En raison de ses énormes réserves gazières et les demandes accrues de consommation des pays européens, notamment durant les périodes hivernales où le pic de consommation atteint des niveaux historiques, l'Algérie continue d'attirer des investisseurs internationaux. En raison de ses énormes réserves gazières et les demandes accrues de consommation des pays européens, notamment durant les périodes hivernales où le pic de consommation atteint des niveaux historiques, l'Algérie continue d'attirer des investisseurs internationaux. Ainsi, l'Algérie ne laisse pas indifférents les investisseurs potentiels étrangers et attire de plus en plus d'investissements productifs dans le secteur des hydrocarbures, notamment en ce qui concerne le gaz. La firme espagnole Repsol a indiqué, récemment, «qu'un consortium méditerranéen prévoit d'injecter 2,225 milliards d'euros dans un projet de champs gaziers à Reggane nord dans le Sahara algérien à 1.500 km au sud-ouest d'Alger. Ce consortium est composé, selon la même source, du groupe algérien, Sonatrach à concurrence de 40%, l'espagnol Repsol avec une participation de 29,25%, de l'allemand RWE Dea avec 19,5% et l'italien Edison qui entend investir 11,25% du montant global du projet». Le projet a été adopté par les autorités compétentes algériennes et prévoit la construction de six champs gaziers à Reggane nord (Reggane, Azrafil sud-est, Kahlouche, Kahlouche Sud, Tiouliline et Saliavec), le développement de puits, des installations et des infrastructures pour exploiter les réserves commerciales découvertes. Une usine de traitement de gaz, un système d'accumulation de gaz, un gazoduc d'exportation et des infrastructures comme la piste d'atterrissage figurent dans le projet. La rentrée en production de ces champs pourrait débuter dès la mi-2016 et atteindre les 8 millions de mètres cubes de gaz par jour au cours des douze premières années. Repsol indique qu'il produit déjà environ 50.000 barils de pétrole ou équivalent par jour dans le nord de l'Afrique. Il y a lieu de souligner que le plus important gisement découvert en association avec le consortium Repsol Exploration Algeria SA/RWE-DEA/Edison international se trouve dans le bassin de Reggane (1.100 km au Sud-est de la capitale), avec une production potentielle de quelque 630.000 m3/jour. Repsol est l'opérateur sur ce gisement avec une participation de 33,75%, aux côtés de la Sonatrach (25%), des Allemands de RWE (22,5 %) et de l'italien Edison (18,75%). Un autre gisement a été découvert récemment dans le bassin d'Ahnet, proche de celui de Reggane et le troisième à Gassi Chergi, dans le bassin de Berkine, plus à l'est. Cette dernière découverte a été obtenue, selon Sonatrach, en partenariat avec le consortium Repsol Exploration Algeria SA/Gas Natural SDG. Un million de m3/jour représente environ 1% de la consommation espagnole, selon le groupe algérien. Repsol insiste sur l'importance du bassin de Reggane, où l'ensemble des découvertes sont estimées à 145 millions de barils équivalent pétrole. L'Algérie, dont les réserves de gaz sont estimées à plus de 4.500 milliards de m3, compte porter ses exportations de gaz à 85 milliards de m3 en 2011 contre 62 milliards actuellement. L'Algérie envisage donc de rentabiliser et optimiser ses livraisons de gaz à l'Union européenne avec l'exploitation maximale du gazoduc Maghreb-Europe même si des pays européennes ont sollicité une éventuelle révision des coûts du gaz. Récemment, l'Italie a demandé l'accroissement des volumes d'exportation du gaz algérien vers la péninsule italienne, très affectée par les changements climatiques et la vague de froid polaire et sibérien de février, sachant que ce pays importe 27% de ses besoins en matière de gaz d'Algérie, par le biais du gazoduc transméditerranéen, reliant les champs de Hassi R'mel à l'Italie via la Sicile.. Ainsi, l'Algérie ne laisse pas indifférents les investisseurs potentiels étrangers et attire de plus en plus d'investissements productifs dans le secteur des hydrocarbures, notamment en ce qui concerne le gaz. La firme espagnole Repsol a indiqué, récemment, «qu'un consortium méditerranéen prévoit d'injecter 2,225 milliards d'euros dans un projet de champs gaziers à Reggane nord dans le Sahara algérien à 1.500 km au sud-ouest d'Alger. Ce consortium est composé, selon la même source, du groupe algérien, Sonatrach à concurrence de 40%, l'espagnol Repsol avec une participation de 29,25%, de l'allemand RWE Dea avec 19,5% et l'italien Edison qui entend investir 11,25% du montant global du projet». Le projet a été adopté par les autorités compétentes algériennes et prévoit la construction de six champs gaziers à Reggane nord (Reggane, Azrafil sud-est, Kahlouche, Kahlouche Sud, Tiouliline et Saliavec), le développement de puits, des installations et des infrastructures pour exploiter les réserves commerciales découvertes. Une usine de traitement de gaz, un système d'accumulation de gaz, un gazoduc d'exportation et des infrastructures comme la piste d'atterrissage figurent dans le projet. La rentrée en production de ces champs pourrait débuter dès la mi-2016 et atteindre les 8 millions de mètres cubes de gaz par jour au cours des douze premières années. Repsol indique qu'il produit déjà environ 50.000 barils de pétrole ou équivalent par jour dans le nord de l'Afrique. Il y a lieu de souligner que le plus important gisement découvert en association avec le consortium Repsol Exploration Algeria SA/RWE-DEA/Edison international se trouve dans le bassin de Reggane (1.100 km au Sud-est de la capitale), avec une production potentielle de quelque 630.000 m3/jour. Repsol est l'opérateur sur ce gisement avec une participation de 33,75%, aux côtés de la Sonatrach (25%), des Allemands de RWE (22,5 %) et de l'italien Edison (18,75%). Un autre gisement a été découvert récemment dans le bassin d'Ahnet, proche de celui de Reggane et le troisième à Gassi Chergi, dans le bassin de Berkine, plus à l'est. Cette dernière découverte a été obtenue, selon Sonatrach, en partenariat avec le consortium Repsol Exploration Algeria SA/Gas Natural SDG. Un million de m3/jour représente environ 1% de la consommation espagnole, selon le groupe algérien. Repsol insiste sur l'importance du bassin de Reggane, où l'ensemble des découvertes sont estimées à 145 millions de barils équivalent pétrole. L'Algérie, dont les réserves de gaz sont estimées à plus de 4.500 milliards de m3, compte porter ses exportations de gaz à 85 milliards de m3 en 2011 contre 62 milliards actuellement. L'Algérie envisage donc de rentabiliser et optimiser ses livraisons de gaz à l'Union européenne avec l'exploitation maximale du gazoduc Maghreb-Europe même si des pays européennes ont sollicité une éventuelle révision des coûts du gaz. Récemment, l'Italie a demandé l'accroissement des volumes d'exportation du gaz algérien vers la péninsule italienne, très affectée par les changements climatiques et la vague de froid polaire et sibérien de février, sachant que ce pays importe 27% de ses besoins en matière de gaz d'Algérie, par le biais du gazoduc transméditerranéen, reliant les champs de Hassi R'mel à l'Italie via la Sicile..