Afin de dissiper les supputations inhérentes à la prétendue réévaluation du dinar, qui a défrayé la chronique ces derniers jours, le ministère des Finances apporte quelques précisions en indiquant que la monnaie nationale a fait l'objet d'une simple dépréciation dans le but de freiner les importations et dans l'objectif essentiel d'encourager la production nationale. Afin de dissiper les supputations inhérentes à la prétendue réévaluation du dinar, qui a défrayé la chronique ces derniers jours, le ministère des Finances apporte quelques précisions en indiquant que la monnaie nationale a fait l'objet d'une simple dépréciation dans le but de freiner les importations et dans l'objectif essentiel d'encourager la production nationale. Ceci va dans le sens de limiter le déferlement de produits étrangers qui concurrencent, de manière féroce, les produits nationaux, produits localement.« Le dinar n'a pas connu de dévaluation ces derniers jours mais une simple dépréciation » souligne le ministre des Finances, Karim Djoudi, ajoutant que « la monnaie nationale n'a connu aucune dévaluation ces derniers jours par la Banque d'Algérie, comme rapporté par certains médias, mais son cours a connu juste une dépréciation par rapport à certaines devises ». Il poursuit : « La Banque d'Algérie ne peut pas, en tant que telle, procéder à une dévaluation du dinar. La dévaluation est une décision du gouvernement qui doit avoir l'aval du Parlement ». Abordant les flottements et les balancements au niveau international, il précise que « ce qui se passe par contre ce sont des fluctuations appréciations ou dépréciations du dinar sur la base d'une observation continue du marché international ». De toute façon, la valeur de la monnaie nationale dépend de la consistance de son économie, et plus les performances économiques sont importantes, plus le dinar connaît une réévaluation significative. Mais si la dévaluation constitue un phénomène définitif, voire structurel, la dépréciation d'une monnaie est un phénomène cyclique qui peut durer une journée, deux ou trois jours avant qu'une évolution dans le sens inverse peut être opérée, reconnaît Djoudi. Aussi, il montre que « l'évolution de la parité de la monnaie est, en outre, tributaire du pouvoir d'achat dans le pays » précisant que « si vous avez un taux d'inflation avec des conditions plus favorables sur le marché national par rapport au marché international, votre monnaie s'apprécie contre les monnaies internationales et l'inverse ». Sur le plan des changes, le dinar connaît également des fluctuations au niveau du change officiel sans pour autant le rendre plus fort, car il ne s'agit pas de doter la monnaie nationale d'une valeur surréaliste alors que sa valeur « fudiciaire » n'est pas officielle. Les responsables en charge de l'économie veulent donner une certaine compétitivité à l'économie nationale et aux entreprises exportatrices afin de redresser le dinar, sachant que sur le plan international, le commerce extérieur joue un rôle déterminant dans l'appréciation des performances économiques et, par voie de conséquence, reflète la vraie valeur de la monnaie. Ceci va dans le sens de limiter le déferlement de produits étrangers qui concurrencent, de manière féroce, les produits nationaux, produits localement.« Le dinar n'a pas connu de dévaluation ces derniers jours mais une simple dépréciation » souligne le ministre des Finances, Karim Djoudi, ajoutant que « la monnaie nationale n'a connu aucune dévaluation ces derniers jours par la Banque d'Algérie, comme rapporté par certains médias, mais son cours a connu juste une dépréciation par rapport à certaines devises ». Il poursuit : « La Banque d'Algérie ne peut pas, en tant que telle, procéder à une dévaluation du dinar. La dévaluation est une décision du gouvernement qui doit avoir l'aval du Parlement ». Abordant les flottements et les balancements au niveau international, il précise que « ce qui se passe par contre ce sont des fluctuations appréciations ou dépréciations du dinar sur la base d'une observation continue du marché international ». De toute façon, la valeur de la monnaie nationale dépend de la consistance de son économie, et plus les performances économiques sont importantes, plus le dinar connaît une réévaluation significative. Mais si la dévaluation constitue un phénomène définitif, voire structurel, la dépréciation d'une monnaie est un phénomène cyclique qui peut durer une journée, deux ou trois jours avant qu'une évolution dans le sens inverse peut être opérée, reconnaît Djoudi. Aussi, il montre que « l'évolution de la parité de la monnaie est, en outre, tributaire du pouvoir d'achat dans le pays » précisant que « si vous avez un taux d'inflation avec des conditions plus favorables sur le marché national par rapport au marché international, votre monnaie s'apprécie contre les monnaies internationales et l'inverse ». Sur le plan des changes, le dinar connaît également des fluctuations au niveau du change officiel sans pour autant le rendre plus fort, car il ne s'agit pas de doter la monnaie nationale d'une valeur surréaliste alors que sa valeur « fudiciaire » n'est pas officielle. Les responsables en charge de l'économie veulent donner une certaine compétitivité à l'économie nationale et aux entreprises exportatrices afin de redresser le dinar, sachant que sur le plan international, le commerce extérieur joue un rôle déterminant dans l'appréciation des performances économiques et, par voie de conséquence, reflète la vraie valeur de la monnaie.