Des peines de deux ans de prison ferme ont été prononcées mercredi par le tribunal criminel d'Oran à l'encontre de deux individus reconnus coupables "d'apologie d'actes de terrorisme". Deux autres personnes, jugées dans le cadre de cette même affaire, ont été, pour leur part, acquittées à l'issue de leur comparution au procès. Les faits remontent à février 2010, lorsque des investigations sont enclenchées par les services de sécurité suite à des informations faisant état de mouvements suspects entre les régions de Mostaganem et d'Oran. L'opération donnera lieu à l'arrestation des deux principaux accusés, H.H. et C.M., ainsi qu'à la saisie de supports audio-visuels et de documents apologétiques du terrorisme, découverts lors d'une perquisition à domicile. Les inculpés ont nié les faits devant le tribunal, arguant ignorer le contenu des pièces à conviction. Le représentant du ministère public avait requis des peines allant de 8 à 10 ans de réclusion à l'encontre des quatre accusés, tandis que la défense avait plaidé l'innocence. L'instruction de cette affaire a été diligentée par le pôle pénal régional d'Oran, spécialisé dans la lutte contre le crime organisé. Des peines de deux ans de prison ferme ont été prononcées mercredi par le tribunal criminel d'Oran à l'encontre de deux individus reconnus coupables "d'apologie d'actes de terrorisme". Deux autres personnes, jugées dans le cadre de cette même affaire, ont été, pour leur part, acquittées à l'issue de leur comparution au procès. Les faits remontent à février 2010, lorsque des investigations sont enclenchées par les services de sécurité suite à des informations faisant état de mouvements suspects entre les régions de Mostaganem et d'Oran. L'opération donnera lieu à l'arrestation des deux principaux accusés, H.H. et C.M., ainsi qu'à la saisie de supports audio-visuels et de documents apologétiques du terrorisme, découverts lors d'une perquisition à domicile. Les inculpés ont nié les faits devant le tribunal, arguant ignorer le contenu des pièces à conviction. Le représentant du ministère public avait requis des peines allant de 8 à 10 ans de réclusion à l'encontre des quatre accusés, tandis que la défense avait plaidé l'innocence. L'instruction de cette affaire a été diligentée par le pôle pénal régional d'Oran, spécialisé dans la lutte contre le crime organisé.