La campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain est entrée hier dans son deuxième jour. Des quatre coins du territoire national, les leaders des partis politiques donnent de la voix pour appeler les électeurs à participer au scrutin et bien sûr faire le bon choix en portant leurs voix sur leurs listes électorales. La campagne électorale pour les législatives du 10 mai prochain est entrée hier dans son deuxième jour. Des quatre coins du territoire national, les leaders des partis politiques donnent de la voix pour appeler les électeurs à participer au scrutin et bien sûr faire le bon choix en portant leurs voix sur leurs listes électorales. Bougerra Soltani, du MSP, aux côtés du président du Mouvement El Islah, Hamlaoui Akkouchi, et de Fateh Rebiai, du Mouvement Ennahda, au nom de l'Alliance de l'Algérie verte, à Mila ; le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati à Saïda ; le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem à Adrar ; Mustapha Boudina, président du Mouvement des citoyens libres (MCL) à la Radio nationale ; le Mouvement des nationalistes libres (MNL) de Abdelaziz Ghermoul se sont effforcés de convaincre les citoyens électeurs de l'importance de se rendre massivement aux urnes pour élire leurs représentants à la future Assemblée nationale populaire. Adrar : Belkhadem agite le spectre du retour du FMI De la ville d' Adrar, le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem a appelé à "voter pour les candidats du parti du FLN». Il estime que voter pour son parti, "c'est barrer la route à ceux qui veulent que l'Algérie vive le même sort que certains pays arabes ayant subi des ingérences dans leurs affaires intérieures". Pour lui, se rendre aux urnes le 10 mai prochain constitue une réponse "à ceux qui veulent que l'Algérie stagne", rappelant les circonstances difficiles des années 1990 où l'Algérie avait connu "l'instabilité et l'insécurité et frôlé la banqueroute". Abdelaziz Belkhadem rappelle aussi à l'assistance que le Fonds monétaire international (FMI) est intervenu dans l'économie de l'Algérie en lui imposant des conditions, notamment "la compression et le licenciement de travailleurs, l'abandon du secteur public non productif et l'augmentation des tarifs de l'eau et de l'électricité". Il a par ailleurs mis en garde contre certaines voix qui veulent conduire l'Algérie vers "la normalisation des relations avec l'entité sioniste" et ceux qui ont établi des "agendas conformes à ses desseins", étant convaincu que nombreux sont ceux qui envient l'Algérie pour sa grandeur, son histoire et ses potentialités et refusent d'admettre ses positions face aux causes justes. Mila : L'Algérie verte veut un régime parlementaire Les leaders de «l'Alliance de l'Algérie verte», Bougerra Soltani du MSP aux côtés du président du Mouvement El Islah, Hamlaoui Akkouchi, et Fateh Rebiai, du Mouvement Ennahda, ont de nouveau plaidé, hier, à Tadjenanet (Mila), pour ‘‘l'instauration d'un régime politique parlementaire en Algérie". Ils considèrent que le régime parlementaire ‘‘place le gouvernement sous la surveillance permanente de l'Assemblée nationale qui aura toute latitude de lui retirer sa confiance, voire de le faire tomber si les circonstances l'imposent''. Selon eux, la ‘‘réforme du système en place'' constitue ‘‘la base de toute réforme escomptée'', ce qui requiert, selon eux, de la mener (la réforme) ‘‘avec tout le sérieux voulu'', d'autant que le pays est ‘‘sur le point de célébrer le cinquantenaire du recouvrement de sa souveraineté''. Appelant à un ‘‘vote massif en faveur de l'Alliance de l'Algérie verte'', ils estiment que les prochaines législatives constituent ‘‘une occasion'' qui s'offre à cette Alliance pour ‘‘opérer le changement et le renouveau attendus''. Les partenaires de l'Alliance de l'Algérie verte ont appelé les électeurs à ‘‘se rendre en force aux urnes, le 10 mai prochain, et à éviter de bouder les urnes'' car cela équivaudrait, selon eux à ‘‘ouvrir une brèche dans laquelle s'engouffreraient les fraudeurs et les détourneurs de la volonté du peuple''. Ils ont également appelé les jeunes à "assumer toutes leurs responsabilités et à exercer leur droit de diriger leur pays et de profiter de ses richesses''. ‘‘Ceux qui ont déclenché la Révolution du 1er Novembre 1954 n'avaient pas atteint les 30 ans, mais n'avaient songé ni à se suicider ni à émigrer clandestinement car ils avaient choisi d'assumer pleinement leur