La ville de Tizi-Ouzou était pratiquement inaccessible hier. Un véritable calvaire a été vécu par les automobilistes dès les premières heures de la journée. Et pour cause, plusieurs routes ont été barrées par des citoyens en colère qui ont tenu ainsi à exprimer leur ras-le-bol devant "l'incapacité des autorités locales à prendre en charge leurs problèmes". L'action qui a le plus perturbé le trafic routier est celle de la fermeture de la RN 12 reliant Azazga à Tizi-Ouzou au niveau de la localité de Oued Aïssi, sept kilomètres à l'est de Tizi- Ouzou. Il s'agit de la route la plus importante et la plus fréquentée de la wilaya puisque c'est par elle que transitent l'ensemble des bus et des véhicules en provenance de la wilaya de Béjaïa mais aussi des autres villes de la wilaya : Larbaâ Nath Irathen, Fréha, Aïn El Hammam, Yakouren, Azeffoun, Bouzeguene, etc. Hier donc, les milliers de véhicules en provenance de ces localités ont été contraints de rebrousser chemin ou d'emprunter la route de Ouaguenoun. Ce qui a créé un interminable embouteillage sur un tronçon routier de plus de quinze kilomètres. Les citoyens, qui ont barré la RN 12, sont les occupants d'un bidonville situé à proximité de l'hôpital psychiatrique Fernane-Hanafi de Oued Aïssi. Ils demandent des logements et en attendant, qu'on leur garantisse au moins un cadre de vie décent. D'autres routes ont été également coupées du côté ouest de la ville de Tizi-Ouzou. Les automobilistes en provenance d'Alger et des autres villes situées sur l'axe routier Tizi Ouzou-Alger ont été contraints de faire le détour par la rocade sud afin d'accéder à la ville des Genêts. D'autres routes, moins fréquentées, ont fait l'objet de la même action hier. Les revendications ont toutes trait au cadre de vie, au problème d'alimentation en eau potable qui se pose avec acuité dans plusieurs localités de la wilaya ainsi qu'au problème de l'état des routes lamentable dans plusieurs communes et y compris au centre-ville de Tizi-Ouzou et à la Nouvelle Ville. La ville de Tizi-Ouzou était pratiquement inaccessible hier. Un véritable calvaire a été vécu par les automobilistes dès les premières heures de la journée. Et pour cause, plusieurs routes ont été barrées par des citoyens en colère qui ont tenu ainsi à exprimer leur ras-le-bol devant "l'incapacité des autorités locales à prendre en charge leurs problèmes". L'action qui a le plus perturbé le trafic routier est celle de la fermeture de la RN 12 reliant Azazga à Tizi-Ouzou au niveau de la localité de Oued Aïssi, sept kilomètres à l'est de Tizi- Ouzou. Il s'agit de la route la plus importante et la plus fréquentée de la wilaya puisque c'est par elle que transitent l'ensemble des bus et des véhicules en provenance de la wilaya de Béjaïa mais aussi des autres villes de la wilaya : Larbaâ Nath Irathen, Fréha, Aïn El Hammam, Yakouren, Azeffoun, Bouzeguene, etc. Hier donc, les milliers de véhicules en provenance de ces localités ont été contraints de rebrousser chemin ou d'emprunter la route de Ouaguenoun. Ce qui a créé un interminable embouteillage sur un tronçon routier de plus de quinze kilomètres. Les citoyens, qui ont barré la RN 12, sont les occupants d'un bidonville situé à proximité de l'hôpital psychiatrique Fernane-Hanafi de Oued Aïssi. Ils demandent des logements et en attendant, qu'on leur garantisse au moins un cadre de vie décent. D'autres routes ont été également coupées du côté ouest de la ville de Tizi-Ouzou. Les automobilistes en provenance d'Alger et des autres villes situées sur l'axe routier Tizi Ouzou-Alger ont été contraints de faire le détour par la rocade sud afin d'accéder à la ville des Genêts. D'autres routes, moins fréquentées, ont fait l'objet de la même action hier. Les revendications ont toutes trait au cadre de vie, au problème d'alimentation en eau potable qui se pose avec acuité dans plusieurs localités de la wilaya ainsi qu'au problème de l'état des routes lamentable dans plusieurs communes et y compris au centre-ville de Tizi-Ouzou et à la Nouvelle Ville.