Les travailleurs de l'entreprise portugaise, Teixeira Durante, chargée de réaliser les travaux du projet ferroviaire Thénia-Tizi Ouzou, domiciliée à Naciria dans la wilaya de Boumerdès, ont lancé, depuis le 7 de ce mois, un mouvement de grève pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie et des conditions de travail sur les chantiers. Cette grève a paralysé carrément le chantier. Les travailleurs exposent, par cette action de protestation, plusieurs revendications liées notamment aux salaires et indemnités. Ils réclament ainsi l'augmentation de leurs salaires, le rappel des augmentations sur salaire avec effet rétroactif depuis le mois de janvier dernier. Egalement, sur le chapitre de primes et indemnités d'entreprise, les protestataires réclament des primes de panier, de risque ainsi que l'augmentation d'une prime, dite RS de 25% à 30%. Une prime de nuisance et l'augmentation de l'allocation de la femme au foyer à 2.500DA. Ils exigent, en outre, l'élaboration de contrats de travail valables jusqu'à la fin de chantier. Selon des ouvriers, une plateforme de revendication, contenant 16 points, a été adressée aux responsables de l'entreprise en question. Mais selon les mêmes employés, la direction n'a accepté de satisfaire que trois points. Ces travailleurs avouent que depuis le lancement de ce mouvement de grève, l'administration de l'entreprise tente de mettre la pression sur eux afin qu'ils mettent fin à leur grève, notamment en mettant fin aux contrats de certains travailleurs. Notons que le lancement des travaux inhérents au projet du chemin de fer reliant Thénia-Tizi Ouzou, a traîné en longueur et ce mouvement de grève accentuera donc le retard dans les prochains jours. Les travailleurs de l'entreprise portugaise, Teixeira Durante, chargée de réaliser les travaux du projet ferroviaire Thénia-Tizi Ouzou, domiciliée à Naciria dans la wilaya de Boumerdès, ont lancé, depuis le 7 de ce mois, un mouvement de grève pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie et des conditions de travail sur les chantiers. Cette grève a paralysé carrément le chantier. Les travailleurs exposent, par cette action de protestation, plusieurs revendications liées notamment aux salaires et indemnités. Ils réclament ainsi l'augmentation de leurs salaires, le rappel des augmentations sur salaire avec effet rétroactif depuis le mois de janvier dernier. Egalement, sur le chapitre de primes et indemnités d'entreprise, les protestataires réclament des primes de panier, de risque ainsi que l'augmentation d'une prime, dite RS de 25% à 30%. Une prime de nuisance et l'augmentation de l'allocation de la femme au foyer à 2.500DA. Ils exigent, en outre, l'élaboration de contrats de travail valables jusqu'à la fin de chantier. Selon des ouvriers, une plateforme de revendication, contenant 16 points, a été adressée aux responsables de l'entreprise en question. Mais selon les mêmes employés, la direction n'a accepté de satisfaire que trois points. Ces travailleurs avouent que depuis le lancement de ce mouvement de grève, l'administration de l'entreprise tente de mettre la pression sur eux afin qu'ils mettent fin à leur grève, notamment en mettant fin aux contrats de certains travailleurs. Notons que le lancement des travaux inhérents au projet du chemin de fer reliant Thénia-Tizi Ouzou, a traîné en longueur et ce mouvement de grève accentuera donc le retard dans les prochains jours.