Aussitôt l'autorisation du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales rendue publique, les nouvelles formations politiques se précipitent pour l'organisation de leurs congrès constitutifs dans les meilleurs délais. En effet, les dix partis ayant eu le feu vert du département de Daho Ould Kablia se démènent pour accomplir les démarches procédurales, sans lesquelles tout agrément ne serait pas possible. Ainsi, force est de constater que les formations islamistes sont les plus prétentieuses. Et pour cause, le Parti pour la liberté et la justice (PLJ) de Mohamed Saïd tiendra aujourd'hui même son congrès constitutif à la Mutuelle des travailleurs de la construction de Zéralda (Alger). Quelque 600 délégués issus de 42 wilayas prendront part aux assises du PLJ, selon son président. De son côté, le Front pour la justice et le développement (FJD) d'Abdallah Djaballah, tiendra ses assises constitutives samedi prochain à la Coupole du complexe olympique Mohamed Boudiaf. C'est le président de ce parti qui en avait fait l'annonce il y a quelques jours, à l'occasion d'une conférence de presse tenue au siège du parti à Bir Mourad Rais (Alger). L'autre nouvelle formation islamiste, le Front de l'Algérie nouvelle (FAN) en l'occurrence, créé par l'ex-secrétaire général du Mouvement Islah, Djamel Benabdeslam, envisage d'organiser son congrès constitutif durant la première ou la deuxième semaine du mois de février prochain. Par ailleurs, l'Union pour la démocratie et la république (UDR) d'Amara Benyounès avait déjà fixé l'échéance des 17 et 18 février prochain pour tenir ses assises constitutives conformément aux instructions du ministère de l'Intérieur. Sinon, les autres partis autorisés à tenir leurs congrès, le Front El Moustakbal (FM), Parti des jeunes (PJ) et Parti El Karama (PK), le Mouvement des citoyens libres (MCL), Jil Jadid (JJ) et le Front national pour la justice sociale (FNJS) pour les citer, n'ont toujours pas arrêté de date de leurs congrès respectifs, mais tout porte à croire qu'ils seront organisés au courant du mois de février prochain. C'est dire que le mois de février prochain sera particulièrement animé. Outre la tenue des congrès constitutifs, le corps électoral sera convoqué également durant la première quinzaine de ce même mois, en plus des activités organiques d'autres partis déjà agréés pour se mettre à jour avant de se consacrer aux préparatifs des prochaines législatives. C'est le cas, entre autres, du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) qui organisera son 4ème congrès et du Front des forces socialistes (FFS) qui tiendra sa Convention nationale. Deux rendez-vous fortement attendus, à l'issue desquels ces deux formations trancheront quant à leur participation ou non aux prochaines échéances. Aussitôt l'autorisation du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales rendue publique, les nouvelles formations politiques se précipitent pour l'organisation de leurs congrès constitutifs dans les meilleurs délais. En effet, les dix partis ayant eu le feu vert du département de Daho Ould Kablia se démènent pour accomplir les démarches procédurales, sans lesquelles tout agrément ne serait pas possible. Ainsi, force est de constater que les formations islamistes sont les plus prétentieuses. Et pour cause, le Parti pour la liberté et la justice (PLJ) de Mohamed Saïd tiendra aujourd'hui même son congrès constitutif à la Mutuelle des travailleurs de la construction de Zéralda (Alger). Quelque 600 délégués issus de 42 wilayas prendront part aux assises du PLJ, selon son président. De son côté, le Front pour la justice et le développement (FJD) d'Abdallah Djaballah, tiendra ses assises constitutives samedi prochain à la Coupole du complexe olympique Mohamed Boudiaf. C'est le président de ce parti qui en avait fait l'annonce il y a quelques jours, à l'occasion d'une conférence de presse tenue au siège du parti à Bir Mourad Rais (Alger). L'autre nouvelle formation islamiste, le Front de l'Algérie nouvelle (FAN) en l'occurrence, créé par l'ex-secrétaire général du Mouvement Islah, Djamel Benabdeslam, envisage d'organiser son congrès constitutif durant la première ou la deuxième semaine du mois de février prochain. Par ailleurs, l'Union pour la démocratie et la république (UDR) d'Amara Benyounès avait déjà fixé l'échéance des 17 et 18 février prochain pour tenir ses assises constitutives conformément aux instructions du ministère de l'Intérieur. Sinon, les autres partis autorisés à tenir leurs congrès, le Front El Moustakbal (FM), Parti des jeunes (PJ) et Parti El Karama (PK), le Mouvement des citoyens libres (MCL), Jil Jadid (JJ) et le Front national pour la justice sociale (FNJS) pour les citer, n'ont toujours pas arrêté de date de leurs congrès respectifs, mais tout porte à croire qu'ils seront organisés au courant du mois de février prochain. C'est dire que le mois de février prochain sera particulièrement animé. Outre la tenue des congrès constitutifs, le corps électoral sera convoqué également durant la première quinzaine de ce même mois, en plus des activités organiques d'autres partis déjà agréés pour se mettre à jour avant de se consacrer aux préparatifs des prochaines législatives. C'est le cas, entre autres, du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) qui organisera son 4ème congrès et du Front des forces socialistes (FFS) qui tiendra sa Convention nationale. Deux rendez-vous fortement attendus, à l'issue desquels ces deux formations trancheront quant à leur participation ou non aux prochaines échéances.