L'Algérie et le Pakistan étudient la réalisation d'un terminal de regazéification du gaz naturel liquéfié (GNL) à Karachi, a révélé hier à Alger le ministre du Commerce, Mustapha Benbada. "Le Pakistan est intéressé par le GNL algérien à travers la réalisation d'un terminal gazier au Pakistan", a déclaré M. Benbada à la presse en marge de la réunion de la 2e commission mixte algéro-pakistanaise qu'il copréside avec le ministre pakistanais du Pétrole et des Ressources naturelles Hussain Asim. Le ministre a ajouté que des cadres accompagnant le ministre pakistanais ont eu des discussions avec leurs homologues du ministère de l'Energie et des Mines sur ce projet. Un groupe d'experts pakistanais est attendu dans les prochaines semaines à Alger pour approfondir ces discussions. Le directeur général du pétrole au ministère pakistanais du pétrole et des ressources naturelles, Hamid Khan a précisé à l'APS que son pays voulait importer du GNL algérien et qu'il avait besoin de l'expertise algérienne pour la réalisation du terminal de regazéification. "C'est un projet très important pour nous, nous allons envoyer notre proposition écrite avec l'étude de faisabilité du projet au gouvernement algérien pour l'étudier", a-t-il dit. Le coût de réalisation de ce projet est d'environ 1,5 milliard de dollars, alors que sa capacité sera identifiée une fois l'étude technique réalisée. Si le projet se concrétise d'ici à deux ans, les deux pays vont sceller le contrat d'achat-vente du GNL, ajoute M. Khan. Grand fournisseur de l'Europe en gaz, l'Algérie cherche a diversifier ses débouchés pour cette énergie. Selon les dernières déclarations du ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, Sonatrach est en train d'examiner la possibilité de se positionner sur le marché GNL asiatique, actuellement dominé par le Qatar. Quatrième exportateur de GNL au monde, Sonatrach dispose d'une capacité de production d'environ 30 milliards de m3 de gaz liquéfié, selon des données du ministère de l'Energie, déjà publiées. L'Algérie et le Pakistan étudient la réalisation d'un terminal de regazéification du gaz naturel liquéfié (GNL) à Karachi, a révélé hier à Alger le ministre du Commerce, Mustapha Benbada. "Le Pakistan est intéressé par le GNL algérien à travers la réalisation d'un terminal gazier au Pakistan", a déclaré M. Benbada à la presse en marge de la réunion de la 2e commission mixte algéro-pakistanaise qu'il copréside avec le ministre pakistanais du Pétrole et des Ressources naturelles Hussain Asim. Le ministre a ajouté que des cadres accompagnant le ministre pakistanais ont eu des discussions avec leurs homologues du ministère de l'Energie et des Mines sur ce projet. Un groupe d'experts pakistanais est attendu dans les prochaines semaines à Alger pour approfondir ces discussions. Le directeur général du pétrole au ministère pakistanais du pétrole et des ressources naturelles, Hamid Khan a précisé à l'APS que son pays voulait importer du GNL algérien et qu'il avait besoin de l'expertise algérienne pour la réalisation du terminal de regazéification. "C'est un projet très important pour nous, nous allons envoyer notre proposition écrite avec l'étude de faisabilité du projet au gouvernement algérien pour l'étudier", a-t-il dit. Le coût de réalisation de ce projet est d'environ 1,5 milliard de dollars, alors que sa capacité sera identifiée une fois l'étude technique réalisée. Si le projet se concrétise d'ici à deux ans, les deux pays vont sceller le contrat d'achat-vente du GNL, ajoute M. Khan. Grand fournisseur de l'Europe en gaz, l'Algérie cherche a diversifier ses débouchés pour cette énergie. Selon les dernières déclarations du ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, Sonatrach est en train d'examiner la possibilité de se positionner sur le marché GNL asiatique, actuellement dominé par le Qatar. Quatrième exportateur de GNL au monde, Sonatrach dispose d'une capacité de production d'environ 30 milliards de m3 de gaz liquéfié, selon des données du ministère de l'Energie, déjà publiées.