responsabilité historique'', a-t-il ajouté dans ce contexte. Saïda : Moussa Touati contre le boycott Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a dénoncé, hier, à Saïda, la "politique de démission" prônée par certains milieux. Le leader du FNA qui a appelé à une forte participation aux élections législatives du 10 mai prochain, "même avec un bulletin blanc, pour éviter toute fraude", permet la consécration de la "volonté populaire" et de "choisir les meilleurs candidats à même de les représenter à la prochaine APN et d'être à leur service". Il réaffirme la détermination du FNA à exercer pleinement les droits politiques et civiques comme le droit de vote, le libre choix des candidats et la protection de ce choix contre toute tentative de fraude, "ne servant ni l'Algérie, ni les Algériens", rappelant que les listes présentées par son parti à travers toutes les wilayas du pays sont composées de candidats "les plus représentatifs du FNA, les plus proches des couches sociales démunies et les plus aptes à défendre leurs intérêts". Constantine : Ali Fawzi Rebaine de Ahd 54 promet de rattraper le temps perdu De Constantine où il a animé un meeting populaire au centre culturel Benbadis, Ali Fawzi Rebaïne a affimé que le parti Ahd 54 ''possède les compétences et les idées nécessaires pour réaliser en cinq ans ce qui n'a pu être concrétisé en un demi-siècle, en matière de développement''. La solution découle de source pour le leader de Ahd 54. ''Il suffit pour atteindre cet objectif d'impliquer les jeunes Algériens dans le processus de développement (de leur pays) en leur offrant la possibilité de peser constamment sur les décisions prises par les responsables centraux''. Pour Ali Fawzi Rebaïne, les jeunes doivent être considérés comme des ''consultants permanents du gouvernement, si l'on veut réellement développer le pays de manière durable''. Selon lui, les préoccupations des jeunes Algériens ''ne se résument pas à la simple question de la nourriture, car ils ont besoin d'être logés et de travailler dignement afin de mener une vie décente''. Sur le volet économique, le patron de Ahd 54 préconise des investissements dans les secteurs agricoles et industriels comme principales actions de son programme électoral. Craignant un taux d'abstention ''très fort'' aux prochaines élections législatives, le président de Ahd 54 a indiqué que son parti, ''resté dans l'opposition depuis plus de 30 ans'', a opté pour une participation à ce scrutin pour ''ne pas permettre à certaines parties de véhiculer de fausses traditions politiques" Bougerra Soltani, du MSP, aux côtés du président du Mouvement El Islah, Hamlaoui Akkouchi, et de Fateh Rebiai, du Mouvement Ennahda, au nom de l'Alliance de l'Algérie verte, à Mila ; le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati à Saïda ; le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem à Adrar ; Mustapha Boudina, président du Mouvement des citoyens libres (MCL) à la Radio nationale ; le Mouvement des nationalistes libres (MNL) de Abdelaziz Ghermoul se sont effforcés de convaincre les citoyens électeurs de l'importance de se rendre massivement aux urnes pour élire leurs représentants à la future Assemblée nationale populaire. Adrar : Belkhadem agite le spectre du retour du FMI De la ville d' Adrar, le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem a appelé à "voter pour les candidats du parti du FLN». Il estime que voter pour son parti, "c'est barrer la route à ceux qui veulent que l'Algérie vive le même sort que certains pays arabes ayant subi des ingérences dans leurs affaires intérieures". Pour lui, se rendre aux urnes le 10 mai prochain constitue une réponse "à ceux qui veulent que l'Algérie stagne", rappelant les circonstances difficiles des années 1990 où l'Algérie avait connu "l'instabilité et l'insécurité et frôlé la banqueroute". Abdelaziz Belkhadem rappelle aussi à l'assistance que le Fonds monétaire international (FMI) est intervenu dans l'économie de l'Algérie en lui imposant des conditions, notamment "la compression et le licenciement de travailleurs, l'abandon du secteur public non productif et l'augmentation des tarifs de l'eau et de l'électricité". Il a par ailleurs mis en garde contre certaines voix qui veulent conduire l'Algérie vers "la normalisation des relations avec l'entité sioniste" et ceux qui ont établi des "agendas conformes à ses desseins", étant convaincu que nombreux sont ceux qui envient l'Algérie pour