Plusieurs dizaines d'habitants du village Bouchakour, dans la commune des Issers, ont fermé, hier, le siège de la daïra pour réclamer l'amélioration de leurs conditions de vie. Ils réclament le revêtement d'un tronçon routier de trois kilomètres liant leur village à la RN 68. Cette route est quasiment dégradée. De ce fait, les transporteurs ont observé depuis plusieurs jours un arrêt de travail qui a particulièrement pénalisé les villageois et notamment les écoliers scolarisés au chef-lieu communal. Cette situation est également accentuée par l'absence de bus de ramassage scolaire. Notons que ce tronçon routier n'a jamais été aménagé, pratiquement, depuis son ouverture dans les années 70. Les manifestants dénoncent l'attitude du chef de daïra qui avait, selon eux, refusé de recevoir une délégation du comité de village, récemment, afin qu'elle puisse soumettre les doléances des villageois. Hier, à l'heure où nous mettions sous presse, le siège de la daïra était encore occupé par des dizaines de protestataires et les services étaient tous bloqués. Il est important de rappeler que ces villageois avaient à, maintes reprises, exprimé leur colère contre la détérioration de leur cadre de vie notamment en fermant, à plusieurs fois, la RN 68, qui relie Boumerdès à Tizi Ouzou, mais en vain. Plusieurs dizaines d'habitants du village Bouchakour, dans la commune des Issers, ont fermé, hier, le siège de la daïra pour réclamer l'amélioration de leurs conditions de vie. Ils réclament le revêtement d'un tronçon routier de trois kilomètres liant leur village à la RN 68. Cette route est quasiment dégradée. De ce fait, les transporteurs ont observé depuis plusieurs jours un arrêt de travail qui a particulièrement pénalisé les villageois et notamment les écoliers scolarisés au chef-lieu communal. Cette situation est également accentuée par l'absence de bus de ramassage scolaire. Notons que ce tronçon routier n'a jamais été aménagé, pratiquement, depuis son ouverture dans les années 70. Les manifestants dénoncent l'attitude du chef de daïra qui avait, selon eux, refusé de recevoir une délégation du comité de village, récemment, afin qu'elle puisse soumettre les doléances des villageois. Hier, à l'heure où nous mettions sous presse, le siège de la daïra était encore occupé par des dizaines de protestataires et les services étaient tous bloqués. Il est important de rappeler que ces villageois avaient à, maintes reprises, exprimé leur colère contre la détérioration de leur cadre de vie notamment en fermant, à plusieurs fois, la RN 68, qui relie Boumerdès à Tizi Ouzou, mais en vain.