Le vieux Mila et ses vestiges, en particulier ceux conservés dans l'enceinte de la vieille caserne, sont déclinés sous différentes couleurs, selon la sensibilité des artistes-peintres qui participent depuis mardi aux "1ers ateliers nationaux miléviens des arts plastiques". Les sujets choisis par les plasticiens, réunis à l'occasion de cette manifestation qui se poursuivra jusqu'à jeudi, portent essentiellement sur la statue "Milo", le mur byzantin et la vieille fontaine "Aïn el bled", des œuvres appelées à fixer pour la postérité le souvenir de ces ateliers étrennés par l'antique Milev. Placée sous le signe "Le patrimoine culturel et la mémoire", cet événement culturel à rassembler 22 artistes plasticiens représentant 16 wilayas du pays, sur une initiative de la maison de la culture et soutenue par la direction de la culture de la wilaya. L'artiste plasticienne, Meriem Bouard, s'est félicitée de voir cette "rencontre de créateurs influencés par l'école impressionniste", regrouper des artistes connus tels que Cherif Chaâlane de Souk Ahras et Tewfik Lebcir de Bou-Saâda (M'sila). Les participants se sont scindés en deux groupes, aussitôt après la cérémonie d'ouverture de ces ateliers à la maison de la Culture, pour "planter" leurs chevalets dans l'actuel centre- ville et dans le vieux Mila, histoire de se rapprocher du public et de communiquer directement avec lui, ce qui constitue une première expérience du genre dans la wilaya. Cette manifestation qui prévoit également des expositions, ainsi qu'une série de conférence sur les arts plastiques, vise à faire de l'art un moyen de valoriser et de préserver le patrimoine culturel et archéologique national dans cette ville qui constitue un musée à ciel ouvert. Les organisateurs ont prévu pour tous les artistes participants une visite sur le site du barrage de Béni Haroun, ce qui ne manquera pas, là encore, de les inspirer. Le vieux Mila et ses vestiges, en particulier ceux conservés dans l'enceinte de la vieille caserne, sont déclinés sous différentes couleurs, selon la sensibilité des artistes-peintres qui participent depuis mardi aux "1ers ateliers nationaux miléviens des arts plastiques". Les sujets choisis par les plasticiens, réunis à l'occasion de cette manifestation qui se poursuivra jusqu'à jeudi, portent essentiellement sur la statue "Milo", le mur byzantin et la vieille fontaine "Aïn el bled", des œuvres appelées à fixer pour la postérité le souvenir de ces ateliers étrennés par l'antique Milev. Placée sous le signe "Le patrimoine culturel et la mémoire", cet événement culturel à rassembler 22 artistes plasticiens représentant 16 wilayas du pays, sur une initiative de la maison de la culture et soutenue par la direction de la culture de la wilaya. L'artiste plasticienne, Meriem Bouard, s'est félicitée de voir cette "rencontre de créateurs influencés par l'école impressionniste", regrouper des artistes connus tels que Cherif Chaâlane de Souk Ahras et Tewfik Lebcir de Bou-Saâda (M'sila). Les participants se sont scindés en deux groupes, aussitôt après la cérémonie d'ouverture de ces ateliers à la maison de la Culture, pour "planter" leurs chevalets dans l'actuel centre- ville et dans le vieux Mila, histoire de se rapprocher du public et de communiquer directement avec lui, ce qui constitue une première expérience du genre dans la wilaya. Cette manifestation qui prévoit également des expositions, ainsi qu'une série de conférence sur les arts plastiques, vise à faire de l'art un moyen de valoriser et de préserver le patrimoine culturel et archéologique national dans cette ville qui constitue un musée à ciel ouvert. Les organisateurs ont prévu pour tous les artistes participants une visite sur le site du barrage de Béni Haroun, ce qui ne manquera pas, là encore, de les inspirer.