablia a d'ailleurs insisté, la semaine dernière, lorsqu'il a réuni les cadres du ministère sur la « célérité » dans le traitement des dossiers de ces partis. Le ministre a ainsi précisé que son département délivrera les décisions pour la tenue des congrès constitutifs dans les quinze jours qui suivront la promulgation de la loi organique sur les partis et ce conformément à la réglementation. A titre d'exemple pour être viable le congrès constitutif doit être représentatif de plus du tiers (1/3) du nombre de wilayas au moins, répartis à travers le territoire national et doit réunir au moins quatre cents (400) à cinq cents (500) congressistes, élus par mille six cents (1.600) adhérents au moins, sans que le nombre de congressistes ne soit inférieur à seize (16) par wilaya et celui des adhérents inférieur à cent (100) par wilaya. Le ministre de l'Intérieur avait annoncé aussi qu'une quinzaine de dossiers ont été transmis à ses services. Rappelons que certains partis sont presque sûrs que leurs dossiers sont égarés, dans ce registre l'on peut citer le Front démocratique de Sid-Ahmed Ghozali, l'UDR de Amara Benyounes, le FCN de Abdelmadjid Menasra, le FJD de Djaballah et le PLJ de Mohamed Saïd.