Les violences se poursuivent au lendemain de la réunion du groupe des Amis de la Syrie dimanche à Istanbul, qui a appelé à fixer une «date limite» pour l'application du plan de paix de Kofi Annan par le régime de Damas, tout en restant muet sur l'armement des rebelles. Les violences se poursuivent au lendemain de la réunion du groupe des Amis de la Syrie dimanche à Istanbul, qui a appelé à fixer une «date limite» pour l'application du plan de paix de Kofi Annan par le régime de Damas, tout en restant muet sur l'armement des rebelles. «Le groupe des Amis a salué les efforts de l'émissaire spécial Kofi Annan et a exprimé son soutien à l'application intégrale de son mandat», ont affirmé les 83 pays réunis à Istanbul dans une déclaration finale conjointe. Le groupe a aussi «appelé l'émissaire spécial à déterminer une date limite pour les prochaines étapes, incluant un retour devant le Conseil de sécurité de l'ONU si les tueries continuent». Cette réunion a été qualifiée de «nouvel échec» par la presse officielle syrienne. Par ailleurs, trois civils ont été tués et plusieurs blessés lundi dans le nord de la Syrie, où l'armée a poursuivi ses attaques pour faire plier les bastions rebelles, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), rapporte Reuters. Les forces militaires ont incendié les maisons de huit personnes qui avaient fui et arrêté des dizaines de civils dans le village de Hass. Deux autres villages, Deir Soubol et Farkia, ont été pilonnés par les troupes régulières, qui ont tué un adolescent de 16 ans et blessé trois personnes. Par ailleurs, un civil a été tué à Alep, deuxième ville de Syrie, par une charge qui a explosé dans la région d'Adonis, près de la faculté d'ingénierie électrique, selon l'ONG. Une explosion s'est produite lundi matin dans le quartier de Marjé, dans le centre de Damas, faisant des blessés, a indiqué la télévision officielle syrienne Al-Ikhbariya. A Homs, des tirs nourris de mitrailleuses lourdes étaient entendus tôt le matin dans la région de Hamidiyé et de Souk Al-Hachich, près du siège de la police, ont indiqué les comités locaux de coordination qui animent la contestation sur le terrain. Dimanche les violences ont fait au moins 40 morts à travers le pays, selon l'OSDH qui estime à près de 10.000 le nombre de personnes tuées depuis le début de la contestation populaire il y a un an. «Le groupe des Amis a salué les efforts de l'émissaire spécial Kofi Annan et a exprimé son soutien à l'application intégrale de son mandat», ont affirmé les 83 pays réunis à Istanbul dans une déclaration finale conjointe. Le groupe a aussi «appelé l'émissaire spécial à déterminer une date limite pour les prochaines étapes, incluant un retour devant le Conseil de sécurité de l'ONU, si les tueries continuent». Cette réunion a été qualifiée de «nouvel échec» par la presse officielle syrienne. «Le groupe des Amis a salué les efforts de l'émissaire spécial Kofi Annan et a exprimé son soutien à l'application intégrale de son mandat», ont affirmé les 83 pays réunis à Istanbul dans une déclaration finale conjointe. Le groupe a aussi «appelé l'émissaire spécial à déterminer une date limite pour les prochaines étapes, incluant un retour devant le Conseil de sécurité de l'ONU si les tueries continuent». Cette réunion a été qualifiée de «nouvel échec» par la presse officielle syrienne. Par ailleurs, trois civils ont été tués et plusieurs blessés lundi dans le nord de la Syrie, où l'armée a poursuivi ses attaques pour faire plier les bastions rebelles, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), rapporte Reuters. Les forces militaires ont incendié les maisons de huit personnes qui avaient fui et arrêté des dizaines de civils dans le village de Hass. Deux autres villages, Deir Soubol et Farkia, ont été pilonnés par les troupes régulières, qui ont tué un adolescent de 16 ans et blessé trois personnes. Par ailleurs, un civil a été tué à Alep, deuxième ville de Syrie, par une charge qui a explosé dans la région d'Adonis, près de la faculté d'ingénierie électrique, selon l'ONG. Une explosion s'est produite lundi matin dans le quartier de Marjé, dans le centre de Damas, faisant des blessés, a indiqué la télévision officielle syrienne Al-Ikhbariya. A Homs, des tirs nourris de mitrailleuses lourdes étaient entendus tôt le matin dans la région de Hamidiyé et de Souk Al-Hachich, près du siège de la police, ont indiqué les comités locaux de coordination qui animent la contestation sur le terrain. Dimanche les violences ont fait au moins 40 morts à travers le pays, selon l'OSDH qui estime à près de 10.000 le nombre de personnes tuées depuis le début de la contestation populaire il y a un an. «Le groupe des Amis a salué les efforts de l'émissaire spécial Kofi Annan et a exprimé son soutien à l'application intégrale de son mandat», ont affirmé les 83 pays réunis à Istanbul dans une déclaration finale conjointe. Le groupe a aussi «appelé l'émissaire spécial à déterminer une date limite pour les prochaines étapes, incluant un retour devant le Conseil de sécurité de l'ONU, si les tueries continuent». Cette réunion a été qualifiée de «nouvel échec» par la presse officielle syrienne.