Les séances plénières consacrées aux questions orales au Parlement permettent aux représentants du gouvernement de répondre à certaines préoccupations des citoyens ou de leurs élus au sein de l'Assemblée Populaire Nationale ou du Sénat. Les séances plénières consacrées aux questions orales au Parlement permettent aux représentants du gouvernement de répondre à certaines préoccupations des citoyens ou de leurs élus au sein de l'Assemblée Populaire Nationale ou du Sénat. Le projet de nouveau découpage administratif différé. L'agrément de nouveaux partis politiques, «sans problème». Les élections législatives en mai prochain «normalement». Ainsi, à ceux qui s'interrogent sur le sort du nouveau découpage administratif qui semble avoir été jeté aux oubliettes, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia a indiqué, jeudi, dans une déclaration à la presse en marge d'une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation que «le projet de nouveau découpage administratif n'a pas été abandonné, mais plutôt différé jusqu'à ce que les meilleures conditions de création de nouvelles circonscriptions administratives soient réunies». Selon le ministre ce report a trait au «manque de compétences, d'encadrement et d'infrastructures», conditions nécessaires pour la création de nouvelles wilayas. Le représentant du gouvernement insiste même pour dire que «cela ne veut pas dire que le projet a été annulé ou abandonné». Autres questions auxquelles, Daho Ould Kablia a apporté des clarifications : l'agrément de nouveaux partis politiques. Le premier responsable du département de l'intérieur a rappelé que l'attribution d'agrément constitue l'aboutissement d'un long processus prévu par la loi, assurant que les dossiers qui satisfont à toutes les conditions prévues par la loi sur les partis, auront leur agrément "sans aucun problème". Plus explicite, il indique que «notre rôle en tant qu'administration est de vérifier si les dossiers d'agrément déposés à notre niveau sont en conformité avec la loi en vigueur». Sur la date des élections législatives, Ould Kablia n'a pas été précis se contentant d'affirmer qu'elles devront «normalement» se tenir au courant du mois de mai prochain. Pour un scrutin qui se veut transparent, il assure qu'il y aura des «urnes transparentes» dans tous les bureaux de vote, et il confirme la présence de nombreux observateurs pour surveiller le déroulement de cette importante échéance politique. Sur tout un autre registre, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales annonce qu'un programme de 450.000 logements a été arrêté au titre du quinquennat 2010-2014 pour l'éradication de l'habitat précaire, rappelant que le programme lancé par le gouvernement en 2004 pour l'éradication des constructions anarchiques «a permis le relogement de plus de 69.000 familles à Alger». Selon lui, le recensement global des bidonvilles effectué en 2007 «a permis d'arrêter une liste de 55.000 familles concernées par le relogement». Il indique dans ce cadre que le plan de relogement initié par la wilaya d'Alger a permis d'éradiquer 1151 bidonvilles et de récupérer des assiettes foncières d'une superficie de 2,5 hectares qui seront destinées à la réalisation d'infrastructures publiques. Autre sujet mais qui a trait à la ressource humaine des collectivités locales, le ministre, parlant de l'intégration des agents administratifs recrutés dans le cadre du filet social au niveau des communes et daïras, a affirmé que 9.200 emplois ont été réservés aux diplômés universitaires soulignant que l'intégration de ces agents est «tributaire de la disponibilité des postes d'emploi et de leur succès aux concours de recrutement», rappelant par ailleurs la directive du ministère du mois d'avril dernier visant à conférer une «flexibilité» aux mesures de recrutement. A la faveur d'une question sur la vente et la consommation de boissons alcoolisées, le ministre de l'Intérieur a précisé que cette activité est régie par des lois, ajoutant que le non-respect des textes réglementaires y afférents implique des mesures coercitives. Il indique que la vente de boissons alcoolisées est soumise à la délivrance par le wali d'une autorisation, soulignant que les textes législatifs prévoient des mesures préventives concernant les demandeurs d'autorisations pour ce type