Les 3 groupements des gardes-frontières de Béchar «dominent bien la situation», a affirmé, lors d'un point de presse qu'il a animé, jeudi, le colonel Abdelmadjid Benbouzid, commandant du 3ème Commandement régional des GGF de Béchar. Ce sentiment est d'autant plus partagé que le haut gradé du Darak El Watani a assuré que «depuis 4 mois, il n'ya pas eu grand-chose à faire». Non sans une grande fierté, il estime que ce résultat à mettre à l'actif «du dispositif mis en place et qui a presque verrouillé les frontières Sud-Ouest». «Les narco-trafiquants, se réjouit le colonel, trouvent d'énormes difficultés à opérer». Il fait part de la saisie de 8 kg de drogue durant les 4 premiers mois de l'année. Cette quantité n'a pas été saisie en une seule prise. Des petites quantités ont été saisies par-ci et par-là pour s'additionner et donner en dernier lieu ce chiffre insignifiant de saisie. C'est que les narco-trafiquants n'ont plus aucune liberté d'agir à leur guise sur tout le territoire du 3e Commandement régional des GGF. Non sans fierté, le patron évoque l'acquisition et la dotation des GGF des «moyens les plus sophistiqués», et qui répondent «aux besoins spécifiques de la GN», et il annonce que pour le projet de surveillance de la bande frontalière, priorité est donnée au Sud, au vu des développements de la situation, et il est à «un stade bien avancé», selon «la nature et la configuration du terrain». Il est sûr qu'avec ce moyen de surveillance, les activités des narco-trafiquants et des groupes armés seraient réduites à leur plus simple expression. L'immensité du territoire, 24 millions de km2, est à la mesure du défi. L'Algérie a des frontières communes de 2.850 km avec 5 pays où les conflits internes ne sont pas sans conséquences sur notre pays. Les GGF travaillent en coordination avec l'ANP. Le premier responsable s'enquiert par téléphone de la situation à Timiaouine, frontière algéro-malienne où sont installés des réfugiés fuyant les effets de la crise malienne. « RAS », lui fut-il répondu sur le champ. Les informations sur la situation sur l'ensemble de la bande frontalière sont vécus le plus souvent en temps réel grâce aux moyens mis en place par le commandement du 3ème Commandement régional des GGF de Béchar. Plusieurs dizaines d'escadrons, de postes d'observation et de postes avancés sont installés le long des frontières de la compétence du 3ème Commandement régional des GGF de Béchar qui englobe les 9e, 10e et 11e GGF basés à Béchar, Tindouf et Adrar. Ce qui se traduit par la maîtrise totale du terrain, notamment sur le plan sécuritaire et la lutte contre le crime organisé, grâce à un «travail organisé et planifié», souligne le patron du Commandement régional des GGf de Béchar. Concernant le bilan des GGF, le colonel Abdelmadjid Benbouzid, après avoir fourni des chiffres, procède à une analyse des données et souligne que «le Sud n'est plus isolé du reste du pays». Il explique qu'on retrouve les mêmes phénomènes : coupures de routes, exigence de la présence du wali pour régler les problèmes etc. Les atteintes aux biens et personnes sont dues selon lui «à de nombreux facteurs», citant le chômage, la vie chère, la perte du pouvoir d'achat entre autres. Pour ce qui est de la tranche d'âge la plus exposée aux tentations de commettre des délits, il évoque celle comprise entre 18 et 28 ans. Quant au niveau d'instruction, il ne dépasse pas le premier palier. Les 3 groupements des gardes-frontières de Béchar «dominent bien la situation», a affirmé, lors d'un point de presse qu'il a animé, jeudi, le colonel Abdelmadjid Benbouzid, commandant du 3ème Commandement régional des GGF de Béchar. Ce sentiment est d'autant plus partagé que le haut gradé du Darak El Watani a assuré que «depuis 4 mois, il n'ya pas eu grand-chose à faire». Non sans une grande fierté, il estime que ce résultat à mettre à l'actif «du dispositif mis en place et qui a presque verrouillé les frontières Sud-Ouest». «Les narco-trafiquants, se réjouit le colonel, trouvent d'énormes difficultés à opérer». Il fait part de la saisie de 8 kg de drogue durant les 4 premiers mois de l'année. Cette quantité n'a pas été saisie en une seule prise. Des petites quantités ont été saisies par-ci et par-là pour s'additionner et donner en dernier lieu ce chiffre insignifiant de saisie. C'est que les narco-trafiquants n'ont plus aucune liberté d'agir à leur guise sur tout le territoire du 3e Commandement régional des GGF. Non sans fierté, le patron évoque l'acquisition et la dotation des GGF des «moyens les plus sophistiqués», et qui répondent «aux besoins spécifiques de la GN», et il annonce que pour le projet de surveillance de la bande frontalière, priorité est donnée au Sud, au vu des développements de la situation, et il est à «un stade bien avancé», selon «la nature et la configuration du terrain». Il est sûr qu'avec ce moyen de surveillance, les activités des narco-trafiquants et des groupes armés seraient réduites à leur plus simple expression. L'immensité du territoire, 24 millions de km2, est à la mesure du défi. L'Algérie a des frontières communes de 2.850 km avec 5 pays où les conflits internes ne sont pas sans conséquences sur notre pays. Les GGF travaillent en coordination avec l'ANP. Le premier responsable s'enquiert par téléphone de la situation à Timiaouine, frontière algéro-malienne où sont installés des réfugiés fuyant les effets de la crise malienne. « RAS », lui fut-il répondu sur le champ. Les informations sur la situation sur l'ensemble de la bande frontalière sont vécus le plus souvent en temps réel grâce aux moyens mis en place par le commandement du 3ème Commandement régional des GGF de Béchar. Plusieurs dizaines d'escadrons, de postes d'observation et de postes avancés sont installés le long des frontières de la compétence du 3ème Commandement régional des GGF de Béchar qui englobe les 9e, 10e et 11e GGF basés à Béchar, Tindouf et Adrar. Ce qui se traduit par la maîtrise totale du terrain, notamment sur le plan sécuritaire et la lutte contre le crime organisé, grâce à un «travail organisé et planifié», souligne le patron du Commandement régional des GGf de Béchar. Concernant le bilan des GGF, le colonel Abdelmadjid Benbouzid, après avoir fourni des chiffres, procède à une analyse des données et souligne que «le Sud n'est plus isolé du reste du pays». Il explique qu'on retrouve les mêmes phénomènes : coupures de routes, exigence de la présence du wali pour régler les problèmes etc. Les atteintes aux biens et personnes sont dues selon lui «à de nombreux facteurs», citant le chômage, la vie chère, la perte du pouvoir d'achat entre autres. Pour ce qui est de la tranche d'âge la plus exposée aux tentations de commettre des délits, il évoque celle comprise entre 18 et 28 ans. Quant au niveau d'instruction, il ne dépasse pas le premier palier.