Les formations politiques en course pour les prochaines élections législatives du 10 mai peinent à finaliser leurs listes de candidats. À une journée seulement de la date butoir fixée par la loi, certains partis n'ont toujours pas confectionné leurs listes, à cause de la contestation grandissante qui caractérise l'opération et la compétition effrénée menée par les différents prétendants voulant vaille que vaille prétendre à la députation. Les formations politiques en course pour les prochaines élections législatives du 10 mai peinent à finaliser leurs listes de candidats. À une journée seulement de la date butoir fixée par la loi, certains partis n'ont toujours pas confectionné leurs listes, à cause de la contestation grandissante qui caractérise l'opération et la compétition effrénée menée par les différents prétendants voulant vaille que vaille prétendre à la députation. Si les nouvelles formations, récemment agréées par le ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales, semblent compléter leurs listes sans grande peine, bien que quelques-unes éprouvent des difficultés à déceler des candidats, d‘autres, des poids lourds de surcroît, ne parviennent pas à trancher la question, en raison d‘ une multitude de prétendants aussi acharnés les uns les autres. Le cas du Front de libération nationale (FLN) est le plus édifiant. Les deux camps du vieux parti se disputent âprement le leadership desdites listes en perspective du scrutin du 10 mai. Hier encore, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem et le chef de file du Mouvement de redressement et de l‘authenticité, Salah Goudjil, tentaient de désamorcer la situation lors d‘une ultime rencontre, celle de la dernière chance, le dernier délai étant prévu pour demain à minuit. La tension bat son plein entre les légalistes et les redresseurs, chacun des deux camps ne voulant en aucun cas rester en marge des listes qui mènent vers l‘Assemblée populaire nationale. Le Rassemblement national démocratique (RND) fait preuve de plus de visibilité, bien que des remous aient été ressentis dans certaines wilayas. D‘ailleurs, le SG de ce parti, Ahmed Ouyahia, qui aspire à « déposséder » le vieux parti de sa majorité à l‘Assemblée, a déjà finalisé les listes du parti. Du côté des formations islamistes, l‘Alliance verte composée de trois partis de la même tendance a du mal à assumer cette nouvelle coalition. En décidant de présenter des listes communes au prochain scrutin législatif, le Mouvement de la société pour la paix ainsi que les mouvements Islah et Ennahda se bousculent pour figurer en priorité dans les listes, car l‘Alliance qu‘ils ont contractée va sacrifier, mathématiquement, deux tiers des candidats potentiels. Ce qui a donné lieu à un mécontentement généralisé dans certaines wilayas réputées être des fiefs de la mouvance islamiste. Sinon, les autres partis de la même tendance, le Front de la justice et du développement (FJD) de Djaballah et le Front du changement (FC) de Ménasra, qui ambitionnent aussi de leur côté de chapeauter la mouvance, semblent plus sereins. De son côté, le Front des forces socialistes (FFS) qui a décidé de rompre avec un boycott qui aura duré deux législatures, a certes, finalisé ses listes, mais non sans difficulté. D‘ailleurs, certains anciens cadres et militants du parti de Hocine Aït Ahmed n‘ont pas digéré leur évincement des listes de candidatures. C‘est dire que la confection des listes de candidats a provoqué des remous au sein de plusieurs partis. La course à la députation fait rage au sein des partis en lice, que les garanties de transparence ont davantage accentuée. Les garanties du président de la République ont aiguisé l‘appétit des prétendants à l‘hémicycle de Zighoud-Youcef. Si les nouvelles formations, récemment agréées par le ministère de l‘Intérieur et des Collectivités locales, semblent compléter leurs listes sans grande peine, bien que quelques-unes éprouvent des difficultés à déceler des candidats, d‘autres, des poids lourds de surcroît, ne parviennent pas à trancher la question, en raison d‘ une multitude de prétendants aussi acharnés les uns les autres. Le cas du Front de libération nationale (FLN) est le plus édifiant. Les deux camps du vieux parti se disputent âprement le leadership desdites listes en perspective du scrutin du 10 mai. Hier encore, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem et le chef de file du Mouvement de redressement et de l‘authenticité, Salah Goudjil, tentaient de désamorcer la situation lors d‘une ultime rencontre, celle de la dernière chance, le dernier délai étant prévu pour demain à minuit. La tension bat son plein entre les légalistes et les redresseurs, chacun des deux camps ne voulant en aucun cas rester en marge des listes qui mènent vers l‘Assemblée populaire nationale. Le Rassemblement national démocratique (RND) fait preuve de plus de visibilité, bien que des remous aient été ressentis dans certaines wilayas. D‘ailleurs, le SG de ce parti, Ahmed Ouyahia, qui aspire à « déposséder » le vieux parti de sa majorité à l‘Assemblée, a déjà finalisé les listes du parti. Du côté des formations islamistes, l‘Alliance verte composée de trois partis de la même tendance a du mal à assumer cette nouvelle coalition. En décidant de présenter des listes communes au prochain scrutin législatif, le Mouvement de la société pour la paix ainsi que les mouvements Islah et Ennahda se bousculent pour figurer en priorité dans les listes, car l‘Alliance qu‘ils ont contractée va sacrifier, mathématiquement, deux tiers des candidats potentiels. Ce qui a donné lieu à un mécontentement généralisé dans certaines wilayas réputées être des fiefs de la mouvance islamiste. Sinon, les autres partis de la même tendance, le Front de la justice et du développement (FJD) de Djaballah et le Front du changement (FC) de Ménasra, qui ambitionnent aussi de leur côté de chapeauter la mouvance, semblent plus sereins. De son côté, le Front des forces socialistes (FFS) qui a décidé de rompre avec un boycott qui aura duré deux législatures, a certes, finalisé ses listes, mais non sans difficulté. D‘ailleurs, certains anciens cadres et militants du parti de Hocine Aït Ahmed n‘ont pas digéré leur évincement des listes de candidatures. C‘est dire que la confection des listes de candidats a provoqué des remous au sein de plusieurs partis. La course à la députation fait rage au sein des partis en lice, que les garanties de transparence ont davantage accentuée. Les garanties du président de la République ont aiguisé l‘appétit des prétendants à l‘hémicycle de Zighoud-Youcef.