La Commission nationale de surveillance des élections législatives (CNSEL) a finalisé tous les préparatifs pour le lancement de la campagne électorale qui débutera le 15 avril , a indiqué hier à Alger son président, Mohamed Seddiki. La Commission nationale de surveillance des élections législatives (CNSEL) a finalisé tous les préparatifs pour le lancement de la campagne électorale qui débutera le 15 avril , a indiqué hier à Alger son président, Mohamed Seddiki. Dans une déclaration à l'APS, M. Seddiki a précisé que la Commission veillait à assurer une coordination totale avec les commissions de wilaya et communales pour s'assurer que les partis s'engagent à mener une campagne électorale dans le cadre défini par la Constitution et les lois en vigueur pour garantir un scrutin "libre et transparent". Dans ce cadre, Seddiki a ajouté que l'opération de tirage au sort relative à la répartition équitable des temps d'antenne entre les partis à la télévision et à la radio se ferait, une fois que la CNSEL aura reçu les listes de candidatures de la part du ministère de l'Intérieur. La majorité des wilayas a achevé l'opération de préparation et d'équipement des salles devant abriter les rencontres et meetings populaires des partis qui vont y développer leurs thèmes de campagne. M. Seddiki a indiqué que les sites devant accueillir les panneaux destinés à l'affichage ont été également définis, relevant à ce sujet que les partis doivent éviter d'afficher dans des lieux autres que ceux prévus à cet effet. Il a noté, d'autre part, que la CNSEL, constituée des représentants de 44 partis regroupant des compétences nationales, avait transmis dans le cadre de ses prérogatives près de 70 requêtes à la Commission nationale de supervision des élections législatives, dont une grande partie avait été solutionnée par cette instance. Le président de la Commission nationale de supervision des élections législatives, Slimane Boudi, avait indiqué que cette instance "a tranché, depuis qu'elle a entamé son travail, sur 64 recours relatifs à des problèmes posés par certains partis concernant le rejet de certaines candidatures par l'administration". A propos de la demande d'adoption d'un bulletin unique pour le scrutin, M. Seddiki a affirmé que la CNSEL reste attachée à cette revendication, soulignant toutefois "que ce sujet ne représente pas un obstacle à la poursuite de sa mission". De son côté, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, avait estimé que "l'exigence" d'un bulletin unique "était absolument irréalisable", en plus du fait qu'il s'agit d'une "nouveauté" par rapport au système électoral en Algérie. Il avait rappelé, en outre, que l'organisation technique et administrative des élections relevait des prérogatives essentielles de l'administration. Concernant la mission de la CNSEL, le président de la République Abdelaziz Bouteflika, avait assuré qu'elle "aura, de plein droit et loin de toute tutelle ou ingérence, la responsabilité de réguler la campagne électorale officielle et de garantir l'équité entre les candidats". M. Bouteflika avait mis l'accent, dans le même contexte, sur la surveillance et le contrôle, la supervision ainsi que le suivi des élections législatives par les partis politiques, les listes indépendantes, les magistrats et les observateurs internationaux. Dans une déclaration à l'APS, M. Seddiki a précisé que la Commission veillait à assurer une coordination totale avec les commissions de wilaya et communales pour s'assurer que les partis s'engagent à mener une campagne électorale dans le cadre défini par la Constitution et les lois en vigueur pour garantir un scrutin "libre et transparent". Dans ce cadre, Seddiki a ajouté que l'opération de tirage au sort relative à la répartition équitable des temps d'antenne entre les partis à la télévision et à la radio se ferait, une fois que la CNSEL aura reçu les listes de candidatures de la part du ministère de l'Intérieur. La majorité des wilayas a achevé l'opération de préparation et d'équipement des salles devant abriter les rencontres et meetings populaires des partis qui vont y développer leurs thèmes de campagne. M. Seddiki a indiqué que les sites devant accueillir les panneaux destinés à l'affichage ont été également définis, relevant à ce sujet que les partis doivent éviter d'afficher dans des lieux autres que ceux prévus à cet effet. Il a noté, d'autre part, que la CNSEL, constituée des représentants de 44 partis regroupant des compétences nationales, avait transmis dans le cadre de ses prérogatives près de 70 requêtes à la Commission nationale de supervision des élections législatives, dont une grande partie avait été solutionnée par cette instance. Le président de la Commission nationale de supervision des élections législatives, Slimane Boudi, avait indiqué que cette instance "a tranché, depuis qu'elle a entamé son travail, sur 64 recours relatifs à des problèmes posés par certains partis concernant le rejet de certaines candidatures par l'administration". A propos de la demande d'adoption d'un bulletin unique pour le scrutin, M. Seddiki a affirmé que la CNSEL reste attachée à cette revendication, soulignant toutefois "que ce sujet ne représente pas un obstacle à la poursuite de sa mission". De son côté, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, avait estimé que "l'exigence" d'un bulletin unique "était absolument irréalisable", en plus du fait qu'il s'agit d'une "nouveauté" par rapport au système électoral en Algérie. Il avait rappelé, en outre, que l'organisation technique et administrative des élections relevait des prérogatives essentielles de l'administration. Concernant la mission de la CNSEL, le président de la République Abdelaziz Bouteflika, avait assuré qu'elle "aura, de plein droit et loin de toute tutelle ou ingérence, la responsabilité de réguler la campagne électorale officielle et de garantir l'équité entre les candidats". M. Bouteflika avait mis l'accent, dans le même contexte, sur la surveillance et le contrôle, la supervision ainsi que le suivi des élections législatives par les partis politiques, les listes indépendantes, les magistrats et les observateurs internationaux.