TIC : séminaire - L'intensification de l'industrie des technologies de l'information et de la communication en Algérie a été recommandée, hier, samedi, par des experts lors de la 5e session du forum d'Alger sur le développement des TIC en Algérie. «Il faut créer les conditions adéquates pour le développement intensif de l'industrie des TIC», a indiqué Hatem Hocini, responsable au Ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (MPTIC). Il a préconisé la mise en place d'un mécanisme de partenariat durable entre les secteurs public et privé et la création de conditions de valorisation des compétences scientifique et technique dans la recherche et le développement pour les grands pôles industriels. Algérie - France formation -L'Institut algérien des hautes études financières (Iahef) et l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) de Paris ont signé, hier, samedi, à Alger, une convention portant sur le lancement d'un nouveau mastère de deuxième niveau en statistiques publiques et analyse économique. La convention a été signée par Kouider Aïssa Redouane, directeur général de L'Iahef et Jean-Philippe Cotis, directeur général de l'Inseo, un institut dépendant de l'Insee, en présence du secrétaire d'Etat chargé de la Statistique, Sid Ali Boukrami et l'ambassadrice de la délégation européenne en Algérie, Mme Laura Baeza. Vingt-six candidats, des ingénieurs d'Etat tous de moins de 35 ans d'âge, ont été retenus pour ce mastère qui sera délivré par le Groupe des écoles nationales d'économie et des statistiques, qui représente le centre de recherche et l'Insee. Code de la famille : Ksentini confiant - Le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'homme (CNCPPDH), Farouk Ksentini, a indiqué, hier, samedi, qu'il existait en Algérie une force «importante» et «appréciable» capable de protéger le Code de la famille. M. Ksentini qui intervenait à l'émission «100 % politique» de la Radio algérienne internationale a affirmé que malgré la présence «de forces considérables de la régression», il n'empêche qu'il existe en Algérie aussi «une société civile ainsi qu'une force importante, considérable et appréciable, capables de protéger et d'améliorer le Code de la famille». Interrogé sur les risques de remise en cause encourus par le Code de la famille, en cas de victoire d'un courant idéologique (islamiste) aux prochaines législatives, il a assuré qu'au sein de la société algérienne, «il existe une force qui va certainement jouer son rôle» pour défendre cet acquis.