En présence de l'ambassadeur d'Autriche à Alger, Aloisia Woergetter, et des responsables de la Chambre nationale de l'Agriculture (CNA), cinq experts en agriculture et en élevage bovin ont présenté, hier au siège de la CNA, les techniques inhérentes à l'élevage et la production intensive de lait de vache. En présence de l'ambassadeur d'Autriche à Alger, Aloisia Woergetter, et des responsables de la Chambre nationale de l'Agriculture (CNA), cinq experts en agriculture et en élevage bovin ont présenté, hier au siège de la CNA, les techniques inhérentes à l'élevage et la production intensive de lait de vache. Ces experts spécialisés dans la formation agricole de la région de Tyrol à vocation agricole et d'élevage et la délégation autrichienne qui ont effectué, récemment, une visite dans la région de Khenchela, ont eu l'immense plaisir de montrer leur savoir-faire aux participants à cette importante rencontre avec les agriculteurs algériens. Ainsi, après l'allocution de l'ambassadeur qui a expliqué la mission essentielle de la délégation de son pays en Algérie qui consiste à inculquer la technologie agricole et le partenariat positif dans le secteur agricole, Joseph Mayr, agriculteur, producteur de fromage, élu de la commune de St. Johann au Tyrol a longuement étalé son «know how» à l'assistance a indiqué qu'il est « prêt à transmettre son expérience aux éleveurs de vaches algériens ». Il a notamment souligné que la moyenne de vaches dont l'agriculteur autrichien assure l'élevage s'élève à sept. Mais d'autres éleveurs en possèdent jusqu'à 100 vaches. Etant souvent des exploitations agricoles familiales, les fermes autrichiennes possèdent toute une série d'infrastructures et des centaines d'hectares de terre agricole, ainsi que des fromageries pour produire du beurre et du yaourt et, par ailleurs, des bâtiments pour le stockage d'aliments de bétail. L'expérience de Tyrol pour la satisfaction du marché algérien Pour sa part, Andrew Webhofer, ingénieur enseignant à l'école d'agriculture de Weitau, nous a affirmé que «la rencontre avec les agriculteurs algériens a pour objet essentiel, avec la contribution du gouvernement algérien, de donner aux paysans locaux un terrain situé à Khenchela (dans le Sahara) et certaines vaches pour produire du lait afin d'approvisionner le marché algérien ». Ce professeur ajoute que «l'essentiel consiste, notamment, à répondre aux besoins des consommateurs algériens en matière de lait. Nous sommes, cinq experts, dont Peter Altenberg, enseignant à l'école d'agriculture Weitau, Alfred Hans Peter Neuner, ingénieur en bâtiment/spécialisation étables et Christian Helmut Schniersmeyer, ingénieur en bâtiment/spécialisation étables, invités par le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Tahar Kellil, pour visiter Khenchela afin de trouver des solutions universelles, car il y a des spécialités pour nourrir les vaches, tels que les bâtiments, les infrastructures, sachant qu'une vache bien nourrie donne plus de lait ». Il ajoute qu'il est très important de former des agriculteurs algériens avec l'organisation de cours dans de petites écoles tout en projetant de construire des usines laitières pour la conservation du lait plus longtemps. «Dans quelques années, nous verrons que l'Algérie pourrait produire plus de quantités de lait de vache et commencer, donc après à produire des fromages proprement algériens». Ces experts spécialisés dans la formation agricole de la région de Tyrol à vocation agricole et d'élevage et la délégation autrichienne qui ont effectué, récemment, une visite dans la région de Khenchela, ont eu l'immense plaisir de montrer leur savoir-faire aux participants à cette importante rencontre avec les agriculteurs algériens. Ainsi, après l'allocution de l'ambassadeur qui a expliqué la mission essentielle de la délégation de son pays en Algérie qui consiste à inculquer la technologie agricole et le partenariat positif dans le secteur agricole, Joseph Mayr, agriculteur, producteur de fromage, élu de la commune de St. Johann au Tyrol a longuement étalé son «know how» à l'assistance a indiqué qu'il est « prêt à transmettre son expérience aux éleveurs de vaches algériens ». Il a notamment souligné que la moyenne de vaches dont l'agriculteur autrichien assure l'élevage s'élève à sept. Mais d'autres éleveurs en possèdent jusqu'à 100 vaches. Etant souvent des exploitations agricoles familiales, les fermes autrichiennes possèdent toute une série d'infrastructures et des centaines d'hectares de terre agricole, ainsi que des fromageries pour produire du beurre et du yaourt et, par ailleurs, des bâtiments pour le stockage d'aliments de bétail. L'expérience de Tyrol pour la satisfaction du marché algérien Pour sa part, Andrew Webhofer, ingénieur enseignant à l'école d'agriculture de Weitau, nous a affirmé que «la rencontre avec les agriculteurs algériens a pour objet essentiel, avec la contribution du gouvernement algérien, de donner aux paysans locaux un terrain situé à Khenchela (dans le Sahara) et certaines vaches pour produire du lait afin d'approvisionner le marché algérien ». Ce professeur ajoute que «l'essentiel consiste, notamment, à répondre aux besoins des consommateurs algériens en matière de lait. Nous sommes, cinq experts, dont Peter Altenberg, enseignant à l'école d'agriculture Weitau, Alfred Hans Peter Neuner, ingénieur en bâtiment/spécialisation étables et Christian Helmut Schniersmeyer, ingénieur en bâtiment/spécialisation étables, invités par le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Tahar Kellil, pour visiter Khenchela afin de trouver des solutions universelles, car il y a des spécialités pour nourrir les vaches, tels que les bâtiments, les infrastructures, sachant qu'une vache bien nourrie donne plus de lait ». Il ajoute qu'il est très important de former des agriculteurs algériens avec l'organisation de cours dans de petites écoles tout en projetant de construire des usines laitières pour la conservation du lait plus longtemps. «Dans quelques années, nous verrons que l'Algérie pourrait produire plus de quantités de lait de vache et commencer, donc après à produire des fromages proprement algériens».