S'adressant aux présidents des fédérations spécialisées, lors d'une rencontre organisée au profit des athlètes qui se sont qualifiés aux prochains Jeux olympiques de Londres, le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hachemi Djiar, estime que le problème du sport en Algérie n'est plus une question de moyens mais de gestion. S'adressant aux présidents des fédérations spécialisées, lors d'une rencontre organisée au profit des athlètes qui se sont qualifiés aux prochains Jeux olympiques de Londres, le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hachemi Djiar, estime que le problème du sport en Algérie n'est plus une question de moyens mais de gestion. «Le gestion du sport ce n'est plus une question administrative. Depuis quelques temps, nous sommes passés du système de la tutelle au travail de partenariat», a indiqué, hier, à Alger, le premier responsable du secteur de la jeunesse et des sports, El Hachemi Djiar. «Les fédérations et les autres structures, ajoute-t-il, doivent assumer les responsabilités qui sont les leurs. Le temps de la dilapidation des subventions octroyées pour le développement du sport et l'épanouissement des sportifs est révolu», a-t-il ajouté. «Pour ce qui nous concerne, enchaîne-t-il, nous sommesprêts à rendre des comptes sur ce que nous faisons». «Les réformes lancées depuis quelques temps en Algérie, selon M. Djiar, touchent même le secteur du sport», a indiqué le ministre, tout en confirmant que "le bricolage est fini". Loin de ça, El Hachemi Djiar dira que « les gens passent leur temps beaucoup plus à soulever les faux problèmes qui dépassent les pouvoirs publics ». Répondant aux préoccupations de certains présidents de fédérations qui concernent notamment les infrastructures, M. Djiar, a avoué que ces problèmes ne se posent plus au niveau du ministère. «L'Algérie, dira-t-il, doit prôner une autre dynamique qui consiste à revaloriser les jeunes talents. Nous avons des potentialités, rassure-t-il, mais il faut les revaloriser. Il faut réhabiliter le technique, en donnant plus de chances aux techniciens algériens. Il faut les laisser travailler pour leur demander des comptes par la suite», a-t-il souligné. Revenant sur les prochaines échéances internationales, le ministre de la Jeunesse et des Sports dira : «Je suis pragmatique. Je sais une chose, le résultat ne vient pas fortuitement mais après un travail de longue haleine. Les Jeux olympiques de Londres, confirme-t-il, restent une étape importante dans la préparation des athlètes pour les prochaines échéances. L'Algérie, explique-t-il, a vécu une période très difficile, le temps est venu pour que nous donnions plus d'importance à la formation afin de préparer la relève», précise sur un ton ferme, El Hachemi Djiar. Toujours dans le même sillage, le premier responsable du secteur sportif en Algérie confirme que «des visites guidées seront organisées dans les prochains jours pour les parents d'enfants afin des les assurer sur le travail de formation mis en place par la tutelle», a-t-il confirmé. Par ailleurs, les sélections nationales se sont engagées depuis 2009 dans un processus de préparation s'inscrivant dans un plan de perspectives de préparation 2009-2016. à cet effet, et dans le cadre de cette action perspective elles privilégient un partenariat concret , entre le ministère et les fédérations, l'ensemble des moyens nécessaires sont mis à leur entière disposition « En 2010 seulement, une subvention de 200 milliards de centimes à été allouée aux fédérations dont 500 millions sont consacrés à la participation de la délégation algérienne aux Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012. 84 opérations à caractère officiel totalement prises par les pouvoir publics», précise le ministre de la Jeunesse et des Sports. Trois événements important sont dans l'agenda du ministère de la Jeunesse et des Sports : L'Algérie prendra part aux Jeux méditerranéens de Turquie de 2014 avec 16 disciplines. En 2014, l'Algérie visera les Jeux olympiques de la jeunesse auxquels elle participera avec 18 disciplines et enfin l'objectif de 2015 sera les Jeux africains et les Jeux sportifs arabes. «Le gestion du sport ce n'est plus une question administrative. Depuis quelques temps, nous sommes passés du système de la tutelle au travail de partenariat», a indiqué, hier, à Alger, le premier responsable du secteur de la jeunesse et des sports, El Hachemi Djiar. «Les fédérations et les autres structures, ajoute-t-il, doivent assumer les responsabilités qui sont les leurs. Le temps de la dilapidation des subventions octroyées pour le développement du sport et l'épanouissement des sportifs est révolu», a-t-il ajouté. «Pour ce qui nous concerne, enchaîne-t-il, nous sommesprêts à rendre des comptes sur ce que nous faisons». «Les réformes lancées depuis quelques temps en Algérie, selon M. Djiar, touchent même le secteur du sport», a indiqué le ministre, tout en confirmant que "le bricolage est fini". Loin de ça, El Hachemi Djiar dira que « les gens passent leur temps beaucoup plus à soulever les faux problèmes qui dépassent les pouvoirs publics ». Répondant aux préoccupations de certains présidents de fédérations qui concernent notamment les infrastructures, M. Djiar, a avoué que ces problèmes ne se posent plus au niveau du ministère. «L'Algérie, dira-t-il, doit prôner une autre dynamique qui consiste à revaloriser les jeunes talents. Nous avons des potentialités, rassure-t-il, mais il faut les revaloriser. Il faut réhabiliter le technique, en donnant plus de chances aux techniciens algériens. Il faut les laisser travailler pour leur demander des comptes par la suite», a-t-il souligné. Revenant sur les prochaines échéances internationales, le ministre de la Jeunesse et des Sports dira : «Je suis pragmatique. Je sais une chose, le résultat ne vient pas fortuitement mais après un travail de longue haleine. Les Jeux olympiques de Londres, confirme-t-il, restent une étape importante dans la préparation des athlètes pour les prochaines échéances. L'Algérie, explique-t-il, a vécu une période très difficile, le temps est venu pour que nous donnions plus d'importance à la formation afin de préparer la relève», précise sur un ton ferme, El Hachemi Djiar. Toujours dans le même sillage, le premier responsable du secteur sportif en Algérie confirme que «des visites guidées seront organisées dans les prochains jours pour les parents d'enfants afin des les assurer sur le travail de formation mis en place par la tutelle», a-t-il confirmé. Par ailleurs, les sélections nationales se sont engagées depuis 2009 dans un processus de préparation s'inscrivant dans un plan de perspectives de préparation 2009-2016. à cet effet, et dans le cadre de cette action perspective elles privilégient un partenariat concret , entre le ministère et les fédérations, l'ensemble des moyens nécessaires sont mis à leur entière disposition « En 2010 seulement, une subvention de 200 milliards de centimes à été allouée aux fédérations dont 500 millions sont consacrés à la participation de la délégation algérienne aux Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012. 84 opérations à caractère officiel totalement prises par les pouvoir publics», précise le ministre de la Jeunesse et des Sports. Trois événements important sont dans l'agenda du ministère de la Jeunesse et des Sports : L'Algérie prendra part aux Jeux méditerranéens de Turquie de 2014 avec 16 disciplines. En 2014, l'Algérie visera les Jeux olympiques de la jeunesse auxquels elle participera avec 18 disciplines et enfin l'objectif de 2015 sera les Jeux africains et les Jeux sportifs arabes.