Les partis politiques se lancent dans une course contre la montre dans leurs préparatifs des élections législatives prochaines. A peine les listes de candidats finalisées, ils se précipitent d'investir le terrain dans une ambiance qui s'apparente à une campagne électorale précoce. En effet, les différentes formations en course pour le scrutin du 10 mai prochain s'empressent d'organiser des meetings et des rencontres à travers plusieurs wilayas, question de tâter le terrain avant l'entame officielle de la campagne électorale prévue le 15 avril prochain. Les formations islamistes sont les premières à s'inscrire dans cette optique, en multipliant les rencontres de proximité dans l'espoir de ratisser large parmi la population. C'est le cas du Front de la justice et du développement (FJD) de Abdallah Djaballah qui n'a pas perdu du temps pour amorcer sa campagne aussitôt sa formation agréée par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. D'abord à Skikda, sa ville natale, puis à Constantine, le revenant sur la scène Djaballah a entamé son périple par les wilayas réputées être des fiefs de la mouvance islamiste. Il en est de même pour le Front du changement (FC) d'Abdelmadjid Menasra et du Front de l'Algérie nouvelle (FAN) de Djamel Benabdeslam, nouvellement agréés aussi. Les deux partis, comme pour accaparer un électorat acquis à la cause islamiste, se sont lancés dans une précampagne chargée dans la perspective de se frayer une place et tirer leur épingle dans les joutes électorales au sein d'une mouvance fortement représentée à l'occasion. Ce n'est pourtant pas le cas des «grosses cylindrées» de la scène politique qui ne se pressent pas pour autant de lancer leurs campagnes. Ainsi, le Front de libération nationale (FLN), embarrassé par la confection des listes électorales devant l'intransigeance des redresseurs, accuse du retard par rapport aux autres formations. Dans un degré moindre, le Rassemblement national démocratique (RND) qui lui, a finalisé ses listes en dépit de quelques protestations, s'est contenté de quelques réunions à travers certaines wilayas. C'est la même température ressentie chez le Front des forces socialistes (FFS) qui temporise avant de se lancer dans sa précampagne. Sinon, les nouveaux partis récemment agréés se disent prêts à aborder la course aux élections en dépit de la contrainte de temps pour peaufiner tous les préparatifs. Ils souffrent en revanche d'une «pénurie» de candidats notamment le quota de femmes exigé par la loi, à la différence des partis à fort ancrage qui eux, éprouvent de grosses difficultés à confectionner leurs listes de candidats et préfèrent temporiser afin d'éviter les protestations de dernière minute et les démissions en cascade. Les partis politiques se lancent dans une course contre la montre dans leurs préparatifs des élections législatives prochaines. A peine les listes de candidats finalisées, ils se précipitent d'investir le terrain dans une ambiance qui s'apparente à une campagne électorale précoce. En effet, les différentes formations en course pour le scrutin du 10 mai prochain s'empressent d'organiser des meetings et des rencontres à travers plusieurs wilayas, question de tâter le terrain avant l'entame officielle de la campagne électorale prévue le 15 avril prochain. Les formations islamistes sont les premières à s'inscrire dans cette optique, en multipliant les rencontres de proximité dans l'espoir de ratisser large parmi la population. C'est le cas du Front de la justice et du développement (FJD) de Abdallah Djaballah qui n'a pas perdu du temps pour amorcer sa campagne aussitôt sa formation agréée par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. D'abord à Skikda, sa ville natale, puis à Constantine, le revenant sur la scène Djaballah a entamé son périple par les wilayas réputées être des fiefs de la mouvance islamiste. Il en est de même pour le Front du changement (FC) d'Abdelmadjid Menasra et du Front de l'Algérie nouvelle (FAN) de Djamel Benabdeslam, nouvellement agréés aussi. Les deux partis, comme pour accaparer un électorat acquis à la cause islamiste, se sont lancés dans une précampagne chargée dans la perspective de se frayer une place et tirer leur épingle dans les joutes électorales au sein d'une mouvance fortement représentée à l'occasion. Ce n'est pourtant pas le cas des «grosses cylindrées» de la scène politique qui ne se pressent pas pour autant de lancer leurs campagnes. Ainsi, le Front de libération nationale (FLN), embarrassé par la confection des listes électorales devant l'intransigeance des redresseurs, accuse du retard par rapport aux autres formations. Dans un degré moindre, le Rassemblement national démocratique (RND) qui lui, a finalisé ses listes en dépit de quelques protestations, s'est contenté de quelques réunions à travers certaines wilayas. C'est la même température ressentie chez le Front des forces socialistes (FFS) qui temporise avant de se lancer dans sa précampagne. Sinon, les nouveaux partis récemment agréés se disent prêts à aborder la course aux élections en dépit de la contrainte de temps pour peaufiner tous les préparatifs. Ils souffrent en revanche d'une «pénurie» de candidats notamment le quota de femmes exigé par la loi, à la différence des partis à fort ancrage qui eux, éprouvent de grosses difficultés à confectionner leurs listes de candidats et préfèrent temporiser afin d'éviter les protestations de dernière minute et les démissions en cascade.