L'Algérie a été élue membre du Bureau exécutif du Conseil des ministres arabes des Technologies de l'information et de la communication (TIC) jusqu'à Juin 2014. Les travaux de la 16e session qui ont débuté, lundi à Oran, sont arrivés à terme avec près d'une trentaine de participants. Les discussions avec les ministres arabes des TIC, durant les deux journées se sont déroulées dans de bonnes conditions, selon le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, qui représentait l'Algérie à cette session. Durant son intervention, M. Sellal a soutenu que le développement des TIC dans les pays arabes « requiert une complémentarité, qui en intensifiant les efforts de coopération permette de relever les challenges ». Le ministre a souligné aux participants l'expérience algérienne en la matière, assurant que « l'Algérie n'a pas cessé de mobiliser tous les moyens humains et matériels pour l'émergence des compétences nationales et l'encouragement de l'innovation dans le domaine des TIC ». Parmi les points relevés par le ministre, la nécessité de créer « les conditions de coopération et de complémentarité entre les pays arabes » dans le domaine du développement des TIC et de moderniser le service postal conformément aux attentes et aux besoins du citoyen arabe. L'expérience algérienne pourrait bénéficier à tous les pays arabes, a-t-il dit, avant d'ajouter que le pays est leader dans le développement des technologies de l'information et de la communication. Cette session, a-t-il dit, consacre le printemps technologique rapide qui, selon lui, "propulse le monde arabe vers le progrès dans le sillage de la sérénité et la stabilité". Pour le ministre égyptien de la Poste et des Technologies de l'information, Mohamed Salem, «le secteur des technologies est l'un des créneaux le plus croissant au monde et les pays arabes en consomment beaucoup". Pour Khaled Hazem Foda, secrétaire du secrétariat général de la ligue arabe, l'urgence consiste dans la mise en place d'une identité arabe sur Internet. Il soutiendra également que la e-gouvernance figure parmi les points qui reviennent à chaque rencontre. Les changements qui ont touché certains pays arabes, a aussi été abordé. Sur ce point, le ministre égyptien a soutenu que « nul ne peut interdire l'accès à l'Internet dans les pays arabes », rassurant que l'installation, annoncée, d'un projet de réseau « e-gouvernance » vise à assurer une sécurité et non à restreindre les libertés des internautes arabes. Les dix ministres arabes des TIC, à la fin de leurs travaux, ont réaffirmé leur volonté de poursuivre les efforts consentis, chacun dans son pays respectif, afin de développer encore davantage les technologies de l'information et de la communication. Ont pris part aux travaux de cette seizième édition, dix sept (17) pays dont onze (11) ministres présents. Au terme des travaux de la 16e session, les participants ont émis une série de recommandations ayant pour effet d'améliorer et de développer au mieux l'utilisation des nouvelles technologies pour, a-t-on affirmé, renforcer la présence del'image arabe sur la toile. L'Algérie a été élue membre du Bureau exécutif du Conseil des ministres arabes des Technologies de l'information et de la communication (TIC) jusqu'à Juin 2014. Les travaux de la 16e session qui ont débuté, lundi à Oran, sont arrivés à terme avec près d'une trentaine de participants. Les discussions avec les ministres arabes des TIC, durant les deux journées se sont déroulées dans de bonnes conditions, selon le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, qui représentait l'Algérie à cette session. Durant son intervention, M. Sellal a soutenu que le développement des TIC dans les pays arabes « requiert une complémentarité, qui en intensifiant les efforts de coopération permette de relever les challenges ». Le ministre a souligné aux participants l'expérience algérienne en la matière, assurant que « l'Algérie n'a pas cessé de mobiliser tous les moyens humains et matériels pour l'émergence des compétences nationales et l'encouragement de l'innovation dans le domaine des TIC ». Parmi les points relevés par le ministre, la nécessité de créer « les conditions de coopération et de complémentarité entre les pays arabes » dans le domaine du développement des TIC et de moderniser le service postal conformément aux attentes et aux besoins du citoyen arabe. L'expérience algérienne pourrait bénéficier à tous les pays arabes, a-t-il dit, avant d'ajouter que le pays est leader dans le développement des technologies de l'information et de la communication. Cette session, a-t-il dit, consacre le printemps technologique rapide qui, selon lui, "propulse le monde arabe vers le progrès dans le sillage de la sérénité et la stabilité". Pour le ministre égyptien de la Poste et des Technologies de l'information, Mohamed Salem, «le secteur des technologies est l'un des créneaux le plus croissant au monde et les pays arabes en consomment beaucoup". Pour Khaled Hazem Foda, secrétaire du secrétariat général de la ligue arabe, l'urgence consiste dans la mise en place d'une identité arabe sur Internet. Il soutiendra également que la e-gouvernance figure parmi les points qui reviennent à chaque rencontre. Les changements qui ont touché certains pays arabes, a aussi été abordé. Sur ce point, le ministre égyptien a soutenu que « nul ne peut interdire l'accès à l'Internet dans les pays arabes », rassurant que l'installation, annoncée, d'un projet de réseau « e-gouvernance » vise à assurer une sécurité et non à restreindre les libertés des internautes arabes. Les dix ministres arabes des TIC, à la fin de leurs travaux, ont réaffirmé leur volonté de poursuivre les efforts consentis, chacun dans son pays respectif, afin de développer encore davantage les technologies de l'information et de la communication. Ont pris part aux travaux de cette seizième édition, dix sept (17) pays dont onze (11) ministres présents. Au terme des travaux de la 16e session, les participants ont émis une série de recommandations ayant pour effet d'améliorer et de développer au mieux l'utilisation des nouvelles technologies pour, a-t-on affirmé, renforcer la présence del'image arabe sur la toile.