"Il est impérieux d'accompagner le début de projets des services et introduire la franchise de manière officielle en Algérie en sensibilisant les ministères du Commerce, et de l'industrie et de la promotion des investissements, car la franchise est perçue par les pouvoirs publics comme étant réduite à l'importation. "Il est impérieux d'accompagner le début de projets des services et introduire la franchise de manière officielle en Algérie en sensibilisant les ministères du Commerce, et de l'industrie et de la promotion des investissements, car la franchise est perçue par les pouvoirs publics comme étant réduite à l'importation. Il s'agit donc de vulgariser le concept de franchise qui est un moyen de créer des entreprises de manière extrêmement rapide. Donc, cela signifie qu'il faut créer des entreprises pour les jeunes qui n'ont pas les capacités financières et managériales" a notamment déclaré, hier, à l'hôtel Mercure, maître Hind Benmiloud, au cours de la présentation de son exposé sur l'état des lieux et perspectives de la franchise en Algérie, lors du séminaire intitulé ''La franchise en Algérie: les clés d'un partenariat''. En 2004, les franchises de distribution ont commencé à être introduites en Algérie pour avoir plus de possibilités de transférer les royalties en Algérie, selon elle. En fait, chez nous, il y a plus de marques qui s'installent malgré les difficultés inhérentes à l'importation, affirme l'avocate, précisant que "on ne peut pas demander à quelqu'un d'utiliser son concept sans recevoir, en contrepartie impérative, une rémunération". Il s'agit, également de développer le partenariat chez les jeunes, car la franchise est perçue comme une sécurité, une traçabilité des produits en évitant la contrefaçon, tout en connaissant les technologies en assurant le transfert de savoir-faire. En fait, les experts montrent qu'en Algérie, il faut avoir des fonds et des textes réglementaires pour développer ce type de franchise en termes de contrats de management avec d'autres franchisés industriels, tels que coca Cola ou Yoplait. Les séminaristes soulignent que l'essentiel consiste à aller vers ce que les pouvoirs publics souhaitent en matière de franchises industrielles, à savoir donner aux jeunes l'opportunité de créer leurs propres entreprises en Algérie, notamment en franchisant les jeunes pour commercialiser leurs produits tout en les soustrayant au circuit de l'informel. L'Ansej et la BEA, partenaires fiables pour la franchise Actuellement, les différents responsables préparent une franchise des services complètement algérienne sachant que, selon, certains experts intervenant au cours de cette rencontre, les banques algériennes, tant publiques que privées, ne savent pas accompagner la franchise, car cela requiert plus de sécurité. "Le banquier est bien sécurisé avec un contrat de franchise" affirment les intervenants lors de ce séminaire, soulignant que " le franchiseur a besoin d'investir au départ et on ne peut pas devenir franchiseur du jour au lendemain". Pour sa part, Samy Boukaila, PDG de BKL Industries, estime que "l'Ansej est un partenaire fiable, en coopération avec la BEA, pour la création de start-up pour les jeunes. L'objectif consiste à créer 60 fabricants à travers le territoire national, car aujourd'hui, on n'en a que 5". Celui-ci précise que pour développer des entreprises en Algérie, le concept de franchise est important pour promouvoir des activités, dans le business, le bâtiment, la menuiserie industrielle où il existe 4 000 chantiers sur le territoire national. Quant à Mustapha Nia, PDG du groupe Nia, dira que "la production et la franchise peuvent apporter un plus et un savoir-faire important à la commercialisation en nettoyant le marché de l'informel". Pour Alexandre Germain, responsable du service aux adhérents (fédération française de la franchise), indique que "la franchise, qui est un mode de développement, est créatrice d'activités, d'emplois et de richesses. C'est une méthode entre le franchiseur et le franchisé pour acquérir un savoir-faire. La franchise crée des entreprises, mais sauve également des entreprises". Il ajoute que "sur 62 000 franchisés en France, 70 % ont crée leurs entreprises, et la franchise permet aussi à des commerçants de survivre toute n étant indépendants. Plus de 90 % des franchisés passent le cap des cinq années après leur création". Aussi, la franchise permet de créer de nouveaux marchés et de