Hillary Clinton chef de la diplomatie américaine se fait appeler «Désirée». Une invitation annoncée en fanfare pour le mois de février par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui était à Washington les 12 et 13 janvier de l'année en cours pour expliquer les réformes lors d'un think tank américain CSIS à Washington. Un principe qui avait déjà été retenu en mai 2011. Hillary Clinton s'était félicitée de la qualité des relations algéro-américaines qu'elle avait du reste qualifiées d'excellentes et avait applaudi les réformes engagées par l'Algérie toutefois avec un oui mais... elle voudrait «voir de vraies bases démocratiques qui reflètent les aspirations du peuple algérien». Reste que sur le plan sécuritaire, l'Algérie est un excellent partenaire depuis plus d'une décennie. Mais la visite en Algérie de la chef de la diplomatie américaine fut reportée une première fois, probablement pour une histoire de calendrier, il n'empêche, quand on sait que cette dernière a visité par deux fois le Maroc en 2009 et la Tunisie en 2011. Il est question d'une autre visite qu'elle effectuera au Maroc puis à Tunis où elle aura une rencontre avec le groupe «des Amis de la Syrie» qui se tient à Tunis pour enfin, si tout se passe bien jusque-là, fouler le sol algérien. Elle est attendue samedi prochain en visite officielle en Algérie, un beau pied-de nez pour les personnes mal intentionnées qui parlaient de report ou d'annulation à peine voilée ou démentir certaines rumeurs dans certains médias pour des pseudo divergences sur la Syrie et le Mali entre autres. La visite d'Hillary Clinton, qui s'inscrit dans le cadre d'une tournée maghrébine, s'apparente néanmoins à un appui déclaré, même l'ex-première dame des Etats-Unis ne se gênera pas de demander de plus amples informations sur le train de réformes engagées comme le fait si bien l'ambassadeur des Etats-Unis en Algérie et avoir l'assurance de la transparence du scrutin pour les prochaines législatives. Hillary Clinton chef de la diplomatie américaine se fait appeler «Désirée». Une invitation annoncée en fanfare pour le mois de février par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui était à Washington les 12 et 13 janvier de l'année en cours pour expliquer les réformes lors d'un think tank américain CSIS à Washington. Un principe qui avait déjà été retenu en mai 2011. Hillary Clinton s'était félicitée de la qualité des relations algéro-américaines qu'elle avait du reste qualifiées d'excellentes et avait applaudi les réformes engagées par l'Algérie toutefois avec un oui mais... elle voudrait «voir de vraies bases démocratiques qui reflètent les aspirations du peuple algérien». Reste que sur le plan sécuritaire, l'Algérie est un excellent partenaire depuis plus d'une décennie. Mais la visite en Algérie de la chef de la diplomatie américaine fut reportée une première fois, probablement pour une histoire de calendrier, il n'empêche, quand on sait que cette dernière a visité par deux fois le Maroc en 2009 et la Tunisie en 2011. Il est question d'une autre visite qu'elle effectuera au Maroc puis à Tunis où elle aura une rencontre avec le groupe «des Amis de la Syrie» qui se tient à Tunis pour enfin, si tout se passe bien jusque-là, fouler le sol algérien. Elle est attendue samedi prochain en visite officielle en Algérie, un beau pied-de nez pour les personnes mal intentionnées qui parlaient de report ou d'annulation à peine voilée ou démentir certaines rumeurs dans certains médias pour des pseudo divergences sur la Syrie et le Mali entre autres. La visite d'Hillary Clinton, qui s'inscrit dans le cadre d'une tournée maghrébine, s'apparente néanmoins à un appui déclaré, même l'ex-première dame des Etats-Unis ne se gênera pas de demander de plus amples informations sur le train de réformes engagées comme le fait si bien l'ambassadeur des Etats-Unis en Algérie et avoir l'assurance de la transparence du scrutin pour les prochaines législatives.