La France a appelé vendredi à un règlement "rapide" de la question du Sahara occidental au lendemain du retrait par le Maroc de sa confiance à l'émissaire de l'Onu pour le Sahara occidental, Christopher Ross. «"La France appelle à un règlement rapide du différend, qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties", a indiqué le porte-parole du Quai d'Orsay, lors d'un point de presse. Paris a rappelé également son soutien à la recherche d'une solution politique à la question du Sahara occidentale, "sous l'égide des Nations unies, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité", a ajouté Bernard Valéro, devant la presse. Le Maroc avait accusé jeudi l'émissaire de l'ONU pour le Sahara occidental Christopher Ross de mener un travail "partial et déséquilibré", quelques semaines après un rapport des Nations unies sur la situation dans la région, et annoncé qu'il lui retirait sa confiance. Le rapport de l'ONU mettait en cause des agissements des autorités de Rabat au Sahara occidental, territoire occupé par le Maroc depuis 1975 et revendiqué par le Polisario, seul représentant légitime du peuple sahraoui. Tout en affirmant avoir "pris note" de la position marocaine de retirer sa confiance de l'émissaire onusien dans la région, le porte-parole du Quai d'Orsay a réitéré l'appui de son pays au plan d'autonomie marocain, qui, selon Paris, est "la seule proposition réaliste aujourd'hui sur la table des négociations". La France a appelé vendredi à un règlement "rapide" de la question du Sahara occidental au lendemain du retrait par le Maroc de sa confiance à l'émissaire de l'Onu pour le Sahara occidental, Christopher Ross. «"La France appelle à un règlement rapide du différend, qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties", a indiqué le porte-parole du Quai d'Orsay, lors d'un point de presse. Paris a rappelé également son soutien à la recherche d'une solution politique à la question du Sahara occidentale, "sous l'égide des Nations unies, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité", a ajouté Bernard Valéro, devant la presse. Le Maroc avait accusé jeudi l'émissaire de l'ONU pour le Sahara occidental Christopher Ross de mener un travail "partial et déséquilibré", quelques semaines après un rapport des Nations unies sur la situation dans la région, et annoncé qu'il lui retirait sa confiance. Le rapport de l'ONU mettait en cause des agissements des autorités de Rabat au Sahara occidental, territoire occupé par le Maroc depuis 1975 et revendiqué par le Polisario, seul représentant légitime du peuple sahraoui. Tout en affirmant avoir "pris note" de la position marocaine de retirer sa confiance de l'émissaire onusien dans la région, le porte-parole du Quai d'Orsay a réitéré l'appui de son pays au plan d'autonomie marocain, qui, selon Paris, est "la seule proposition réaliste aujourd'hui sur la table des négociations".