«La situation actuelle de l'Algérie concernant son accession à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) préconise (dans l'esprit de nos responsables négociateurs) des négociations multilatérales et bilatérales tenant compte des principes de cette organisation, mais cela se fera en fonction des intérêts économiques et commerciaux de l'Algérie et des pays voulant y adhérer », a notamment déclaré, hier, Mohamed Benseddik, directeur des affaires commerciales multilatérales au sein de la direction des relations extérieures au ministère des Affaires étrangères, lors d'une journée d'information intitulée ‘'l'OMC et le système commercial multilatéral : évolution et perspectives''. «La situation actuelle de l'Algérie concernant son accession à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) préconise (dans l'esprit de nos responsables négociateurs) des négociations multilatérales et bilatérales tenant compte des principes de cette organisation, mais cela se fera en fonction des intérêts économiques et commerciaux de l'Algérie et des pays voulant y adhérer », a notamment déclaré, hier, Mohamed Benseddik, directeur des affaires commerciales multilatérales au sein de la direction des relations extérieures au ministère des Affaires étrangères, lors d'une journée d'information intitulée ‘'l'OMC et le système commercial multilatéral : évolution et perspectives''. Ce conférencier souligne que l'Algérie a opté, en 1998, pour la conclusion d'un accord d'association avec l'Union européenne et l'OMC avec la relance des négociations, mais avec un mémorandum réactualisé en mettant l'accent sur les redevances douanières et la stratégie de défense commerciale. «L'Algérie devra avoir accès au marché des biens et marchandises et des services sachant qu'elle a adopté 1.136 accords, ajoutant que le pays, en dépit des conditions draconiennes et exorbitantes e l'accession, avance dans le processus de négociation en vue de son accession. Cependant, il est impérieux de préserver ses intérêts sachant qu'il y a un terrain d'entente avec nos partenaires», a-t-il précisé. Après avoir abordé les jeux d'influence des superpuissances économiques (Etats-Unis d'Amérique, Europe et Japon), le déroulement des négociations et le processus d'adhésion de l'Algérie, il a indiqué que les pourparlers s'engagent à nouveau avec la préservation de nos intérêts et le gouvernement a fait part à l'OMC que l'accession est toujours une question importante, toutefois, le déroulement du processus des négociations dépend de la partie algérienne en tenant compte de l'appréciation des autres parties qui estiment que le processus est terminé ou à poursuivre. Pour les responsables en charge du commerce, l'économie nationale est dirigée vers l'ouverture et, par conséquent, il faudra s'adapter à la concurrence et mettre à niveau nos entreprises afin d'accroître leurs capacités de production et d'exportation, néanmoins, cela dépend du rythme des négociations. En tout état de cause, l'Etat est disposé à examiner et négocier le processus d'adhésion de l'Algérie à l'OMC même si les exigences sont difficiles, car «nous suivons une démarche tenant en considération du développement du marché mondial et les impératifs de cette organisation qui détient 98 % du commerce multilatéral actuellement», a-t-il dit.Rappelons que l'Algérie suit toutes les procédures d'accession à l'OMC en déposant un mémorandum de commerce extérieur en préservant les tarifs commerciaux et en procédant à la transformation législative en conformité avec les accords. Mais, également, il s'agit de bien communiquer afin d'aboutir à de bons résultats. L'Algérie n'arrive pas à négocier facilement l'adhésion, car il faut, selon l'OMC, cesser de soutenir les prix énergétiques sur le marché national, et les mettre au même tarif que ceux pratiqués au plan international. C'est, en fait, l'un des points de discorde, mais important. Ce conférencier souligne que l'Algérie a opté, en 1998, pour la conclusion d'un accord d'association avec l'Union européenne et l'OMC avec la relance des négociations, mais avec un mémorandum réactualisé en mettant l'accent sur les redevances douanières et la stratégie de défense commerciale. «L'Algérie devra avoir accès au marché des biens et marchandises et des services sachant qu'elle a adopté 1.136 accords, ajoutant que le pays, en dépit des conditions draconiennes et exorbitantes e l'accession, avance dans le processus de négociation en vue de son accession. Cependant, il est impérieux de préserver ses intérêts sachant qu'il y a un terrain d'entente avec nos partenaires», a-t-il précisé. Après avoir abordé les jeux d'influence des superpuissances économiques (Etats-Unis d'Amérique, Europe et Japon), le déroulement des négociations et le processus d'adhésion de l'Algérie, il a indiqué que les pourparlers s'engagent à nouveau avec la préservation de nos intérêts et le gouvernement a fait part à l'OMC que l'accession est toujours une question importante, toutefois, le déroulement du processus des négociations dépend de la partie algérienne en tenant compte de l'appréciation des autres parties qui estiment que le processus est terminé ou à poursuivre. Pour les responsables en charge du commerce, l'économie nationale est dirigée vers l'ouverture et, par conséquent, il faudra s'adapter à la concurrence et mettre à niveau nos entreprises afin d'accroître leurs capacités de production et d'exportation, néanmoins, cela dépend du rythme des négociations. En tout état de cause, l'Etat est disposé à examiner et négocier le processus d'adhésion de l'Algérie à l'OMC même si les exigences sont difficiles, car «nous suivons une démarche tenant en considération du développement du marché mondial et les impératifs de cette organisation qui détient 98 % du commerce multilatéral actuellement», a-t-il dit.Rappelons que l'Algérie suit toutes les procédures d'accession à l'OMC en déposant un mémorandum de commerce extérieur en préservant les tarifs commerciaux et en procédant à la transformation législative en conformité avec les accords. Mais, également, il s'agit de bien communiquer afin d'aboutir à de bons résultats. L'Algérie n'arrive pas à négocier facilement l'adhésion, car il faut, selon l'OMC, cesser de soutenir les prix énergétiques sur le marché national, et les mettre au même tarif que ceux pratiqués au plan international. C'est, en fait, l'un des points de discorde, mais important.