Le salon, qui se tient à l'Etablissement Arts et Culture, a permis entre autres la découverte de «petites» maisons d'éditions qui viennent d'investir la chaîne de la production du livre. A titre d'exemple, les maisons El Amel et Mime. Le salon, qui se tient à l'Etablissement Arts et Culture, a permis entre autres la découverte de «petites» maisons d'éditions qui viennent d'investir la chaîne de la production du livre. A titre d'exemple, les maisons El Amel et Mime. L'Etablissement Arts et Culture, à la place Audin, abrite depuis le dimanche 22 avril un salon du livre ayant pour principa l objectif «La promotion de la culture de proximité». Cette exposition réunit une douzaine de maisons d'éditions nationales offrant un carrefour du livre s'intitulante « Le livre en lecture ». Cette exposition coïncide avec la Journée mondiale du livre, fêtée lundi 23 avril à travers le monde entier. La promotion de la lecture est le défi que tiennent à relever les organisateurs de l'exposition. Ainsi, pour encourager les citoyens à aller vers le livre, les exposants ont favorisé « le contenu et la culture » proposant plus d'ouvrages en langue arabe. Cela sans omettre de tenter de rendre leurs lettres de noblesse aux livres qui participent, pour une grande partie, dans l'évolution culturelle d'un peuple. L'identité d'un peuple se raconte également à travers le livre. Pour notre pays nous avons la chance de pouvoir raconter nos cultures et richesses en plusieurs langues. Cependant, les nouvelles technologies influent négativement sur le livre, et par là de la lecture d'une manière directe ou indirecte. Les choses ne vont pas comme on le souhaite, parce que la valeur du livre enregistre, de plus en plus, d'énormes reculs en matière de recherche scientifique, faute d'une réelle politique de promotion du livre dans ce secteur. En effet, plusieurs chercheurs universitaires utilisent pour leurs recherches scientifiques sur un outil plus rapide et parfois « moins fiable », à savoir Internet. Le HCAA s'illustre comme à son habitude La promotion du livre se définit aussi par un encadrement efficace à base d'une politique de la lecture. Ce salon a permis néanmoins la découverte de « petites » maisons d'éditions qui viennent d'investir la chaîne de la production de livre. A titre d'exemple, la maison d'édition El Amel et Mime. En outre, le HCAA n'a pas manqué de s' illustrer, comme à son habitude, par des nouveautés en langue tamazight, entre autres un dictionnaire de la langue tamazight édité en 2012. L'ouverture officielle de ce petit salon a été marquée par la présence d'invités d'honneurs, à l'instar de l'écrivain Amin Zaoui, le directeur de la radio culturelle, Khelifi Ben Kara. L'écrivain Amin Zaoui s'est félicité de la tenue de ce salon qui « donne l'occasion aux lecteurs de découvrir de nouveaux titres, ainsi que de nouveaux éditeurs. Une opportunité pour ces derniers d'aller vers les lecteurs et d'entretenir des débats autour d'un travail en commun pour une meilleurs prise en charge de l'édition, la distribution et la diffusion du livre. Je pense aussi que le lieu ou se tient ce salon, en face de l'université, est une stratégie promotionnelle efficace ». L'écrivain et ex-directeur de la Bibliothèque nationale d'Algérie, Amin Zaoui a ajouté dans ce sens : « J'ai remarqué dans ce petit salon que les maisons d'éditions sont toutes nouvelles et je crois que c'est un signe positif encourageant pour créer une véritable chaîne du livre ». « Dans les pays voisins, a fait remarquer Amin Zaoui, « il y a toujours de petites maisons d'édition qui sont subventionnées par l'Etat. Et cela dans le but de les garder et de créer un équilibre avec les géants du livre ». L'intervenant a pris l'exemple de la France, l'Allemagne et l'Angleterre. Il dira en outre : « Je pense que dans ces petites maisons d'édition qu'il y avait des jeunes qui peuvent faire la surprise en Algérie ». Il est évident que la prolifération de l'organisation de ce genre de salons de proximité est en mesure d'élargir le nombre de lecteurs. « Je suis pour la multiplication des salons, mais je ne suis pas pour les salons qui se répètent de la même façon. C'est-à dire qu'il faut qu'il ait dans chaque ville un salon, et que cela devienne une tradition avec un programme bien défini. Concernant les grandes villes comme la capitale, elles ont besoin, bien évidemment, de plus de salon. Je crois que si nous arrivons à acquérir cette politique nous arriverons à des résultats positifs en allant des plus en