sa grandeur, son histoire et ses potentialités et refusent d'admettre ses positions face aux causes justes. Mila : L'Algérie verte veut un régime parlementaire Les leaders de «l'Alliance de l'Algérie verte», Bougerra Soltani du MSP aux côtés du président du Mouvement El Islah, Hamlaoui Akkouchi, et Fateh Rebiai, du Mouvement Ennahda, ont de nouveau plaidé, hier, à Tadjenanet (Mila), pour ‘‘l'instauration d'un régime politique parlementaire en Algérie". Ils considèrent que le régime parlementaire ‘‘place le gouvernement sous la surveillance permanente de l'Assemblée nationale qui aura toute latitude de lui retirer sa confiance, voire de le faire tomber si les circonstances l'imposent''. Selon eux, la ‘‘réforme du système en place'' constitue ‘‘la base de toute réforme escomptée'', ce qui requiert, selon eux, de la mener (la réforme) ‘‘avec tout le sérieux voulu'', d'autant que le pays est ‘‘sur le point de célébrer le cinquantenaire du recouvrement de sa souveraineté''. Appelant à un ‘‘vote massif en faveur de l'Alliance de l'Algérie verte'', ils estiment que les prochaines législatives constituent ‘‘une occasion'' qui s'offre à cette Alliance pour ‘‘opérer le changement et le renouveau attendus''. Les partenaires de l'Alliance de l'Algérie verte ont appelé les électeurs à ‘‘se rendre en force aux urnes, le 10 mai prochain, et à éviter de bouder les urnes'' car cela équivaudrait, selon eux à ‘‘ouvrir une brèche dans laquelle s'engouffreraient les fraudeurs et les détourneurs de la volonté du peuple''. Ils ont également appelé les jeunes à "assumer toutes leurs responsabilités et à exercer leur droit de diriger leur pays et de profiter de ses richesses''. ‘‘Ceux qui ont déclenché la Révolution du 1er Novembre 1954 n'avaient pas atteint les 30 ans, mais n'avaient songé ni à se suicider ni à émigrer clandestinement car ils avaient choisi d'assumer pleinement leur responsabilité historique'', a-t-il ajouté dans ce contexte. Saïda : Moussa Touati contre le boycott Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a dénoncé, hier, à Saïda, la "politique de démission" prônée par certains milieux. Le leader du FNA qui a appelé à une forte participation aux élections législatives du 10 mai prochain, "même avec un bulletin blanc, pour éviter toute fraude", permet la consécration de la "volonté populaire" et de "choisir les meilleurs candidats à même de les représenter à la prochaine APN et d'être à leur service". Il réaffirme la détermination du FNA à exercer pleinement les droits politiques et civiques comme le droit de vote, le libre choix des candidats et la protection de ce choix contre toute tentative de fraude, "ne servant ni l'Algérie, ni les Algériens", rappelant que les listes présentées par son parti à travers toutes les wilayas du pays sont composées de candidats "les plus représentatifs du FNA, les plus proches des couches sociales démunies et les plus aptes à défendre leurs intérêts". Constantine : Ali Fawzi Rebaine de Ahd 54 promet de rattraper le temps perdu De Constantine où il a animé un meeting populaire au centre culturel Benbadis, Ali Fawzi Rebaïne a affimé que le parti Ahd 54 ''possède les compétences et les idées nécessaires pour réaliser en cinq ans ce qui n'a pu être concrétisé en un demi-siècle, en matière de développement''. La solution découle de source pour le leader de Ahd 54. ''Il suffit pour atteindre cet objectif d'impliquer les jeunes Algériens dans le processus de développement (de leur pays) en leur offrant la possibilité de peser constamment sur les décisions prises par les responsables centraux''. Pour Ali Fawzi Rebaïne, les jeunes doivent être considérés comme des ''consultants permanents du gouvernement, si l'on veut réellement développer le pays de manière durable''. Selon lui, les préoccupations des jeunes Algériens ''ne se résument pas à la simple question de la nourriture, car ils ont besoin d'être logés et de travailler dignement afin de mener une vie décente''. Sur le volet économique, le patron de Ahd 54 préconise des investissements dans les secteurs agricoles et industriels comme principales actions de son programme électoral. Craignant un taux d'abstention ''très fort'' aux prochaines élections législatives, le président de Ahd 54 a indiqué que son parti, ''resté dans l'opposition depuis plus de 30 ans'', a opté pour une participation à ce scrutin pour ''ne pas permettre à certaines parties de véhiculer de fausses traditions politiques"