Les besoins en matière de sécurité informatique, notamment pour les bases de données dites sensibles et qui requièrent une confidentialité absolue augmentent de jour en jour. Assurer la sécurité des données d'une petite entreprise ou d'une administration publique, militaire ou encore d'une multinationale est devenu de plus en plus nécessaire. Lors d'une rencontre dédiée aux nouvelles technologies de l'information et de la communication, hier à Alger, organisée par Comparex Algeria, une filiale de l'entreprise mondiale sise à Vienne, en Autriche, les entreprises algériennes, du moins leurs représentants présents, ont eu l'opportunité de débattre de la «virtualisation», pour ce qui relève des données informatiques et leur lieu de stockage. Ces dernières années est né le concept du «Cloud Computing», qui consiste à «déporter sur des serveurs distants des stockages et des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur le poste de l'utilisateur». Selon les explications fournies lors de cette rencontre, qui est, soulignons-le la première du genre en Algérie, «les utilisateurs ou les entreprises ne sont plus gérants de leurs serveurs informatiques mais peuvent ainsi accéder de manière évolutive à de nombreux services disponibles en ligne». Les entreprises algériennes, notamment les petites et moyennes entreprises (PME) de divers secteurs d'activité économique peuvent tirer profit, a-t-on affirmé, de cette technologie. L'intégration de cette notion dans l'univers entreprenarial ou encore organisationnel est primordial pour les entreprises algériennes ou administration publique qui cherchent à améliorer leur gestion de l'information mais aussi de la donnée informatique, a-t-on convenu. Selon M. Klaus Elsbacher, P-dg de Comparex Group, «l'introduction de cette technologie dans l'environnement économique algérien assure une meilleure performance et réactivité», grâce notamment, a-t-il assuré, «aux compétences locales algériennes qui ont une parfaite maîtrise de ce concept innovant». L'un des objectifs de son groupe, par le biais de sa filiale algérienne, entre autres, est de faire de l'Algérie un pôle d'où sera géré l'ensemble des opérations relevant de ce concept sur le continent africain. L'essor que connaissent les technologies de l'information et de la communication en Algérie, ces dernières années, pousse son groupe à renforcer sa présence dans notre pays. «Nous avons affiché notre disponibilité à travailler en étroite collaboration avec les autorités de tutelle en charge du secteur des TIC pour les accompagner dans la mise en place du plan "e-algérie"». Présent depuis deux ans seulement sur le marché algérien, Comaprex Algeria, a indiqué son directeur général, Allal Djaoued, emploie déjà une trentaine de personnes compétentes. «Nous prévoyons de créer prochainement un centre d'expertise local en Algérie qui sera une base technique de nos activités». Les besoins en matière de sécurité informatique, notamment pour les bases de données dites sensibles et qui requièrent une confidentialité absolue augmentent de jour en jour. Assurer la sécurité des données d'une petite entreprise ou d'une administration publique, militaire ou encore d'une multinationale est devenu de plus en plus nécessaire. Lors d'une rencontre dédiée aux nouvelles technologies de l'information et de la communication, hier à Alger, organisée par Comparex Algeria, une filiale de l'entreprise mondiale sise à Vienne, en Autriche, les entreprises algériennes, du moins leurs représentants présents, ont eu l'opportunité de débattre de la «virtualisation», pour ce qui relève des données informatiques et leur lieu de stockage. Ces dernières années est né le concept du «Cloud Computing», qui consiste à «déporter sur des serveurs distants des stockages et des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur le poste de l'utilisateur». Selon les explications fournies lors de cette rencontre, qui est, soulignons-le la première du genre en Algérie, «les utilisateurs ou les entreprises ne sont plus gérants de leurs serveurs informatiques mais peuvent ainsi accéder de manière évolutive à de nombreux services disponibles en ligne». Les entreprises algériennes, notamment les petites et moyennes entreprises (PME) de divers secteurs d'activité économique peuvent tirer profit, a-t-on affirmé, de cette technologie. L'intégration de cette notion dans l'univers entreprenarial ou encore organisationnel est primordial pour les entreprises algériennes ou administration publique qui cherchent à améliorer leur gestion de l'information mais aussi de la donnée informatique, a-t-on convenu. Selon M. Klaus Elsbacher, P-dg de Comparex Group, «l'introduction de cette technologie dans l'environnement économique algérien assure une meilleure performance et réactivité», grâce notamment, a-t-il assuré, «aux compétences locales algériennes qui ont une parfaite maîtrise de ce concept innovant». L'un des objectifs de son groupe, par le biais de sa filiale algérienne, entre autres, est de faire de l'Algérie un pôle d'où sera géré l'ensemble des opérations relevant de ce concept sur le continent africain. L'essor que connaissent les technologies de l'information et de la communication en Algérie, ces dernières années, pousse son groupe à renforcer sa présence dans notre pays. «Nous avons affiché notre disponibilité à travailler en étroite collaboration avec les autorités de tutelle en charge du secteur des TIC pour les accompagner dans la mise en place du plan "e-algérie"». Présent depuis deux ans seulement sur le marché algérien, Comaprex Algeria, a indiqué son directeur général, Allal Djaoued, emploie déjà une trentaine de personnes compétentes. «Nous prévoyons de créer prochainement un centre d'expertise local en Algérie qui sera une base technique de nos activités».