Le président du Front pour la justice et le développement (FJD) a fait preuve d'un grand optimisme en prédisant une victoire de son parti lors des élections législatives prévues le 10 mai prochain. Le président du Front pour la justice et le développement (FJD) a fait preuve d'un grand optimisme en prédisant une victoire de son parti lors des élections législatives prévues le 10 mai prochain. «Au FJD nous n'avons aucun doute quant à notre victoire», a, en effet, indiqué, hier, Abdallah Djaballah lors d'une conférence de presse tenue au nouveau siège de son parti. Il a tenu à dissiper toutes les craintes manifestées par les uns et les autres sur les conséquences qu'induirait une victoire des islamistes aux législatives. «Il n'y a aucune raison d'avoir des craintes car si on arrive au pouvoir on va présenter des garanties s'agissant du renforcement de toutes les libertés sans distinction». C'est sans doute cette assurance à pouvoir trancher en sa faveur tout seul cette prochaine bataille électorale qui fait que le leader du FJD s'est montré très réservé et très peu enthousiasmé à l'idée de contracter des alliances avec les partis islamistes et, par voie de conséquence, participer à cette échéance électorale avec des listes communes. Pour Abdallah Djaballah, «il y avait dans le passé plus d'une trentaine de vaines tentatives et d'expériences en vue de créer des alliances entre les islamistes. C'est pourquoi je suis arrivé à la conviction qu'il est impossible de réaliser cela», a-t-il précisé ajoutant, cependant, qu'il est «favorable à toute coordination à même d'assurer un meilleur contrôle des élections législatives». Cela dit, Djaballah a aussi souligné que son parti n'a pas été officiellement saisi sur une quelconque initiative relative à l'alliance des islamistes. «Nous avons juste été informés de ce projet à travers la presse. Mais ce sont les instances du parti qui vont se prononcer sur cette question si on nous invite officiellement à y adhérer», dira-t-il. Il faut dire que quelques personnalités de la mouvance islamiste ont lancé récemment une initiative pour unir les islamistes afin qu'ils participent aux élections avec des listes communes. Une initiative diversement appréciée. Cela dit, Djaballah a aussi fait montre de ses craintes relatives au manque de garanties quant à la transparence des élections et ce, même s' il a bien apprécié le discours du président de la République à ce propos. «Le pouvoir doit donner plus de garanties nécessaires pour rassurer les partis politiques mais aussi pour amener les Algériens à aller voter», a indiqué le conférencier avant d'ajouter que «la crainte par rapport à la fraude est légitime car l'on ne peut oublier les expériences passées», a affirmé Djaballah qui s'est aussi étonné, dans ce même contexte , du nombre d'électeurs. «Nous sommes inquiets de ce nombre exagéré de 21 millions de personnes composant le corps électoral alors que nous ne sommes que 35 millions d'Algériens seulement. Car il est impossible que le corps électoral soit constitué de 60% d'Algériens. Dans tout les pays du monde ce pourcentage varie entre 40 et 48% seulement», a précisé Djaballah tout en s'interrogeant sur la partie qui va bénéficier de cette augmentation du nombre d'électeurs. Il n'a pas aussi voulu polémiquer avec Louisa Hanoune qui n'a cessé ces derniers temps d'épingler les islamistes. «On est pas obligés de répondre à toutes les déclarations» a-t-il soutenu. La secrétaire générale du Parti des travailleurs a récemment déclaré que les islamistes sont soutenus par des financements venant de l'étranger. Enfin, Djaballah a confirmé s'être octroyé les pleins pouvoirs pour gouverner le FJD et ce, sans doute aucun, pour éviter la réédition des expériences précédentes lorsque il a été «dépossédé» des mouvements Enahda et d'El Islah. «Au FJD nous n'avons aucun doute quant à notre victoire», a, en effet, indiqué, hier, Abdallah Djaballah lors d'une conférence de presse tenue au nouveau siège de son parti. Il a tenu à dissiper toutes les craintes manifestées par les uns et les autres sur les conséquences qu'induirait une victoire des islamistes aux législatives. «Il n'y a aucune raison d'avoir des craintes car si on arrive au pouvoir on va présenter des garanties s'agissant du renforcement de toutes les libertés sans distinction». C'est sans doute cette assurance à pouvoir trancher en sa faveur tout seul cette prochaine bataille électorale qui fait que le leader du FJD s'est montré très réservé et très peu enthousiasmé à l'idée de contracter des alliances avec les partis islamistes et, par voie de conséquence, participer à cette échéance électorale avec des listes communes. Pour Abdallah Djaballah, «il y avait dans le passé plus d'une trentaine de vaines tentatives et d'expériences en vue de créer des alliances entre les islamistes. C'est pourquoi je suis arrivé à la conviction qu'il est impossible de réaliser cela», a-t-il précisé ajoutant, cependant, qu'il est «favorable à toute coordination à même d'assurer un meilleur contrôle des élections législatives». Cela dit, Djaballah a aussi souligné que son parti n'a pas été officiellement saisi sur une quelconque initiative relative à l'alliance des islamistes. «Nous avons juste été informés de ce projet à travers la presse. Mais ce sont les instances du parti qui vont se prononcer sur cette question si on nous invite officiellement à y adhérer», dira-t-il. Il faut dire que quelques personnalités de la mouvance islamiste ont lancé récemment une initiative pour unir les islamistes afin qu'ils participent aux élections avec des listes communes. Une initiative diversement appréciée. Cela dit, Djaballah a aussi fait montre de ses craintes relatives au manque de garanties quant à la transparence des élections et ce, même s' il a bien apprécié le discours du président de la République à ce propos. «Le pouvoir doit donner plus de garanties nécessaires pour rassurer les partis politiques mais aussi pour amener les Algériens à aller voter», a indiqué le conférencier avant d'ajouter que «la crainte par rapport à la fraude est légitime car l'on ne peut oublier les expériences passées», a affirmé Djaballah qui s'est aussi étonné, dans ce même contexte , du nombre d'électeurs. «Nous sommes inquiets de ce nombre exagéré de 21 millions de personnes composant le corps électoral alors que nous ne sommes que 35 millions d'Algériens seulement. Car il est impossible que le corps électoral soit constitué de 60% d'Algériens. Dans tout les pays du monde ce pourcentage varie entre 40 et 48% seulement», a précisé Djaballah tout en s'interrogeant sur la partie qui va bénéficier de cette augmentation du nombre d'électeurs. Il n'a pas aussi voulu polémiquer avec Louisa Hanoune qui n'a cessé ces derniers temps d'épingler les islamistes. «On est pas obligés de répondre à toutes les déclarations» a-t-il soutenu. La secrétaire générale du Parti des travailleurs a récemment déclaré que les islamistes sont soutenus par des financements venant de l'étranger. Enfin, Djaballah a confirmé s'être octroyé les pleins pouvoirs pour gouverner le FJD et ce, sans doute aucun, pour éviter la réédition des expériences précédentes lorsque il a été «dépossédé» des mouvements Enahda et d'El Islah.