Le président de la partie algérienne, au sein de la Chambre mixte tuniso-algérienne (CMTA), Moncef Othmani, a souligné "la nécessité de mettre en place" un cadre réglementaire bilatéral propice à la création d'entreprises et de créer un fonds commun d'impulsion de l'investissement. Intervenant lors d'un atelier de travail sur "Le partenariat tuniso-algérien", organisé à Tunis, Othmani a recommandé l'élaboration d'une première liste de projets "réalisables" dans les deux pays afin d'encourager les entreprises tunisiennes et algériennes à y investir. Il a, d'autre part, mis l'accent sur la nécessité "d'accorder des garanties" au profit des investisseurs des deux pays et de consolider davantage la coopération bilatérale en vue de renforcer le partenariat entre les pays du Maghreb. M. Othmani a également passé en revue les opportunités d'affaires offertes en Algérie et pouvant intéresser l'investisseur tunisien, citant les domaines de l'industrie automobile, de l'industrie pharmaceutique, du bâtiment, de l'électricité et des TIC, en plus de l'agro-alimentaire et de la pêche. Pour sa part, le porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Hadj Tahar Boulenouar, a qualifié de "faible" le volume annuel des échanges commerciaux algéro-tunisiens estimé à près d'un milliard de dollars au vu des relations historiques qui lient les deux pays et leurs besoins économiques et commerciaux. L'objectif de cet atelier est de faire connaitre les possibilités "d'investissement offertes en Algérie dans divers secteurs", de s'enquérir des opportunités offertes pour la création d'entreprises et de projets communs entre les deux pays, et de cerner les problèmes qui entravent le développement des relations économiques bilatérales, a-t-il précisé. Il a ajouté que les orientions économiques de l'Algérie "sont axées" depuis des années sur "la promotion des différents secteurs de production hors hydrocarbures, en matière de coopération et de renforcement du partenariat économique entre les deux pays et de promouvoir les échanges commerciaux". Par ailleurs, Boulenouar a cité le phénomène de la contrebande qui influe, a-t-il dit, négativement sur les opportunités d'investissement. Le président de la partie algérienne, au sein de la Chambre mixte tuniso-algérienne (CMTA), Moncef Othmani, a souligné "la nécessité de mettre en place" un cadre réglementaire bilatéral propice à la création d'entreprises et de créer un fonds commun d'impulsion de l'investissement. Intervenant lors d'un atelier de travail sur "Le partenariat tuniso-algérien", organisé à Tunis, Othmani a recommandé l'élaboration d'une première liste de projets "réalisables" dans les deux pays afin d'encourager les entreprises tunisiennes et algériennes à y investir. Il a, d'autre part, mis l'accent sur la nécessité "d'accorder des garanties" au profit des investisseurs des deux pays et de consolider davantage la coopération bilatérale en vue de renforcer le partenariat entre les pays du Maghreb. M. Othmani a également passé en revue les opportunités d'affaires offertes en Algérie et pouvant intéresser l'investisseur tunisien, citant les domaines de l'industrie automobile, de l'industrie pharmaceutique, du bâtiment, de l'électricité et des TIC, en plus de l'agro-alimentaire et de la pêche. Pour sa part, le porte-parole de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Hadj Tahar Boulenouar, a qualifié de "faible" le volume annuel des échanges commerciaux algéro-tunisiens estimé à près d'un milliard de dollars au vu des relations historiques qui lient les deux pays et leurs besoins économiques et commerciaux. L'objectif de cet atelier est de faire connaitre les possibilités "d'investissement offertes en Algérie dans divers secteurs", de s'enquérir des opportunités offertes pour la création d'entreprises et de projets communs entre les deux pays, et de cerner les problèmes qui entravent le développement des relations économiques bilatérales, a-t-il précisé. Il a ajouté que les orientions économiques de l'Algérie "sont axées" depuis des années sur "la promotion des différents secteurs de production hors hydrocarbures, en matière de coopération et de renforcement du partenariat économique entre les deux pays et de promouvoir les échanges commerciaux". Par ailleurs, Boulenouar a cité le phénomène de la contrebande qui influe, a-t-il dit, négativement sur les opportunités d'investissement.