Le calme est revenu dans la ville de Jijel, (à l'est d'Alger), après les affrontements qui se sont déclenchés dimanche dernier, a-t-on appris. Ces troubles se sont déclenchés entre les citoyens et les membres des services de sécurité suite à la tentative d'immolation d'un jeune vendeur ambulant. Le calme est revenu dans la ville de Jijel, (à l'est d'Alger), après les affrontements qui se sont déclenchés dimanche dernier, a-t-on appris. Ces troubles se sont déclenchés entre les citoyens et les membres des services de sécurité suite à la tentative d'immolation d'un jeune vendeur ambulant. Fin de semaine mouvementée également à Ghardaia où des échauffourées sporadiques ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi entre des jeunes de deux quartiers à la limite administrative entre les communes de Ghardaïa et Bounoura. Ce n'est qu'après le déploiement d'un dispositif de sécurité dans les quartiers du ksar de Beni Izgen et Theniet El Makhzen que la situation s'est calmée. Ces heurts entre jeunes ont fait une dizaine de blessés selon les services de sécurité. Notons qu'à l'origine de ces affrontements, selon les témoins, le comportement d'un jeune lycéen qui a manqué de respect à une jeune fille aux abords d'un lycée, ce qui a suscité la réaction des jeunes du ksar de Beni Izgen et donné lieu aux échauffourées. Pas moins de 42 policiers ont été blessés et quatre commissaires de police «touchés en divers endroits du corps» à la suite de ces troubles sporadiques à Jijel, a indiqué lundi la sûreté de wilaya, précisant «qu'aucun civil n'a été blessé». La victime, Hamza. R, âgé de 25 ans a été transférée au centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine. Il se trouve dans un "état stationnaire et sous surveillance médicale", a-t-on appris auprès de la sûreté de wilaya de Jijel. Tout avait commencé dimanche, lorsque des agents de la Sûreté nationale se sont présentés sur l'esplanade de l'école Khecha Ahcène pour démanteler une baraque de fortune (érigée sous forme de tente) où le jeune écoulait des produits cosmétiques et du tabac. L'intervention entrait dans le cadre d'une réquisition prise par la commune visant à éradiquer les commerces illicites qui squattent les espaces urbains, ont fait savoir les services de sûreté de la wilaya.Cette affaire à Jijel remet le couteau sur la plaie. En effet, le commerce informel dans notre pays ne date pas d'aujourd'hui et le laxisme des autorités y est pour beaucoup dans sa prolifération. Les vendeurs ambulants et à la sauvette squattent quotidiennement les espaces publics étalant leur produits en plein trottoir. Cette pratique se fait aux yeux et au nez des autorités. Fin de semaine mouvementée également à Ghardaia où des échauffourées sporadiques ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi entre des jeunes de deux quartiers à la limite administrative entre les communes de Ghardaïa et Bounoura. Ce n'est qu'après le déploiement d'un dispositif de sécurité dans les quartiers du ksar de Beni Izgen et Theniet El Makhzen que la situation s'est calmée. Ces heurts entre jeunes ont fait une dizaine de blessés selon les services de sécurité. Notons qu'à l'origine de ces affrontements, selon les témoins, le comportement d'un jeune lycéen qui a manqué de respect à une jeune fille aux abords d'un lycée, ce qui a suscité la réaction des jeunes du ksar de Beni Izgen et donné lieu aux échauffourées. Pas moins de 42 policiers ont été blessés et quatre commissaires de police «touchés en divers endroits du corps» à la suite de ces troubles sporadiques à Jijel, a indiqué lundi la sûreté de wilaya, précisant «qu'aucun civil n'a été blessé». La victime, Hamza. R, âgé de 25 ans a été transférée au centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine. Il se trouve dans un "état stationnaire et sous surveillance médicale", a-t-on appris auprès de la sûreté de wilaya de Jijel. Tout avait commencé dimanche, lorsque des agents de la Sûreté nationale se sont présentés sur l'esplanade de l'école Khecha Ahcène pour démanteler une baraque de fortune (érigée sous forme de tente) où le jeune écoulait des produits cosmétiques et du tabac. L'intervention entrait dans le cadre d'une réquisition prise par la commune visant à éradiquer les commerces illicites qui squattent les espaces urbains, ont fait savoir les services de sûreté de la wilaya.Cette affaire à Jijel remet le couteau sur la plaie. En effet, le commerce informel dans notre pays ne date pas d'aujourd'hui et le laxisme des autorités y est pour beaucoup dans sa prolifération. Les vendeurs ambulants et à la sauvette squattent quotidiennement les espaces publics étalant leur produits en plein trottoir. Cette pratique se fait aux yeux et au nez des autorités.