Le gouvernement israélien est le seul responsable de l'échec des rencontres en Jordanie, a affirmé lundi l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), réitérant son rejet d'une reprise des négociations sans référence aux frontières de 1967 et au gel de la colonisation. "Au vu des résultats des réunions d'Amman, le Comité exécutif de l'OLP considère le gouvernement israélien et lui seul comme entièrement responsable de leur échec", a affirmé cette instance de l'OLP au terme d'une réunion autour du président palestinien Mahmoud Abbas, dans un communiqué lu par son secrétaire général Yasser Abed Rabbo. "Ces rencontres ont révélé l'insistance d'Israël à poursuivre les activités de colonisation et son refus d'une solution à deux Etats sur la base des frontières de 1967", a ajouté l'OLP. "La position de la direction palestinienne est inchangée : les négociations de paix doivent être fondées sur les lignes de 1967, l'arrêt de la colonisation et la libération des détenus palestiniens d'Israël", souligne le texte. "La direction palestinienne finira dans les prochains jours d'étudier une série d'options politiques et pratiques afin de poursuivre la campagne qui a commencé à l'échelle internationale", indique l'OLP, en allusion aux démarches d'adhésion à l'ONU. La veille, la direction du Fatah, le mouvement de M. Abbas, avait réaffirmé que les négociations ne reprendraient qu'en cas de gel de la colonisation et d'acceptation par Israël des lignes de 1967 comme base de discussions. Une réunion du comité de suivi arabe est prévue le 4 février au Caire. Une série de cinq "rencontres exploratoires" en Jordanie pour examiner les perspectives de reprise des négociations de paix s'est achevée le 25 janvier sans résultat tangible. Le gouvernement israélien est le seul responsable de l'échec des rencontres en Jordanie, a affirmé lundi l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), réitérant son rejet d'une reprise des négociations sans référence aux frontières de 1967 et au gel de la colonisation. "Au vu des résultats des réunions d'Amman, le Comité exécutif de l'OLP considère le gouvernement israélien et lui seul comme entièrement responsable de leur échec", a affirmé cette instance de l'OLP au terme d'une réunion autour du président palestinien Mahmoud Abbas, dans un communiqué lu par son secrétaire général Yasser Abed Rabbo. "Ces rencontres ont révélé l'insistance d'Israël à poursuivre les activités de colonisation et son refus d'une solution à deux Etats sur la base des frontières de 1967", a ajouté l'OLP. "La position de la direction palestinienne est inchangée : les négociations de paix doivent être fondées sur les lignes de 1967, l'arrêt de la colonisation et la libération des détenus palestiniens d'Israël", souligne le texte. "La direction palestinienne finira dans les prochains jours d'étudier une série d'options politiques et pratiques afin de poursuivre la campagne qui a commencé à l'échelle internationale", indique l'OLP, en allusion aux démarches d'adhésion à l'ONU. La veille, la direction du Fatah, le mouvement de M. Abbas, avait réaffirmé que les négociations ne reprendraient qu'en cas de gel de la colonisation et d'acceptation par Israël des lignes de 1967 comme base de discussions. Une réunion du comité de suivi arabe est prévue le 4 février au Caire. Une série de cinq "rencontres exploratoires" en Jordanie pour examiner les perspectives de reprise des négociations de paix s'est achevée le 25 janvier sans résultat tangible.