Il faut dire que cette conférence a eu lieu quelques jours après l'affaire du jeune hacker algérien qui s'était infiltré, depuis l'Algérie, et paralysé différents sites de préfectures et du gouvernement français. Ainsi, une conférence portant sur «la sécurité et la protection des données : risques et enjeux» a été organisée, hier au cyber-parc de Sidi Abdellah à l'ouest d'Alger, par le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (MPTIC) en partenariat avec l'Université de Genève et le Forum Suisse-Algérie. Interrogé justement sur les hackers algériens, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi dira que «nous avons des compétences qu'il faut optimiser et valoriser». Ces hackers, une fois identifiés, vont-ils ainsi être recrutés par les pouvoirs publics ? Ce qui rendra incontestablement le piratage de sites Internet synonyme d'ouverture de concours de recrutement. Le ministre n'a pas donné autant de détails. Il a cependant fait savoir qu'«une étude est en cours pour la mise en œuvre d'une structure nationale qui aura pour mission la sécurisation globale des informations et la protection des données». C'est dire que la sécurité et la protection des données préoccupent tous les pays, en premier lieu ceux les plus développés car les plus ciblés par les hackers. Heureusement d'ailleurs que l'Algérie n'est pas suffisamment câblée et la généralisation des TIC n'est qu'à son début. Selon moult intervenants : «C'est un avantage ! ». Comment cela ? «Parce que ceci va nous permettre d'asseoir notre sécurisation au développement des TIC tout en limitant les coûts», a fait remarquer, Zohir Meziane, conseiller au MPTIC.«Le partenariat avec les pays étrangers est un raccourci pour ce faire», a-t-il poursuivi. Si le choix de la technologie est sans conteste un risque, il n'en demeure pas moins pour le choix des experts étrangers, affirment les experts. Que faire alors ? «Il est impératif de développer les compétences locales et les mettre à jour car les TIC évoluent, les risques eux aussi sont en évolution», a expliqué M. Meziane. Grosso modo, «notre objectif est de créer un environnement sécurisé qui protége l'émetteur et le récepteur des données». Notons enfin que plusieurs thèmes ont été débattus au cours ce cette rencontre à l'image de «la gestion d'une attaque d'un système d'information d'un organe de paiement par un virus», «la gestion des incidents de sécurité», «la sécurité numérique» et autres. Il faut dire que cette conférence a eu lieu quelques jours après l'affaire du jeune hacker algérien qui s'était infiltré, depuis l'Algérie, et paralysé différents sites de préfectures et du gouvernement français. Ainsi, une conférence portant sur «la sécurité et la protection des données : risques et enjeux» a été organisée, hier au cyber-parc de Sidi Abdellah à l'ouest d'Alger, par le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (MPTIC) en partenariat avec l'Université de Genève et le Forum Suisse-Algérie. Interrogé justement sur les hackers algériens, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi dira que «nous avons des compétences qu'il faut optimiser et valoriser». Ces hackers, une fois identifiés, vont-ils ainsi être recrutés par les pouvoirs publics ? Ce qui rendra incontestablement le piratage de sites Internet synonyme d'ouverture de concours de recrutement. Le ministre n'a pas donné autant de détails. Il a cependant fait savoir qu'«une étude est en cours pour la mise en œuvre d'une structure nationale qui aura pour mission la sécurisation globale des informations et la protection des données». C'est dire que la sécurité et la protection des données préoccupent tous les pays, en premier lieu ceux les plus développés car les plus ciblés par les hackers. Heureusement d'ailleurs que l'Algérie n'est pas suffisamment câblée et la généralisation des TIC n'est qu'à son début. Selon moult intervenants : «C'est un avantage ! ». Comment cela ? «Parce que ceci va nous permettre d'asseoir notre sécurisation au développement des TIC tout en limitant les coûts», a fait remarquer, Zohir Meziane, conseiller au MPTIC.«Le partenariat avec les pays étrangers est un raccourci pour ce faire», a-t-il poursuivi. Si le choix de la technologie est sans conteste un risque, il n'en demeure pas moins pour le choix des experts étrangers, affirment les experts. Que faire alors ? «Il est impératif de développer les compétences locales et les mettre à jour car les TIC évoluent, les risques eux aussi sont en évolution», a expliqué M. Meziane. Grosso modo, «notre objectif est de créer un environnement sécurisé qui protége l'émetteur et le récepteur des données». Notons enfin que plusieurs thèmes ont été débattus au cours ce cette rencontre à l'image de «la gestion d'une attaque d'un système d'information d'un organe de paiement par un virus», «la gestion des incidents de sécurité», «la sécurité numérique» et autres.