Le Parti des travailleurs (PT) n'envisage pas d'alliances avec d'autres partis politiques en prévision des prochaines élections législatives prévues le 10 mai prochain, a réaffirmé hier la secrétaire générale du parti, Mme Louisa Hanoune. "Nous n'envisageons pas d'alliance, qui signifie gouverner et partager le pouvoir avec tel ou tel autre parti", a indiqué Mme Hanoune dans un entretien à la Radio nationale. Le PT se présentera au prochain scrutin avec des listes de militants du PT et un programme, a-t-elle précisé. "Si nous avions la majorité, nous assumerions nos responsabilités, dans le cas contraire, ce sera une situation qui appelle une réflexion et un débat", a-t-elle ajouté. "Aujourd'hui, le plus important pour le PT est de proposer des listes représentatives qui nous aideront à gagner les élections", a-t-elle dit, affirmant que son parti représente la "véritable alternative". Mme Hanoune a estimé que le prochain scrutin législatif est "décisif", car, a-t-elle expliqué, il "permet de rompre avec les pratiques du système du parti unique". Concernant l'organisation de l'opération électorale, elle a appelé à un "plafonnement du financement de la campagne électorale" et "au contrôle de son origine". "Il faut qu'il y ait un contrôle rigoureux de l'origine de l'argent finançant la campagne électorale des partis politiques et un plafonnement du financement pour empêcher la prédominance de l'argent dans la future Assemblée populaire nationale". D'ailleurs, Louiza Hanoune a proféré récemment de graves accusations à l'endroit des formations islamistes, en dénonçant les voyages effectués par certaines d'entre elles au Qatar et autres pays du Golfe, où ils bénéficieraient de financements pour leur campagne électorale. La SG du PT a lancé un appel aux hautes autorités de l'Etat afin de plafonner les coûts des campagnes électorales et surveiller de très près les dépenses de chaque parti, afin de prévenir contre l'utilisation de «l'argent sale» dans les élections et barrer le chemin aux «affairistes» qui brigueraient la députation à coup de milliards. En ennemie jurée des islamistes, Louiza Hanoune ne croit plus en la victoire de cette mouvance lors des prochaines élections législatives du 10 mai. Pour elle, les formations islamistes, en dépit de leur nombre impressionnant, ne pourraient avoir la majorité dans l'élection de la nouvelle Assemblée, comme c'est le cas dans certains pays arabes. Le Parti des travailleurs (PT) n'envisage pas d'alliances avec d'autres partis politiques en prévision des prochaines élections législatives prévues le 10 mai prochain, a réaffirmé hier la secrétaire générale du parti, Mme Louisa Hanoune. "Nous n'envisageons pas d'alliance, qui signifie gouverner et partager le pouvoir avec tel ou tel autre parti", a indiqué Mme Hanoune dans un entretien à la Radio nationale. Le PT se présentera au prochain scrutin avec des listes de militants du PT et un programme, a-t-elle précisé. "Si nous avions la majorité, nous assumerions nos responsabilités, dans le cas contraire, ce sera une situation qui appelle une réflexion et un débat", a-t-elle ajouté. "Aujourd'hui, le plus important pour le PT est de proposer des listes représentatives qui nous aideront à gagner les élections", a-t-elle dit, affirmant que son parti représente la "véritable alternative". Mme Hanoune a estimé que le prochain scrutin législatif est "décisif", car, a-t-elle expliqué, il "permet de rompre avec les pratiques du système du parti unique". Concernant l'organisation de l'opération électorale, elle a appelé à un "plafonnement du financement de la campagne électorale" et "au contrôle de son origine". "Il faut qu'il y ait un contrôle rigoureux de l'origine de l'argent finançant la campagne électorale des partis politiques et un plafonnement du financement pour empêcher la prédominance de l'argent dans la future Assemblée populaire nationale". D'ailleurs, Louiza Hanoune a proféré récemment de graves accusations à l'endroit des formations islamistes, en dénonçant les voyages effectués par certaines d'entre elles au Qatar et autres pays du Golfe, où ils bénéficieraient de financements pour leur campagne électorale. La SG du PT a lancé un appel aux hautes autorités de l'Etat afin de plafonner les coûts des campagnes électorales et surveiller de très près les dépenses de chaque parti, afin de prévenir contre l'utilisation de «l'argent sale» dans les élections et barrer le chemin aux «affairistes» qui brigueraient la députation à coup de milliards. En ennemie jurée des islamistes, Louiza Hanoune ne croit plus en la victoire de cette mouvance lors des prochaines élections législatives du 10 mai. Pour elle, les formations islamistes, en dépit de leur nombre impressionnant, ne pourraient avoir la majorité dans l'élection de la nouvelle Assemblée, comme c'est le cas dans certains pays arabes.