Le FLN vit au rythme des crises. Crise avec son secrétaire général ,Abdelaziz Belkhadem, où une partie des cadres demande son départ, crise chez les redresseurs qui ont démis de ses fonctions de chef de file des redresseurs Salah Goudjil, à qui on fait grief de n'avoir pas su mener les négociations dans le bon sens. En attendant, Belkhadem fort des résultats des législatives du 10 mai, nargue ses adversaires : «J'y suis j'y reste». Et le monsieur s'offre même le luxe de faire des révélations sur des dirigeants qui font campagne pour sa destitution. Du rififi en vue pour la réunion ordinaire prévue les 14 et 15 juin. Une réunion à laquelle le SG avait promis de passer par le verdict de l'urne et de remettre son mandat en jeu le cas échéant. Un test de vérité que Belkhadem n'a pas du tout l'intention de passer puisque dans les points à l'ordre du jour ne figure pas le vote de retrait de confiance. Le SG ne compte pas se laisser démonter et va jouer le tout pour le tout en jonglant avec des pratiques dans lesquelles il excelle : appâter tel ou tel en promettant des postes ministériels ou encore des postes d'ambassadeurs à ceux qui seraient prêts à vendre leur âme. A en croire quelques initiés, les gens ne se bousculent pas au portillon du secrétariat général du FLN, d'autres attendent de voir les choses pour se positionner avec le plus fort. Est-ce à dire que c'est une raison suffisante pour affirmer que la liquidation de Belkhadem est pour bientôt ? La partie de poker n'est pas terminée et le coup de bluff peut toujours faire recette. Mais les opposants mènent leur bataille crescendo pour déboulonner le "barbefélène". Assistera-t-on à un lâchage en règle si tant est qu'il y a une connivence entre les redresseurs et la présidence, cette dernière serait -elle prête à cautionner un changement à la tête du parti ? Autant de questions qui trouvent leurs réponses dans un silence radio. La prochaine réunion éclairera un peu plus nos lanternes sur l'avenir de Belkhadem à la tête du plus vieux parti. Le FLN vit au rythme des crises. Crise avec son secrétaire général ,Abdelaziz Belkhadem, où une partie des cadres demande son départ, crise chez les redresseurs qui ont démis de ses fonctions de chef de file des redresseurs Salah Goudjil, à qui on fait grief de n'avoir pas su mener les négociations dans le bon sens. En attendant, Belkhadem fort des résultats des législatives du 10 mai, nargue ses adversaires : «J'y suis j'y reste». Et le monsieur s'offre même le luxe de faire des révélations sur des dirigeants qui font campagne pour sa destitution. Du rififi en vue pour la réunion ordinaire prévue les 14 et 15 juin. Une réunion à laquelle le SG avait promis de passer par le verdict de l'urne et de remettre son mandat en jeu le cas échéant. Un test de vérité que Belkhadem n'a pas du tout l'intention de passer puisque dans les points à l'ordre du jour ne figure pas le vote de retrait de confiance. Le SG ne compte pas se laisser démonter et va jouer le tout pour le tout en jonglant avec des pratiques dans lesquelles il excelle : appâter tel ou tel en promettant des postes ministériels ou encore des postes d'ambassadeurs à ceux qui seraient prêts à vendre leur âme. A en croire quelques initiés, les gens ne se bousculent pas au portillon du secrétariat général du FLN, d'autres attendent de voir les choses pour se positionner avec le plus fort. Est-ce à dire que c'est une raison suffisante pour affirmer que la liquidation de Belkhadem est pour bientôt ? La partie de poker n'est pas terminée et le coup de bluff peut toujours faire recette. Mais les opposants mènent leur bataille crescendo pour déboulonner le "barbefélène". Assistera-t-on à un lâchage en règle si tant est qu'il y a une connivence entre les redresseurs et la présidence, cette dernière serait -elle prête à cautionner un changement à la tête du parti ? Autant de questions qui trouvent leurs réponses dans un silence radio. La prochaine réunion éclairera un peu plus nos lanternes sur l'avenir de Belkhadem à la tête du plus vieux parti.