d'activité, notamment le maintien de l'ordre public. Selon lui, 445 affaires avaient été traitées en 2010 et que 1500 délits relatifs à la répression de la consommation de boissons alcoolisées ont été enregistrés durant les trois dernières années. Le projet de nouveau découpage administratif différé. L'agrément de nouveaux partis politiques, «sans problème». Les élections législatives en mai prochain «normalement». Ainsi, à ceux qui s'interrogent sur le sort du nouveau découpage administratif qui semble avoir été jeté aux oubliettes, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia a indiqué, jeudi, dans une déclaration à la presse en marge d'une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation que «le projet de nouveau découpage administratif n'a pas été abandonné, mais plutôt différé jusqu'à ce que les meilleures conditions de création de nouvelles circonscriptions administratives soient réunies». Selon le ministre ce report a trait au «manque de compétences, d'encadrement et d'infrastructures», conditions nécessaires pour la création de nouvelles wilayas. Le représentant du gouvernement insiste même pour dire que «cela ne veut pas dire que le projet a été annulé ou abandonné». Autres questions auxquelles, Daho Ould Kablia a apporté des clarifications : l'agrément de nouveaux partis politiques. Le premier responsable du département de l'intérieur a rappelé que l'attribution d'agrément constitue l'aboutissement d'un long processus prévu par la loi, assurant que les dossiers qui satisfont à toutes les conditions prévues par la loi sur les partis, auront leur agrément "sans aucun problème". Plus explicite, il indique que «notre rôle en tant qu'administration est de vérifier si les dossiers d'agrément déposés à notre niveau sont en conformité avec la loi en vigueur». Sur la date des élections législatives, Ould Kablia n'a pas été précis se contentant d'affirmer qu'elles devront «normalement» se tenir au courant du mois de mai prochain. Pour un scrutin qui se veut transparent, il assure qu'il y aura des «urnes transparentes» dans tous les bureaux de vote, et il confirme la présence de nombreux observateurs pour surveiller le déroulement de cette importante échéance politique. Sur tout un autre registre, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales annonce qu'un programme de 450.000 logements a été arrêté au titre du quinquennat 2010-2014 pour l'éradication de l'habitat précaire, rappelant que le programme lancé par le gouvernement en 2004 pour l'éradication des constructions anarchiques «a permis le relogement de plus de 69.000 familles à Alger». Selon lui, le recensement global des bidonvilles effectué en 2007 «a permis d'arrêter une liste de 55.000 familles concernées par le relogement». Il indique dans ce cadre que le plan de relogement initié par la wilaya d'Alger a permis d'éradiquer 1151 bidonvilles et de récupérer des assiettes foncières d'une superficie de 2,5 hectares qui seront destinées à la réalisation d'infrastructures publiques. Autre sujet mais qui a trait à la ressource humaine des collectivités locales, le ministre, parlant de l'intégration des agents administratifs recrutés dans le cadre du filet social au niveau des communes et daïras, a affirmé que 9.200 emplois ont été réservés aux diplômés universitaires soulignant que l'intégration de ces agents est «tributaire de la disponibilité des postes d'emploi et de leur succès aux concours de recrutement», rappelant par ailleurs la directive du ministère du mois d'avril dernier visant à conférer une «flexibilité» aux mesures de recrutement. A la faveur d'une question sur la vente et la consommation de boissons alcoolisées, le ministre de l'Intérieur a précisé que cette activité est régie par des lois, ajoutant que le non-respect des textes réglementaires y afférents implique des mesures coercitives. Il indique que la vente de boissons alcoolisées est soumise à la délivrance par le wali d'une autorisation, soulignant que les textes législatifs prévoient des mesures préventives concernant les demandeurs d'autorisations pour ce type d'activité, notamment le maintien de l'ordre public. Selon lui, 445 affaires avaient été traitées en 2010 et que 1500 délits relatifs à la répression de la consommation de boissons alcoolisées ont été enregistrés durant les trois dernières années.