Les habitants du village Bouchakour, à une dizaine de kilomètres au sud-est de la commune des Issers, dans la wilaya de Boumerdès, ont fermé, dans la matinée d'hier, la RN 68 à l'aide de troncs d'arbres et autres objets hétéroclites pour réclamer le revêtement d'une route menant à leur localité. Il s'agit de la route desservant le village au chef-lieu de la commune via le village El Hamri, qui se trouve dans un état lamentable. Long d'à peine 3,5 km, ledit axe routier n'a jamais, selon les protestataires, connu d'aménagement et de réfection depuis son ouverture au début des années 1990. Cette situation a plongé les villageois dans de problèmes interminables. Un des protestataires explique : «nous sommes desservis par les transporteurs du village El Hamri et, depuis que cette route s'est détériorée, ceux-ci refusent de s'y aventurer et nous déposent à El Hamri et nous continuons le reste de la route à pied». Les voyageurs et les usagers de cette importante voie (RN 68) ont été obligés de rebrousser chemin. Et ils ont fait le détour via la localité de Thouzaline (Béni Amrane) pour rejoindre leurs lieux de travail. Les protestataires sont déterminés à aller au bout de leurs revendications. Les habitants du village Bouchakour, à une dizaine de kilomètres au sud-est de la commune des Issers, dans la wilaya de Boumerdès, ont fermé, dans la matinée d'hier, la RN 68 à l'aide de troncs d'arbres et autres objets hétéroclites pour réclamer le revêtement d'une route menant à leur localité. Il s'agit de la route desservant le village au chef-lieu de la commune via le village El Hamri, qui se trouve dans un état lamentable. Long d'à peine 3,5 km, ledit axe routier n'a jamais, selon les protestataires, connu d'aménagement et de réfection depuis son ouverture au début des années 1990. Cette situation a plongé les villageois dans de problèmes interminables. Un des protestataires explique : «nous sommes desservis par les transporteurs du village El Hamri et, depuis que cette route s'est détériorée, ceux-ci refusent de s'y aventurer et nous déposent à El Hamri et nous continuons le reste de la route à pied». Les voyageurs et les usagers de cette importante voie (RN 68) ont été obligés de rebrousser chemin. Et ils ont fait le détour via la localité de Thouzaline (Béni Amrane) pour rejoindre leurs lieux de travail. Les protestataires sont déterminés à aller au bout de leurs revendications.