Au total, quelque 45 millions d'électeurs ont été appelés aux urnes pour cette 9e élection présidentielle au suffrage universel depuis 1965. Le scrutin s'est ouvert de 08h00 à 18h00 dans 70% des communes. Dans une centaine de communes, dont plusieurs grandes villes comme Toulon, Rennes, Orléans, Tours, Blois, les bureaux étaient ouverts jusqu'à 19h00. Un quart des bureaux fermeront à 20h00, notamment à Paris et en Ile-de-France (sauf la Seine-et-Marne), à Marseille, Lyon, Toulouse. A 20h00 a été levée l'interdiction de publier ou diffuser, notamment sur internet, des sondages, des estimations ou des commentaires sur l'élection. Cette question a donné lieu à un vif débat, à l'heure de l'internet généralisé et dans la mesure où les médias étrangers ne sont pas soumis à la loi française. Craignant que des organes de presse violent la loi, les autorités de contrôle ont rappelé les règles du jeu et prévenu que des sanctions seraient prises. La quasi-totalité des médias ont annoncé qu'ils n'en prendront pas l'initiative, mais si un seul d'entre eux brave l'interdit, leurs bonnes résolutions pourraient s'effondre. Sauf surprise, les politologues s'attendent cette année à un nouveau duel PS-UMP au second tour, mais l'incertitude persiste sur l'ordre d'arrivée en tête au premier tour : Nicolas Sarkozy qui se présente pour un second mandat ou François Hollande. Autre inconnue, qui sera troisième, entre Marine Le Pen (Front national), Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) et François Bayrou (Modem). Les autres candidats, Eva Joly (EELV), Nicolas Dupont-Aignan (DLR), Philippe Poutou (NPA), Nathalie Arthaud (LO) et Jacques Cheminade (divers) ne devraient pas franchir la barre des 5%. Au total, quelque 45 millions d'électeurs ont été appelés aux urnes pour cette 9e élection présidentielle au suffrage universel depuis 1965. Le scrutin s'est ouvert de 08h00 à 18h00 dans 70% des communes. Dans une centaine de communes, dont plusieurs grandes villes comme Toulon, Rennes, Orléans, Tours, Blois, les bureaux étaient ouverts jusqu'à 19h00. Un quart des bureaux fermeront à 20h00, notamment à Paris et en Ile-de-France (sauf la Seine-et-Marne), à Marseille, Lyon, Toulouse. A 20h00 a été levée l'interdiction de publier ou diffuser, notamment sur internet, des sondages, des estimations ou des commentaires sur l'élection. Cette question a donné lieu à un vif débat, à l'heure de l'internet généralisé et dans la mesure où les médias étrangers ne sont pas soumis à la loi française. Craignant que des organes de presse violent la loi, les autorités de contrôle ont rappelé les règles du jeu et prévenu que des sanctions seraient prises. La quasi-totalité des médias ont annoncé qu'ils n'en prendront pas l'initiative, mais si un seul d'entre eux brave l'interdit, leurs bonnes résolutions pourraient s'effondre. Sauf surprise, les politologues s'attendent cette année à un nouveau duel PS-UMP au second tour, mais l'incertitude persiste sur l'ordre d'arrivée en tête au premier tour : Nicolas Sarkozy qui se présente pour un second mandat ou François Hollande. Autre inconnue, qui sera troisième, entre Marine Le Pen (Front national), Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) et François Bayrou (Modem). Les autres candidats, Eva Joly (EELV), Nicolas Dupont-Aignan (DLR), Philippe Poutou (NPA), Nathalie Arthaud (LO) et Jacques Cheminade (divers) ne devraient pas franchir la barre des 5%.