Les pilotes de la compagnie aérienne nationale Air Algérie ont observé, hier matin mardi, une grève. Ce mouvement de grève lancé par le syndicat des pilotes de ligne algérien (SLPA) a été décidé lors d'une assemblée organisée, hier à l'aube, sans déposer un quelconque préavis. Cette grève qui a cloué au sol tous les appareils de la compagnie aérienne nationale a créé une importante perturbation au niveau de l'aéroport international Houari- Boumediene d'Alger. Tous les vols à destination de la France, du Maroc ou encore de Montréal (Québec) ont connu un retard énorme. En effet, les voyageurs interrogés sur les lieux se sont dits consternés par cette grève menée sans qu'aucune annonce n'ait été faite. Ces voyageurs qui, par centaines, ont pris d'assaut les guichets d'Air Algérie en quête d'informations, a-t-on constaté sur les lieux, n'ont eu pour information que la suivante : «Nous sommes désolés, mais les pilotes sont en grève et nous ignorons quand est-ce que cela va se régler». Face à cette situation, les voyageurs tant algériens qu'étrangers venus passer les vacances de fin d'année dans notre pays, se sont retrouvés bloqués. «Nous sommes venus célébrer le jour de l'an et voir la famille mais maintenant on aura du retard pour repartir alors qu'on doit y arriver à temps et reprendre le travail », s'est indigné un père accompagné de toute sa famille. Le chef de file du bureau d'escale de la compagnie nationale nous a expliqué ignorer jusqu'à quand se poursuivra ce mouvement de grève conduit par les pilotes, indiquant, entre autres, que des négociations étaient en cours entre le SLPA et la direction de compagnie aérienne. Sur l'ensemble des vols prévus dans la matinée d'hier, seuls quelques uns ont pu décoller à l'instar de celui à destination de la capitale québécoise, Montréal et la ville française de Marseille, dans l'après-midi. Pour rappel, ce mouvement de protestation auquel fait face la compagnie aérienne nationale n'est pas le premier. En juillet dernier, un mouvement de grève a été mené, en pleine période de vacances estivales, par le personnel navigant commercial (PNC). Ce débrayage a été, par la suite, suspendu dans la même journée, après des négociations avec la direction de la compagnie. Le syndicat des pilotes de ligne algérien (SLPA) justifie ce mouvement de protestation en évoquant des problèmes de fond et de sécurité. D'après eux, les pilotes sont lésés, en particulier pour les jeunes pilotes, par le traitement qui leur est réservé au sein même de leur compagnie aérienne. Les pilotes de la compagnie aérienne nationale Air Algérie ont observé, hier matin mardi, une grève. Ce mouvement de grève lancé par le syndicat des pilotes de ligne algérien (SLPA) a été décidé lors d'une assemblée organisée, hier à l'aube, sans déposer un quelconque préavis. Cette grève qui a cloué au sol tous les appareils de la compagnie aérienne nationale a créé une importante perturbation au niveau de l'aéroport international Houari- Boumediene d'Alger. Tous les vols à destination de la France, du Maroc ou encore de Montréal (Québec) ont connu un retard énorme. En effet, les voyageurs interrogés sur les lieux se sont dits consternés par cette grève menée sans qu'aucune annonce n'ait été faite. Ces voyageurs qui, par centaines, ont pris d'assaut les guichets d'Air Algérie en quête d'informations, a-t-on constaté sur les lieux, n'ont eu pour information que la suivante : «Nous sommes désolés, mais les pilotes sont en grève et nous ignorons quand est-ce que cela va se régler». Face à cette situation, les voyageurs tant algériens qu'étrangers venus passer les vacances de fin d'année dans notre pays, se sont retrouvés bloqués. «Nous sommes venus célébrer le jour de l'an et voir la famille mais maintenant on aura du retard pour repartir alors qu'on doit y arriver à temps et reprendre le travail », s'est indigné un père accompagné de toute sa famille. Le chef de file du bureau d'escale de la compagnie nationale nous a expliqué ignorer jusqu'à quand se poursuivra ce mouvement de grève conduit par les pilotes, indiquant, entre autres, que des négociations étaient en cours entre le SLPA et la direction de compagnie aérienne. Sur l'ensemble des vols prévus dans la matinée d'hier, seuls quelques uns ont pu décoller à l'instar de celui à destination de la capitale québécoise, Montréal et la ville française de Marseille, dans l'après-midi. Pour rappel, ce mouvement de protestation auquel fait face la compagnie aérienne nationale n'est pas le premier. En juillet dernier, un mouvement de grève a été mené, en pleine période de vacances estivales, par le personnel navigant commercial (PNC). Ce débrayage a été, par la suite, suspendu dans la même journée, après des négociations avec la direction de la compagnie. Le syndicat des pilotes de ligne algérien (SLPA) justifie ce mouvement de protestation en évoquant des problèmes de fond et de sécurité. D'après eux, les pilotes sont lésés, en particulier pour les jeunes pilotes, par le traitement qui leur est réservé au sein même de leur compagnie aérienne.