Le Front des forces socialistes (FFS) tient à sa participation aux prochaines élections législatives. C'est le candidat pour la région France-Nord (Zone1), Samir Bouakouir, qui a réaffirmé cette option, tout en déplorant "l'interprétation erronée sur cette participation», attribuée à un cadre du FFS, Mohamed Djeddai en l'occurrence lors d'une récente sortie médiatique. «Les propos d'un responsable du FFS ont été détournés de leur contexte, puisqu'il n'était pas question de retrait du parti de ces élections mais, plutôt, d'un éventuel retrait de la Commission nationale de surveillance des élections législatives (CNSEL)", a tenu à préciser Samir Bouakouir, lors d'une conférence de presse. Pour ce candidat du FFS dans l'Hexagone, la participation tactique du parti au prochain scrutin "repose avec acuité la problématique du changement démocratique dans notre pays", avançant notamment le nouveau contexte géopolitique dans lequel surviennent ces élections en Algérie. "Notre participation est tactique dans la mesure où nous ne cautionnons pas ces élections par ce qu'elles pourraient être nécessairement la solution à la crise mais pour remobiliser la société et faire émerger une vraie conscience politique et une vraie culture citoyenne", a affirmé Samir Bouakouir, tout en expliquant que la participation du FFS au scrutin "n'est en aucun cas liée aux garanties données sur la régularité du scrutin". S'étalant sur les objectifs du plus vieux parti d'opposition escomptés du scrutin du 10 mai prochain, Bouakouir a estimé que le FFS va faire de la prochaine Assemblée "une tribune pour susciter le débat d'idées, populariser nos mots d'ordre, porter la voix des laissés-pour-compte et être une force de proposition et, d'autre part, agir avec les forces et personnalités politiques crédibles pour construire un rapport de force politique favorable à une alternative démocratique et sociale". Quant à la question du boycott, le candidat du FFS en France a estimé que ce n'est pas "une forme efficace" qui permettra de rassembler les Algériens autour des projets de société. "Compte tenu de la situation nationale, marquée par une société désintéressée de la chose politique, et de la situation géopolitique, avec l'exemple le plus récent du Mali voisin, la question du boycott dans une telle conjoncture ne rimerait à rien (…) une coquetterie intellectuelle en complète contradiction avec la nécessité de réhabiliter le politique et en total retrait avec les exigences d'un contexte général", a-t-il soutenu. Mieux, il estime que la meilleure manière de faire émerger un rapport de force politique favorable à l'alternative du changement démocratique est de participer et créer des canaux de communication et notre participation au scrutin nous permettra d'y parvenir. Le Front des forces socialistes (FFS) tient à sa participation aux prochaines élections législatives. C'est le candidat pour la région France-Nord (Zone1), Samir Bouakouir, qui a réaffirmé cette option, tout en déplorant "l'interprétation erronée sur cette participation», attribuée à un cadre du FFS, Mohamed Djeddai en l'occurrence lors d'une récente sortie médiatique. «Les propos d'un responsable du FFS ont été détournés de leur contexte, puisqu'il n'était pas question de retrait du parti de ces élections mais, plutôt, d'un éventuel retrait de la Commission nationale de surveillance des élections législatives (CNSEL)", a tenu à préciser Samir Bouakouir, lors d'une conférence de presse. Pour ce candidat du FFS dans l'Hexagone, la participation tactique du parti au prochain scrutin "repose avec acuité la problématique du changement démocratique dans notre pays", avançant notamment le nouveau contexte géopolitique dans lequel surviennent ces élections en Algérie. "Notre participation est tactique dans la mesure où nous ne cautionnons pas ces élections par ce qu'elles pourraient être nécessairement la solution à la crise mais pour remobiliser la société et faire émerger une vraie conscience politique et une vraie culture citoyenne", a affirmé Samir Bouakouir, tout en expliquant que la participation du FFS au scrutin "n'est en aucun cas liée aux garanties données sur la régularité du scrutin". S'étalant sur les objectifs du plus vieux parti d'opposition escomptés du scrutin du 10 mai prochain, Bouakouir a estimé que le FFS va faire de la prochaine Assemblée "une tribune pour susciter le débat d'idées, populariser nos mots d'ordre, porter la voix des laissés-pour-compte et être une force de proposition et, d'autre part, agir avec les forces et personnalités politiques crédibles pour construire un rapport de force politique favorable à une alternative démocratique et sociale". Quant à la question du boycott, le candidat du FFS en France a estimé que ce n'est pas "une forme efficace" qui permettra de rassembler les Algériens autour des projets de société. "Compte tenu de la situation nationale, marquée par une société désintéressée de la chose politique, et de la situation géopolitique, avec l'exemple le plus récent du Mali voisin, la question du boycott dans une telle conjoncture ne rimerait à rien (…) une coquetterie intellectuelle en complète contradiction avec la nécessité de réhabiliter le politique et en total retrait avec les exigences d'un contexte général", a-t-il soutenu. Mieux, il estime que la meilleure manière de faire émerger un rapport de force politique favorable à l'alternative du changement démocratique est de participer et créer des canaux de communication et notre participation au scrutin nous permettra d'y parvenir.