Les travaux du 11e congrès de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) ont repris, hier, à Alger par l'ouverture du débat général et la formation des commissions du congrès sous la présidence du secrétaire général de l'ONM, Said Abadou en présence du ministre des Moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas. Les travaux du 11e congrès de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) ont repris, hier, à Alger par l'ouverture du débat général et la formation des commissions du congrès sous la présidence du secrétaire général de l'ONM, Said Abadou en présence du ministre des Moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas. Les travaux des commissions, de la politique générale, des statuts, de la culture, de l'Histoire et de l'information et des affaires socioéconomiques s'attellent déjà à l'élaboration de leurs rapports pour les soumettre aux congressistes. Le vent du changement pourrait-il gagner l'ONM ? Il semble que l'on se dirige vers un changement dans «les mœurs qui président dans le choix du secrétaire général. Pour la journée d'hier, les congressistes se sont focalisés sur la question du mode opératoire pour le choix du secrétaire général de l'ONM. De nombreux intervenants ont souligné la nécessité d'élire le secrétaire général de l'ONM par le congrès et non par le conseil national ou le secrétariat exécutif. Ils ont estimé que l'élection du SG par le congrès prémunirait ce dernier des «pressions qu'il pourrait subir et lui conférerait de larges prérogatives lui permettant de sanctionner les contrevenants aux règles». Dans cadre, ils n'ont pas manqué de souligner l'importance de «prévoir des conditions claires et précises pour l'élection des responsables de l'ONM, empêcher les bureaux de wilaya d'y intervenir et organiser les élections des membres du conseil national». Les congressistes ont attiré l'attention sur «l'importance de l'écriture de l'histoire de la guerre de libération et du mouvement national au profit des générations montantes» estimant que «les nations qui ignorent leur Histoire sont les plus exposées à reproduire les erreurs du passé». Les moudjahidine ont appelé à «accorder un intérêt particulier à la famille révolutionnaire à travers une relecture objective commune des faits devant permettre de dégager une meilleure vision pour l'avenir». Ils estiment que la famille révolutionnaire est «la mémoire qui entretient la continuité avec les générations montantes en les nourrissant de patriotisme et de fierté des hauts faits accomplis par la génération de Novembre 1954». Les travaux des commissions, de la politique générale, des statuts, de la culture, de l'Histoire et de l'information et des affaires socioéconomiques s'attellent déjà à l'élaboration de leurs rapports pour les soumettre aux congressistes. Le vent du changement pourrait-il gagner l'ONM ? Il semble que l'on se dirige vers un changement dans «les mœurs qui président dans le choix du secrétaire général. Pour la journée d'hier, les congressistes se sont focalisés sur la question du mode opératoire pour le choix du secrétaire général de l'ONM. De nombreux intervenants ont souligné la nécessité d'élire le secrétaire général de l'ONM par le congrès et non par le conseil national ou le secrétariat exécutif. Ils ont estimé que l'élection du SG par le congrès prémunirait ce dernier des «pressions qu'il pourrait subir et lui conférerait de larges prérogatives lui permettant de sanctionner les contrevenants aux règles». Dans cadre, ils n'ont pas manqué de souligner l'importance de «prévoir des conditions claires et précises pour l'élection des responsables de l'ONM, empêcher les bureaux de wilaya d'y intervenir et organiser les élections des membres du conseil national». Les congressistes ont attiré l'attention sur «l'importance de l'écriture de l'histoire de la guerre de libération et du mouvement national au profit des générations montantes» estimant que «les nations qui ignorent leur Histoire sont les plus exposées à reproduire les erreurs du passé». Les moudjahidine ont appelé à «accorder un intérêt particulier à la famille révolutionnaire à travers une relecture objective commune des faits devant permettre de dégager une meilleure vision pour l'avenir». Ils estiment que la famille révolutionnaire est «la mémoire qui entretient la continuité avec les générations montantes en les nourrissant de patriotisme et de fierté des hauts faits accomplis par la génération de Novembre 1954».