moderniser les professions dans l'hôtellerie, le bâtiment, la boulangerie... Enfin, la directrice générale de Pigier Algérie, Astrid Lauer, a mis l'accent sur la nécessité de développer la franchise en Algérie, notamment la franchise ds services liées à la propriété intellectuelle, les ressources humaines et la formation. Il s'agit donc de vulgariser le concept de franchise qui est un moyen de créer des entreprises de manière extrêmement rapide. Donc, cela signifie qu'il faut créer des entreprises pour les jeunes qui n'ont pas les capacités financières et managériales" a notamment déclaré, hier, à l'hôtel Mercure, maître Hind Benmiloud, au cours de la présentation de son exposé sur l'état des lieux et perspectives de la franchise en Algérie, lors du séminaire intitulé ''La franchise en Algérie: les clés d'un partenariat''. En 2004, les franchises de distribution ont commencé à être introduites en Algérie pour avoir plus de possibilités de transférer les royalties en Algérie, selon elle. En fait, chez nous, il y a plus de marques qui s'installent malgré les difficultés inhérentes à l'importation, affirme l'avocate, précisant que "on ne peut pas demander à quelqu'un d'utiliser son concept sans recevoir, en contrepartie impérative, une rémunération". Il s'agit, également de développer le partenariat chez les jeunes, car la franchise est perçue comme une sécurité, une traçabilité des produits en évitant la contrefaçon, tout en connaissant les technologies en assurant le transfert de savoir-faire. En fait, les experts montrent qu'en Algérie, il faut avoir des fonds et des textes réglementaires pour développer ce type de franchise en termes de contrats de management avec d'autres franchisés industriels, tels que coca Cola ou Yoplait. Les séminaristes soulignent que l'essentiel consiste à aller vers ce que les pouvoirs publics souhaitent en matière de franchises industrielles, à savoir donner aux jeunes l'opportunité de créer leurs propres entreprises en Algérie, notamment en franchisant les jeunes pour commercialiser leurs produits tout en les soustrayant au circuit de l'informel. L'Ansej et la BEA, partenaires fiables pour la franchise Actuellement, les différents responsables préparent une franchise des services complètement algérienne sachant que, selon, certains experts intervenant au cours de cette rencontre, les banques algériennes, tant publiques que privées, ne savent pas accompagner la franchise, car cela requiert plus de sécurité. "Le banquier est bien sécurisé avec un contrat de franchise" affirment les intervenants lors de ce séminaire, soulignant que " le franchiseur a besoin d'investir au départ et on ne peut pas devenir franchiseur du jour au lendemain". Pour sa part, Samy Boukaila, PDG de BKL Industries, estime que "l'Ansej est un partenaire fiable, en coopération avec la BEA, pour la création de start-up pour les jeunes. L'objectif consiste à créer 60 fabricants à travers le territoire national, car aujourd'hui, on n'en a que 5". Celui-ci précise que pour développer des entreprises en Algérie, le concept de franchise est important pour promouvoir des activités, dans le business, le bâtiment, la menuiserie industrielle où il existe 4 000 chantiers sur le territoire national. Quant à Mustapha Nia, PDG du groupe Nia, dira que "la production et la franchise peuvent apporter un plus et un savoir-faire important à la commercialisation en nettoyant le marché de l'informel". Pour Alexandre Germain, responsable du service aux adhérents (fédération française de la franchise), indique que "la franchise, qui est un mode de développement, est créatrice d'activités, d'emplois et de richesses. C'est une méthode entre le franchiseur et le franchisé pour acquérir un savoir-faire. La franchise crée des entreprises, mais sauve également des entreprises". Il ajoute que "sur 62 000 franchisés en France, 70 % ont crée leurs entreprises, et la franchise permet aussi à des commerçants de survivre toute n étant indépendants. Plus de 90 % des franchisés passent le cap des cinq années après leur création". Aussi, la franchise permet de créer de nouveaux marchés et de moderniser les professions dans l'hôtellerie, le bâtiment, la boulangerie... Enfin, la directrice générale de Pigier Algérie, Astrid Lauer, a mis l'accent sur la nécessité de développer la franchise en Algérie, notamment la franchise ds services liées à la propriété intellectuelle, les ressources humaines et la formation.