Les négociations entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur le programme nucléaire controversé de la République islamique — militaire ou pas — sont dans une impasse après l'échec d'une seconde mission de l'agence onusienne à Téhéran, dite de "la dernière chance". L'AIEA a "regretté" l'absence d'un accord avec l'Iran sur la suite des discussions concernant le programme nucléaire controversé de la République islamique, à visée militaire, comme le suspectent les Occidentaux, ou strictement civil, comme l'affirme Téhéran. Dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi, l'AIEA a également relevé le refus de Téhéran d'accorder à une mission de l'AIEA l'accès au site nucléaire supposé de Parchin, situé dans une base militaire. Dans son communiqué, l'AIEA ne donne pas d'indication sur les suites qu'elle entend donner à cet échec, dont débattra son conseil des gouverneurs, le cinq mars prochain. Ces vives critiques de l'AIEA interviennent à l'issue d'une visite de deux jours à Téhéran, les 20 et 21 février, d'une mission de haut rang de l'AIEA, la seconde après un premier séjour, du 29 au 31 janvier. Irak La Libye souhaite rouvrir son ambassade La Libye a exprimé son souhait de rouvrir son ambassade en Irak et de développer les relations entre les deux pays, à l'occasion de la visite officielle entamée mardi à Baghdad par le conseiller du gouvernement libyen Nacer Al-Menaâ. M. Al-Menaâ a remis un message du chef du gouvernement libyen de transition Abdel Rahim Al-Kib à son homologue irakien Nouri Al-Maliki, exprimant le souhait de Tripoli de "rouvrir l'ambassade libyenne à Baghdad et de développer les relations bilatérales". Au cours de sa visite à Baghdad, M. Al-Menaâ, qui dirige une importante délégation, a eu des entretiens avec des responsables irakiens, à leur tête M. Al-Maliki, selon un communiqué du gouvernement irakien, reproduit mercredi par des médias. La délégation libyenne a émis le voeu de renforcer la coopération avec l'Irak dans les différents domaines, notamment dans la formation des forces armées et des autres corps de sécurité. Les diplomates libyens ont ainsi estimé que Baghdad et Tripoli "sont aptes de bâtir de nouvelles relations développées". De son côté, le Premier ministre irakien a exprimé la disposition de son pays à coopérer avec la nouvelle expérience libyenne en vue de fournir l'aide nécessaire pour la reconstruction de la Libye. A propos des prisonniers libyens détenus en Irak, M. Al-Maliki a tenu à préciser à la délégation libyenne que "l'examen de cette question ne revient qu'aux autorités judiciaires du pays, seules habilitées de trancher sur ce genre de dossiers". Les négociations entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur le programme nucléaire controversé de la République islamique — militaire ou pas — sont dans une impasse après l'échec d'une seconde mission de l'agence onusienne à Téhéran, dite de "la dernière chance". L'AIEA a "regretté" l'absence d'un accord avec l'Iran sur la suite des discussions concernant le programme nucléaire controversé de la République islamique, à visée militaire, comme le suspectent les Occidentaux, ou strictement civil, comme l'affirme Téhéran. Dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi, l'AIEA a également relevé le refus de Téhéran d'accorder à une mission de l'AIEA l'accès au site nucléaire supposé de Parchin, situé dans une base militaire. Dans son communiqué, l'AIEA ne donne pas d'indication sur les suites qu'elle entend donner à cet échec, dont débattra son conseil des gouverneurs, le cinq mars prochain. Ces vives critiques de l'AIEA interviennent à l'issue d'une visite de deux jours à Téhéran, les 20 et 21 février, d'une mission de haut rang de l'AIEA, la seconde après un premier séjour, du 29 au 31 janvier. Irak La Libye souhaite rouvrir son ambassade La Libye a exprimé son souhait de rouvrir son ambassade en Irak et de développer les relations entre les deux pays, à l'occasion de la visite officielle entamée mardi à Baghdad par le conseiller du gouvernement libyen Nacer Al-Menaâ. M. Al-Menaâ a remis un message du chef du gouvernement libyen de transition Abdel Rahim Al-Kib à son homologue irakien Nouri Al-Maliki, exprimant le souhait de Tripoli de "rouvrir l'ambassade libyenne à Baghdad et de développer les relations bilatérales". Au cours de sa visite à Baghdad, M. Al-Menaâ, qui dirige une importante délégation, a eu des entretiens avec des responsables irakiens, à leur tête M. Al-Maliki, selon un communiqué du gouvernement irakien, reproduit mercredi par des médias. La délégation libyenne a émis le voeu de renforcer la coopération avec l'Irak dans les différents domaines, notamment dans la formation des forces armées et des autres corps de sécurité. Les diplomates libyens ont ainsi estimé que Baghdad et Tripoli "sont aptes de bâtir de nouvelles relations développées". De son côté, le Premier ministre irakien a exprimé la disposition de son pays à coopérer avec la nouvelle expérience libyenne en vue de fournir l'aide nécessaire pour la reconstruction de la Libye. A propos des prisonniers libyens détenus en Irak, M. Al-Maliki a tenu à préciser à la délégation libyenne que "l'examen de cette question ne revient qu'aux autorités judiciaires du pays, seules habilitées de trancher sur ce genre de dossiers".