Les prochaines élections législatives et les réformes politiques engagées ont été le thème central du message adressé, hier, à la veille de la célébration de la Journée nationale du Chahid célébrée le 18 février de chaque année. Les prochaines élections législatives et les réformes politiques engagées ont été le thème central du message adressé, hier, à la veille de la célébration de la Journée nationale du Chahid célébrée le 18 février de chaque année. Pour le chef de l'Etat, les prochaines élections législatives «sont la pierre angulaire de l'édifice démocratique dans lequel l'Algérie s'est engagé». En ce sens, «elles ne doivent pas être un simple événement conjoncturel mais constituer la pierre angulaire du parachèvement de l'édifice démocratique que nous avons initié», a insisté Abdelaziz Bouteflika, soulignant que «c'est à la lumière des résultats attendus, que sera tranchée la question de la Constitution du pays qui deviendra la référence qui tracera tous les repères politiques et sociaux de l'avenir du pays». Le président de la République estime que le succès de cette échéance «est le devoir et la responsabilité de tout Algérien et de toute Algérienne électeur et élu, pour honorer la mémoire des chouhadas qui se sont sacrifiés pour que vivent leurs enfants et leurs proches dans un véritable Etat de droit». Evoquant les réformes politiques qu'il a initiées, Abdelaziz Bouteflika confie que «les réformes auxquelles aspire l'Algérie tiennent compte, en premier lieu, de l'intérêt national et protègent les libertés individuelles et collectives». Dans ce cadre, il prévient que «ces réformes ne doivent pas être hâtives et irréfléchies, elles doivent tendre à faire admettre les postulats qui consacrent le processus démocratique, consolident les institutions constitutionnelles, rétablissent la suprématie de la loi et protègent les libertés individuelles et collectives, autant d'objectifs nobles auxquels aspiraient nos chouhadas». Le chef de l'Etat qui convoque l'histoire rappelle «le message clair de nos chouhadas est qu'une entité indépendante, quel que soit son poids, ne saurait composer avec l'autre que d'égal à égal». Et d'insister qu'«elle se reconnaît à travers ses propres actions», estimant que «les relations basées sur cet esprit permettent à cette entité de se révéler et d'interagir avec l'autre en tant que telle». Le chef de l'Etat, note cependant qu'elle «peut influencer et subir des influences sans pour autant s'effacer ni dépendre de telle ou telle partie». Livrant le fond de sa pensée sur les réformes engagées, il assure que «nous voulons une réforme qui profitera indéniablement à tous les citoyens dans le cadre de l'équilibre entre droits et devoirs qui s'impose aujourd'hui plus que jamais», estimant que l'Algérie, qui «jouit d'une longue et riche expérience est consciente de toute la portée des réformes qu'elle entend opérer, des réformes qui émanent de sa propre volonté au mieux des intérêts de la Nation». Le président de la République admet cependant «l'existence de dénominateurs communs, de principes, de valeurs et de repères qu'elle partage avec les autres peuples», mais demeure convaincu que "la spécificité de l'Algérie ainsi que les moyens dont elle dispose la qualifient hautement pour engager le processus de renouveau, consolider ses institutions et leur conférer davantage d'efficacité, forte en cela du potentiel qu'elle recèle». Dans ce contexte, il affirme que la réforme initiée par l'Algérie «est une réforme sérieuse et globale qui optimise tous les secteurs et mobilise les potentialités inexploitées en les sortant de l'inertie dans laquelle elles sont confinées», soulignant que cette réforme «doit s'opérer parallèlement à la lutte contre la corruption». Si nous échouons sur ce plan, «la réforme aura été nulle et sans effet», a prévenu le chef de l'Etat. Pour le chef de l'Etat, les prochaines élections législatives «sont la pierre angulaire de l'édifice démocratique dans lequel l'Algérie s'est engagé». En ce sens, «elles ne doivent pas être un simple événement conjoncturel mais constituer la pierre angulaire du parachèvement de l'édifice démocratique que nous avons initié», a insisté Abdelaziz Bouteflika, soulignant que «c'est à la lumière des résultats attendus, que sera tranchée la question de la Constitution du pays qui deviendra la référence qui tracera tous les repères politiques et sociaux de l'avenir du pays». Le président de la République estime que le succès de cette échéance «est le devoir et la responsabilité de tout Algérien et de toute Algérienne électeur et élu, pour honorer la mémoire des chouhadas qui se sont sacrifiés pour que vivent leurs enfants et leurs proches dans un véritable Etat de droit». Evoquant les réformes politiques qu'il a initiées, Abdelaziz Bouteflika confie que «les réformes auxquelles aspire l'Algérie tiennent compte, en premier lieu, de l'intérêt national et protègent les libertés individuelles et collectives». Dans ce cadre, il prévient que «ces réformes ne doivent pas être hâtives et irréfléchies, elles doivent tendre à faire admettre les postulats qui consacrent le processus démocratique, consolident les institutions constitutionnelles, rétablissent la suprématie de la loi et protègent les libertés individuelles et collectives, autant d'objectifs nobles auxquels aspiraient nos chouhadas». Le chef de l'Etat qui convoque l'histoire rappelle «le message clair de nos chouhadas est qu'une entité indépendante, quel que soit son poids, ne saurait composer avec l'autre que d'égal à égal». Et d'insister qu'«elle se reconnaît à travers ses propres actions», estimant que «les relations basées sur cet esprit permettent à cette entité de se révéler et d'interagir avec l'autre en tant que telle». Le chef de l'Etat, note cependant qu'elle «peut influencer et subir des influences sans pour autant s'effacer ni dépendre de telle ou telle partie». Livrant le fond de sa pensée sur les réformes engagées, il assure que «nous voulons une réforme qui profitera indéniablement à tous les citoyens dans le cadre de l'équilibre entre droits et devoirs qui s'impose aujourd'hui plus que jamais», estimant que l'Algérie, qui «jouit d'une longue et riche expérience est consciente de toute la portée des réformes qu'elle entend opérer, des réformes qui émanent de sa propre volonté au mieux des intérêts de la Nation». Le président de la République admet cependant «l'existence de dénominateurs communs, de principes, de valeurs et de repères qu'elle partage avec les autres peuples», mais demeure convaincu que "la spécificité de l'Algérie ainsi que les moyens dont elle dispose la qualifient hautement pour engager le processus de renouveau, consolider ses institutions et leur conférer davantage d'efficacité, forte en cela du potentiel qu'elle recèle». Dans ce contexte, il affirme que la réforme initiée par l'Algérie «est une réforme sérieuse et globale qui optimise tous les secteurs et mobilise les potentialités inexploitées en les sortant de l'inertie dans laquelle elles sont confinées», soulignant que cette réforme «doit s'opérer parallèlement à la lutte contre la corruption». Si nous échouons sur ce plan, «la réforme aura été nulle et sans effet», a prévenu le chef de l'Etat.