Un colloque national sur le thème de «l'extrémisme dans la pensée, la religion et la politique» a été organisé hier à Alger par l'Université Alger 3. Cette rencontre à laquelle ont pris part des enseignants universitaires et des chercheurs algériens, qui est la première du genre, s'est voulue une participation aux efforts visant à solutionner certains problèmes auxquels se trouve être confrontée, aujourd'hui, la société algérienne, a expliqué le directeur de l'Université Alger 3, Rabah Cheriet. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, a déclaré dans son discours d'ouverture des travaux de ce colloque que : «L'université est ouverte sur toutes les idées et elle traite de tous les problèmes, l'essentiel est que les gens acceptent les idées autour desquelles il y a un consensus national et qui vont dans l'intérêt de la société algérienne». Et M. Harraoubia de poursuivre : «L'initiative prise par l'Université Alger 3 d'entreprendre de mener des études et de réunir les meilleurs de nos enseignants pour débattre de ces problèmes est une démarche qu'il faut encourager». Sur la question traitée par le colloque, le ministre a précisé que «l'extrémisme indépendamment de la religion, du lieu ou encore de la société peut être aborder de part le monde, l'essentiel est de savoir trouver le juste milieu pour faire face à ce problème». L'organisation de ce colloque, a-t-il souligné, intervient dans une conjoncture où l'université algérienne connaît un saut qualitatif pour renforcer sa place en tant que qu'espace de rayonnement culturel et de savoir. «L'intérêt que porte l'université à la recherche scientifique et sa promotion permettra d'augmenter ses capacités à produire les connaissances et leur intégration dans une économie de savoir», a noté le ministre dans son discours, avant d'ajouter que la question de l'extrémisme, qui constitue un sujet d'inquiétude pour beaucoup de sociétés, est un trouble du savoir et du comportement qui conduit à la production d'idées superficielles qui ne peuvent être combattues que par la production d'un savoir. Pour le directeur de l'Université, initiateur de ce colloque, l'organisation d'un seul colloque sur ce thème, dit-il, est loin d'être suffisant pour apporter des solutions à ce genre de problèmes que vit la société algérienne, d'où, ajoute-t-il, l'intérêt de multiplier les efforts. L'origine de ce phénomène n'est autre que les tourments de la société. «L'extrémisme prend ses racines et se nourrit dans les souffrances sociales des populations», a expliqué dans son intervention, intitulée "comparatisme dans les sciences sociales : apparition de l'autre et construction de soi", le professeur Tayeb Kenouche. Les participants ont tenté d'apporter des solutions et proposé des approches multidimensionnelles modérées au phénomène de l'extrémisme de manière scientifique. «L'extrémisme dans la pensée», «L'extrémisme en religion» et «L'extrémisme en politique» ont également figuré dans la liste des principaux axes de la rencontre. Un colloque national sur le thème de «l'extrémisme dans la pensée, la religion et la politique» a été organisé hier à Alger par l'Université Alger 3. Cette rencontre à laquelle ont pris part des enseignants universitaires et des chercheurs algériens, qui est la première du genre, s'est voulue une participation aux efforts visant à solutionner certains problèmes auxquels se trouve être confrontée, aujourd'hui, la société algérienne, a expliqué le directeur de l'Université Alger 3, Rabah Cheriet. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, a déclaré dans son discours d'ouverture des travaux de ce colloque que : «L'université est ouverte sur toutes les idées et elle traite de tous les problèmes, l'essentiel est que les gens acceptent les idées autour desquelles il y a un consensus national et qui vont dans l'intérêt de la société algérienne». Et M. Harraoubia de poursuivre : «L'initiative prise par l'Université Alger 3 d'entreprendre de mener des études et de réunir les meilleurs de nos enseignants pour débattre de ces problèmes est une démarche qu'il faut encourager». Sur la question traitée par le colloque, le ministre a précisé que «l'extrémisme indépendamment de la religion, du lieu ou encore de la société peut être aborder de part le monde, l'essentiel est de savoir trouver le juste milieu pour faire face à ce problème». L'organisation de ce colloque, a-t-il souligné, intervient dans une conjoncture où l'université algérienne connaît un saut qualitatif pour renforcer sa place en tant que qu'espace de rayonnement culturel et de savoir. «L'intérêt que porte l'université à la recherche scientifique et sa promotion permettra d'augmenter ses capacités à produire les connaissances et leur intégration dans une économie de savoir», a noté le ministre dans son discours, avant d'ajouter que la question de l'extrémisme, qui constitue un sujet d'inquiétude pour beaucoup de sociétés, est un trouble du savoir et du comportement qui conduit à la production d'idées superficielles qui ne peuvent être combattues que par la production d'un savoir. Pour le directeur de l'Université, initiateur de ce colloque, l'organisation d'un seul colloque sur ce thème, dit-il, est loin d'être suffisant pour apporter des solutions à ce genre de problèmes que vit la société algérienne, d'où, ajoute-t-il, l'intérêt de multiplier les efforts. L'origine de ce phénomène n'est autre que les tourments de la société. «L'extrémisme prend ses racines et se nourrit dans les souffrances sociales des populations», a expliqué dans son intervention, intitulée "comparatisme dans les sciences sociales : apparition de l'autre et construction de soi", le professeur Tayeb Kenouche. Les participants ont tenté d'apporter des solutions et proposé des approches multidimensionnelles modérées au phénomène de l'extrémisme de manière scientifique. «L'extrémisme dans la pensée», «L'extrémisme en religion» et «L'extrémisme en politique» ont également figuré dans la liste des principaux axes de la rencontre.