L'hôpital psychiatrique Fernane-Hanafi de oued Aïssi dans la wilaya de Tizi-Ouzou est saturé surtout en ce qui concerne les hospitalisations d'urgence. C'est ce que nous avons constaté sur place. Le nombre de malades et des familles qui font confiance de plus en plus au personnel médical et paramédical de cet hôpital ne cesse de croitre. La qualité des services sont à la hauteur des attentes et ce, sur tous les plans. C'est ce qui explique sans doute cet afflux. Avec une capacité d'hospitalisation de soixante quinze lits, l'hôpital ne plus faire face à la demande d'autant plus qu'il reçoit des patients des wilayas limitrophes. Ainsi, en plus de ceux de la wilaya de Tizi-Ouzou, cet hôpital prend en charge les malades de Béjaïa, Bouira et Boumerdès. Ce qui ne rend pas la tâche facile au personnel dévoué de cet hôpital dont la mission, on peut le deviner, n'est pas du tout une sinécure. La seule solution qui peut mettre un terme à cette saturation, de l'avis du personnel, est l'extention de cet hôpital qui reste un modèle en Algérie sur tout point de vue. Un hommage particulier est à rendre aux travaileurs et aux infirmiers de cet hôpital, lesquels travaillent 24 heures sur 24 heures pour assurer une meilleure prise en charge possible aux malades. L'hôpital psychiatrique Fernane-Hanafi de oued Aïssi dans la wilaya de Tizi-Ouzou est saturé surtout en ce qui concerne les hospitalisations d'urgence. C'est ce que nous avons constaté sur place. Le nombre de malades et des familles qui font confiance de plus en plus au personnel médical et paramédical de cet hôpital ne cesse de croitre. La qualité des services sont à la hauteur des attentes et ce, sur tous les plans. C'est ce qui explique sans doute cet afflux. Avec une capacité d'hospitalisation de soixante quinze lits, l'hôpital ne plus faire face à la demande d'autant plus qu'il reçoit des patients des wilayas limitrophes. Ainsi, en plus de ceux de la wilaya de Tizi-Ouzou, cet hôpital prend en charge les malades de Béjaïa, Bouira et Boumerdès. Ce qui ne rend pas la tâche facile au personnel dévoué de cet hôpital dont la mission, on peut le deviner, n'est pas du tout une sinécure. La seule solution qui peut mettre un terme à cette saturation, de l'avis du personnel, est l'extention de cet hôpital qui reste un modèle en Algérie sur tout point de vue. Un hommage particulier est à rendre aux travaileurs et aux infirmiers de cet hôpital, lesquels travaillent 24 heures sur 24 heures pour assurer une meilleure prise en charge possible aux malades.