Depuis mercredi dernier, les automobilistes vers ou en provenance d'Alger sont contraints de passer par la ville de Drâa Ben Khedda. Cette mesure s'est imposée d'elle-même suite à la fermeture à la circulation du Pont reliant les deux extrémités de cette ville via la RN 12 à cause des dégâts causés par les dernières intempéries. Il s'agit pourtant d'un des ponts les plus récents inauguré, il y a moins de dix ans en grande pompe. Des ponts beaucoup plus «vieux» existant dans la wilaya de Tizi Ouzou ont résisté à cette tempête. La question que se posent les citoyens de la wilaya de Tizi-Ouzou est : «Comment un pont construit il y a, à peine quelques années, peut-il menacer de s'effondrer ?». Ceci nous renseigne, de toute évidence, sur la qualité peu regardante à l'endroit des travaux qui sont réalisés dans le secteur des travaux publics dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Ce n'est pas seulement ce pont qui enregistre des anomalies, mais plusieurs routes de la wilaya font état également de la mauvaise teneur des travaux de leur réalisation. Hier, vendredi, les travaux pour la réhabilitation du pont de Drâa Ben Khedda battaient la mesure, cependant, aucun délai n'a été avancé par les autorités concernées quant à la fin des travaux, ce qui permettra un retour à la normale. En attendant, les automobilistes sont en train de faire face à un calvaire, notamment au niveau de la ville de Drâa Ben Khedda, passage obligé pour tous comme au bon vieux temps. Mais dans les années quatre vingt, on était vraiment loin, très loin du flux automobile enregistré aujourd'hui. Les citoyens de la ville de Drâa Ben Khedda pâtissent également de cette situation de cacophonie. «Il m'a fallu plus d'une heure pour me rendre à Tizi Ouzou (10 kilomètres)», souligne un citoyen de la ville de Drâa Ben Khedda, joint hier par téléphone. Depuis mercredi dernier, Drâa Ben Khedda étouffe car elle ne peut pas contenir le flux de véhicules en continu. Déjà que dans des situations ordinaires, les embouteillages sont légion dans la ville des Cigognes… Lors de notre déplacement jeudi, il n'y avait même pas un endroit où stationner son véhicule. Et pour traverser la ville de Drâa Ben Khedda d'un bout à l'autre, il faut s'armer de patience car ce trajet d'à peine cinq minutes en temps normal a nécessité plus d'une heure et demie ! Depuis mercredi dernier, les automobilistes vers ou en provenance d'Alger sont contraints de passer par la ville de Drâa Ben Khedda. Cette mesure s'est imposée d'elle-même suite à la fermeture à la circulation du Pont reliant les deux extrémités de cette ville via la RN 12 à cause des dégâts causés par les dernières intempéries. Il s'agit pourtant d'un des ponts les plus récents inauguré, il y a moins de dix ans en grande pompe. Des ponts beaucoup plus «vieux» existant dans la wilaya de Tizi Ouzou ont résisté à cette tempête. La question que se posent les citoyens de la wilaya de Tizi-Ouzou est : «Comment un pont construit il y a, à peine quelques années, peut-il menacer de s'effondrer ?». Ceci nous renseigne, de toute évidence, sur la qualité peu regardante à l'endroit des travaux qui sont réalisés dans le secteur des travaux publics dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Ce n'est pas seulement ce pont qui enregistre des anomalies, mais plusieurs routes de la wilaya font état également de la mauvaise teneur des travaux de leur réalisation. Hier, vendredi, les travaux pour la réhabilitation du pont de Drâa Ben Khedda battaient la mesure, cependant, aucun délai n'a été avancé par les autorités concernées quant à la fin des travaux, ce qui permettra un retour à la normale. En attendant, les automobilistes sont en train de faire face à un calvaire, notamment au niveau de la ville de Drâa Ben Khedda, passage obligé pour tous comme au bon vieux temps. Mais dans les années quatre vingt, on était vraiment loin, très loin du flux automobile enregistré aujourd'hui. Les citoyens de la ville de Drâa Ben Khedda pâtissent également de cette situation de cacophonie. «Il m'a fallu plus d'une heure pour me rendre à Tizi Ouzou (10 kilomètres)», souligne un citoyen de la ville de Drâa Ben Khedda, joint hier par téléphone. Depuis mercredi dernier, Drâa Ben Khedda étouffe car elle ne peut pas contenir le flux de véhicules en continu. Déjà que dans des situations ordinaires, les embouteillages sont légion dans la ville des Cigognes… Lors de notre déplacement jeudi, il n'y avait même pas un endroit où stationner son véhicule. Et pour traverser la ville de Drâa Ben Khedda d'un bout à l'autre, il faut s'armer de patience car ce trajet d'à peine cinq minutes en temps normal a nécessité plus d'une heure et demie !