plus vers le besoin des lecteurs », a conclu Amin Zaoui. Il est à noter que cette manifestation est une occasion pour assister à des conférences traitant de différents thèmes ayant un lien direct avec la culture et la promotion du livre. L'Etablissement Arts et Culture, à la place Audin, abrite depuis le dimanche 22 avril un salon du livre ayant pour principa l objectif «La promotion de la culture de proximité». Cette exposition réunit une douzaine de maisons d'éditions nationales offrant un carrefour du livre s'intitulante « Le livre en lecture ». Cette exposition coïncide avec la Journée mondiale du livre, fêtée lundi 23 avril à travers le monde entier. La promotion de la lecture est le défi que tiennent à relever les organisateurs de l'exposition. Ainsi, pour encourager les citoyens à aller vers le livre, les exposants ont favorisé « le contenu et la culture » proposant plus d'ouvrages en langue arabe. Cela sans omettre de tenter de rendre leurs lettres de noblesse aux livres qui participent, pour une grande partie, dans l'évolution culturelle d'un peuple. L'identité d'un peuple se raconte également à travers le livre. Pour notre pays nous avons la chance de pouvoir raconter nos cultures et richesses en plusieurs langues. Cependant, les nouvelles technologies influent négativement sur le livre, et par là de la lecture d'une manière directe ou indirecte. Les choses ne vont pas comme on le souhaite, parce que la valeur du livre enregistre, de plus en plus, d'énormes reculs en matière de recherche scientifique, faute d'une réelle politique de promotion du livre dans ce secteur. En effet, plusieurs chercheurs universitaires utilisent pour leurs recherches scientifiques sur un outil plus rapide et parfois « moins fiable », à savoir Internet. Le HCAA s'illustre comme à son habitude La promotion du livre se définit aussi par un encadrement efficace à base d'une politique de la lecture. Ce salon a permis néanmoins la découverte de « petites » maisons d'éditions qui viennent d'investir la chaîne de la production de livre. A titre d'exemple, la maison d'édition El Amel et Mime. En outre, le HCAA n'a pas manqué de s' illustrer, comme à son habitude, par des nouveautés en langue tamazight, entre autres un dictionnaire de la langue tamazight édité en 2012. L'ouverture officielle de ce petit salon a été marquée par la présence d'invités d'honneurs, à l'instar de l'écrivain Amin Zaoui, le directeur de la radio culturelle, Khelifi Ben Kara. L'écrivain Amin Zaoui s'est félicité de la tenue de ce salon qui « donne l'occasion aux lecteurs de découvrir de nouveaux titres, ainsi que de nouveaux éditeurs. Une opportunité pour ces derniers d'aller vers les lecteurs et d'entretenir des débats autour d'un travail en commun pour une meilleurs prise en charge de l'édition, la distribution et la diffusion du livre. Je pense aussi que le lieu ou se tient ce salon, en face de l'université, est une stratégie promotionnelle efficace ». L'écrivain et ex-directeur de la Bibliothèque nationale d'Algérie, Amin Zaoui a ajouté dans ce sens : « J'ai remarqué dans ce petit salon que les maisons d'éditions sont toutes nouvelles et je crois que c'est un signe positif encourageant pour créer une véritable chaîne du livre ». « Dans les pays voisins, a fait remarquer Amin Zaoui, « il y a toujours de petites maisons d'édition qui sont subventionnées par l'Etat. Et cela dans le but de les garder et de créer un équilibre avec les géants du livre ». L'intervenant a pris l'exemple de la France, l'Allemagne et l'Angleterre. Il dira en outre : « Je pense que dans ces petites maisons d'édition qu'il y avait des jeunes qui peuvent faire la surprise en Algérie ». Il est évident que la prolifération de l'organisation de ce genre de salons de proximité est en mesure d'élargir le nombre de lecteurs. « Je suis pour la multiplication des salons, mais je ne suis pas pour les salons qui se répètent de la même façon. C'est-à dire qu'il faut qu'il ait dans chaque ville un salon, et que cela devienne une tradition avec un programme bien défini. Concernant les grandes villes comme la capitale, elles ont besoin, bien évidemment, de plus de salon. Je crois que si nous arrivons à acquérir cette politique nous arriverons à des résultats positifs en allant des plus en plus vers le besoin des lecteurs », a conclu Amin Zaoui. Il est à noter que cette manifestation est une occasion pour assister à des conférences traitant de différents thèmes ayant un lien direct avec la culture et la promotion du livre.