Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, a affirmé, hier, à Batna que les législatives du 10 mai prochain seront « décisives presque autant que la date historique du 1er Novembre 1954, de par leur importance ». Animant un meeting dans le cadre de la campagne électorale à la maison de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa, le leader du MPA a affirmé que c'est par le seul bulletin de vote que les Algériens doivent s'exprimer et, dans ce cas, en faveur d'une «Algérie démocratique par la voie du changement pacifique voulu par tout le peuple». Amara Benyounès n'a pas manque de critiquer certains partis politiques qui appellent les citoyens à voter massivement tout en laissant planer des doutes sur la crédibilité du scrutin, affirmant que pour sa part qu'«il a pleine confiance en la crédibilité de ces élections et une forte participation ne ferait que rendre difficile la fraude». Par ailleurs, il a émis des critiques sur l'islamisme, un courant politique qui selon lui, «veut importer un nouvel islam, alors que nous demeurons attaché à l'islam que l'on a toujours connu et vécu en Algérie», soulignant le fait que «nous sommes tous des musulmans, des démocrates et ouverts sur le monde. Nous avons, certes, des problèmes de logement, de chômage et de clientélisme mais nous n'avons pas de problème de religion». Il a également souligné qu'il fut de ceux qui ont soutenu la politique de réconciliation nationale, mettant en garde contre «les émirs des années de la tragédie nationale qui voudraient aujourd'hui investir le champ politique pour obtenir l'immunité parlementaire». Il a par ailleurs réitéré ses appels pour une forte participation au scrutin car, a-t-il tenu à rappeler, la prochaine assemblée nationale aura pour «première et importante responsabilité» celle d'amender la constitution qui gouvernera le pays pendant de longues années. Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, a affirmé, hier, à Batna que les législatives du 10 mai prochain seront « décisives presque autant que la date historique du 1er Novembre 1954, de par leur importance ». Animant un meeting dans le cadre de la campagne électorale à la maison de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa, le leader du MPA a affirmé que c'est par le seul bulletin de vote que les Algériens doivent s'exprimer et, dans ce cas, en faveur d'une «Algérie démocratique par la voie du changement pacifique voulu par tout le peuple». Amara Benyounès n'a pas manque de critiquer certains partis politiques qui appellent les citoyens à voter massivement tout en laissant planer des doutes sur la crédibilité du scrutin, affirmant que pour sa part qu'«il a pleine confiance en la crédibilité de ces élections et une forte participation ne ferait que rendre difficile la fraude». Par ailleurs, il a émis des critiques sur l'islamisme, un courant politique qui selon lui, «veut importer un nouvel islam, alors que nous demeurons attaché à l'islam que l'on a toujours connu et vécu en Algérie», soulignant le fait que «nous sommes tous des musulmans, des démocrates et ouverts sur le monde. Nous avons, certes, des problèmes de logement, de chômage et de clientélisme mais nous n'avons pas de problème de religion». Il a également souligné qu'il fut de ceux qui ont soutenu la politique de réconciliation nationale, mettant en garde contre «les émirs des années de la tragédie nationale qui voudraient aujourd'hui investir le champ politique pour obtenir l'immunité parlementaire». Il a par ailleurs réitéré ses appels pour une forte participation au scrutin car, a-t-il tenu à rappeler, la prochaine assemblée nationale aura pour «première et importante responsabilité» celle d'amender la constitution qui gouvernera le pays pendant de longues années.