Le président tunisien, Moncef Marzouki, sera prochainement de visite à Alger dans le cadre d'une tournée maghrébine qui le conduira au Maroc, en Mauritanie et en Algérie, selon des sources officielles tunisiennes. Le président tunisien, Moncef Marzouki, sera prochainement de visite à Alger dans le cadre d'une tournée maghrébine qui le conduira au Maroc, en Mauritanie et en Algérie, selon des sources officielles tunisiennes. Selon ces mêmes sources, le nouveau président tunisien sera reçu par le chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika, dont les entretiens porteront essentiellement sur la coopération économique, la relance de l'Union du Maghreb arabe (UMA) et les relations bilatérales à la lumière des développements induits par la Révolution dite du jasmin. Moncef Marzouki entamera donc, aujourd'hui, son périple par une visite de trois jours au Maroc, avant de faire escale en Mauritanie et ricocher par l'Algérie comme ultime étape de sa visite officielle. Une visite qui intervient à la veille d'un sommet des ministres maghrébins des Affaires étrangères qui se tiendra au courant de ce mois de février à Rabat, tel que convenu par les chefs de la diplomatie algérien et marocain suite à la visite de ce dernier à Alger en janvier dernier. Il sera donc question de discuter des mécanismes à même de permettre la relance urgente du processus d'édification de l'UMA en veilleuse depuis 1994, soit cinq ans seulement après son lancement effectif. Le nouveau président tunisien se propose dans cette perspective en conciliateur susceptible de rapprocher les visions entre l'Algérie et le Maroc en particulier et les relations intermaghrébines en général, au profit d'une dynamique meilleure. D'ailleurs, Moncef Marzouki serait dépositaire d'un projet ambitieux dans ce sens, selon les mêmes sources tunisiennes, à savoir l'organisation d'un éventuel sommet de l'UMA dans son pays en guise de relance effective de cette union régionale. Les prémices d'un rapprochement entre les pays du Maghreb sont très perceptibles en ce début d'année 2012. D'abord par la visite du ministre marocain des AE, porteur d'un message clair de réunification des rangs, puis par la récente visite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika à Tunis pour célébrer l'acte I de la Révolution du jasmin et puis la rencontre qu'a eue le Premier ministre, Ahmed Ouyahia avec le président tunisien, en marge de la réunion de l'Union africaine (UA) à Addis Abeba. Par ailleurs, les questions sécuritaires seront également au menu du périple du président tunisien, car sécuriser les frontières et faire face aux menaces d'Aqmi passe par une meilleure coopération avec Alger. L'expérience algérienne et ses moyens humains et matériels seront d'un grand apport à des pays en édification comme la Tunisie et la Libye de même que la Mauritanie. Il s'agit donc d'un prélude à un rapprochement stratégique dans un contexte régional et mondial en éternel mouvement. Selon ces mêmes sources, le nouveau président tunisien sera reçu par le chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika, dont les entretiens porteront essentiellement sur la coopération économique, la relance de l'Union du Maghreb arabe (UMA) et les relations bilatérales à la lumière des développements induits par la Révolution dite du jasmin. Moncef Marzouki entamera donc, aujourd'hui, son périple par une visite de trois jours au Maroc, avant de faire escale en Mauritanie et ricocher par l'Algérie comme ultime étape de sa visite officielle. Une visite qui intervient à la veille d'un sommet des ministres maghrébins des Affaires étrangères qui se tiendra au courant de ce mois de février à Rabat, tel que convenu par les chefs de la diplomatie algérien et marocain suite à la visite de ce dernier à Alger en janvier dernier. Il sera donc question de discuter des mécanismes à même de permettre la relance urgente du processus d'édification de l'UMA en veilleuse depuis 1994, soit cinq ans seulement après son lancement effectif. Le nouveau président tunisien se propose dans cette perspective en conciliateur susceptible de rapprocher les visions entre l'Algérie et le Maroc en particulier et les relations intermaghrébines en général, au profit d'une dynamique meilleure. D'ailleurs, Moncef Marzouki serait dépositaire d'un projet ambitieux dans ce sens, selon les mêmes sources tunisiennes, à savoir l'organisation d'un éventuel sommet de l'UMA dans son pays en guise de relance effective de cette union régionale. Les prémices d'un rapprochement entre les pays du Maghreb sont très perceptibles en ce début d'année 2012. D'abord par la visite du ministre marocain des AE, porteur d'un message clair de réunification des rangs, puis par la récente visite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika à Tunis pour célébrer l'acte I de la Révolution du jasmin et puis la rencontre qu'a eue le Premier ministre, Ahmed Ouyahia avec le président tunisien, en marge de la réunion de l'Union africaine (UA) à Addis Abeba. Par ailleurs, les questions sécuritaires seront également au menu du périple du président tunisien, car sécuriser les frontières et faire face aux menaces d'Aqmi passe par une meilleure coopération avec Alger. L'expérience algérienne et ses moyens humains et matériels seront d'un grand apport à des pays en édification comme la Tunisie et la Libye de même que la Mauritanie. Il s'agit donc d'un prélude à un rapprochement stratégique dans un contexte régional et mondial en éternel mouvement.